La pop sauvage de Metro Verlaine

Un coup de foudre, et puis le romantisme comme mode de vie, Metro Verlaine est avant tout une histoire de passion. Fondé en 2013, après un voyage à Londres qui a laissé des cicatrices et un sale goût de ‘lose’ au fond de la gorge, l'histoire de Metro Verlaine…

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I can spin a rainbow Spécial

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Ex-Dresen Dolls, Amanda Palmer a donc réussi à convaincre Edward Ka-Spel, le leader du mythique Legendary Pink Dots, mais aussi son idole, d’enregistrer un album en sa compagnie. Intitulé « I can spin a rainbow », il met en exergue les voix des deux artistes, des voix le plus souvent intimistes, chuchotées, presque en spoken word, un peu dans l’esprit conversationnel de l’elpee « Confessions of Dr dream and other stories » de feus Nico et Kevin Ayers ; même si de nature gothique, l’expression sonore est tramée par des arrangements électroniques fluides produits par des synthés. Ce sont finalement, les interventions de violoncelle, de violon et de piano qui communiquent de la variation aux compos. Parfois aussi des chœurs (samplés ?) et des bruitages, dont une boîte à musique. Ce vaudeville gothique est alimenté par des textes tout à tour sombres, impertinents, menaçants, dramatiques, ironiques et parfois même terrifiants (« The Jack of hands »).

En fait on est davantage en présence d’un projet art-rock que d’un opus réunissant des chansons. Il est d’ailleurs conseillé de l’écouter en méditant, pour l’apprécier à sa juste valeur. Et malgré sa langueur monotone, le long playing recèle quelques plages de toute beauté, dont « Rainbow’s end », une compo mélancolique, belle à pleurer, qui pourrait servir de B.O. (NDR : mais sans les paroles) à un film romantique du style ‘Le grand Meaulnes’…

 

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