Lylac rencontre les esprits de la nature…

Telle une allégorie d’un paradis perdu, le nouveau single de Lylac, “The spirits of the wild”, évoque son fantasme ‘Eastwoodien’ des grands espaces sauvages et inexplorés. Fleuretant avec l’idée de la recherche du mythe ultime cher aux artistes californiens…

logo_musiczine

Une lune de nacre éclaire And Also The Trees…

« Mother-of-pearl moon », le nouvel elpee d’And Also The Trees, paraîtra ce 23 février 2024. Nés d'une série d'improvisations à la guitare électrique, de Justin Jones avant et après l'aube, pendant un mois de solitude en 2020, les morceaux se sont ensuite…

Langues

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Zara Larsson 25-02-2024
mass_hysteria_ab_17

Heiligenstadt Spécial

Écrit par
&

« Heiligenstadt » constitue le second opus de ce duo suisse qui réunit Frédéric Aellen (Sonograph) et Raul Bortolitt (Kruger, Orso). Il fait suite à « Roseland », paru en 2015, suivi d’un remix de 5 titres de cet elpee, gravé sur un Ep mis en forme par un des pionniers du métal indus, Justin K. Et ce nouvel album a été mixé et masterisé par Magnus Lindberg (Cult of Luna). Tout un cheminement qui a forcément déteint sur cet « Heiligenstadt ».

En fait, si la musique de The View Electrical baigne, en général, dans la dream pop (Beach House ?), elle est capable de virer tantôt à la prog crimsonienne (NDR : pensez au titre maître du premier elpee, « In the court of the Crimson King »), le shoegaze de Chapterhouse voire de Slowdive (les cordes cristallines et les vocaux éthérés), mais également le post metal, style auquel Cult of Luna émarge, et que traduit alors des vocaux hurlés ainsi qu’une montée en puissance électrique. Ce qui n’empêche pas certains compos de s’enrichir d’un trio de cordes (violoncelle, alto, violon) ou de tirer parti, circonstanciellement de l’électronique. Et le résultat tient parfaitement la route. Mais la meilleure plage de l’opus est incontestablement et paradoxalement « Fell for grave ». Enrichie d’arrangements orchestraux somptueux, elle bénéficie du concours de Dälek, qui vient rapper à mi-parcours, apportant ainsi une dimension inattendue et éblouissante à cette compo.

 

Informations supplémentaires

Lu 604 fois