Après l'utilisation remarquée d’un des morceaux de ses Blues Explosion sur la BO du film d'Edgard Wright, ‘Baby Driver’, Jon Spencer revient avec un album solo !
Jon Spencer, c’est l’homme à la Blues Explosion à qui l’on doit le morceau « Bellbottoms » en ouverture du film Baby Driver d’Egard Wright…
Le chat qui répand l’ingrédient secret dans Boss Hog ! Le crochet droit du rockabilly au sein d’Heavy Trash ! Le maître swank chez Pussy Galore ! Oui, Jon Spencer est de retour !
Souvent imitée, jamais dupliquée, la légende du rock underground de New York City revient du désert avec douze tubes redoutables.
Il s’agit de pur Garage Punk contemporain. Un rhythm and blues chargé de grooves subversifs à l’attitude industrielle, calibré pour la révolution. Un cocktail molotov de sons garantissant la destruction de n’importe quelle langue de bois post-moderne.
Pulsant d’énergie, résonnant d’excitation, dégoulinant d’une âme radioactive et d’émotions brutes, Spencer ouvre son cœur comme jamais, explorant la condition de l’homme moderne avec ses guitares caustiques.
L’album répond à la question suivante : ‘Est-il possible d’incendier le monde sans scrupule des fake news et des révolutions en plastiques avec le pouvoir du rock’n’roll ?’
Sur « Spencer Sings the Hits » la réponse est oui. C’est le sérum de vérité que les Etats-Unis recherchent, le début d’une révolution rock’n’roll qui ne fait pas de prisonniers et remet les pendules à l’heure !
Un extrait à découvrir ici