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Un ‘Début de soirée’ qui s’annonce réussi !

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Le nouvel album d’Ébbène, "Début de soirée", est dans les bacs depuis le 26 avril 2019. Naviguant entre pop, folk et chanson française, ses compos jouent la carte du naturel et de l’épure. Elles vont à l’essentiel et touchent les cœurs. Sans détour...

Ébbène reflète l’aventure d’un passionné qui croit aux pouvoirs du récit. Mêlant storytelling et arrangements folk, les premiers titres du projet témoignent d’un lyrisme maîtrisé.

S’il semble désenchanté, l’artiste belge se distingue par l’acuité d’un regard qui s’amuse à traquer les incohérences et les ratages du quotidien : qu’il s’agisse du triomphe de la conformité (‘Tout le monde ne fait rien comme personne, et tout le monde a vu Barcelone’… T’as sûrement tatoué tes vingt ans ; tu parles encore en noir et blanc…’) ou des relations décevantes (‘Depuis toi l’amour me va comme un coup de poing dans la gueule’), Ébbène déploie au fil de ses morceaux une poésie au détail délicat et corrosif, attentive à la signification des petits faits et gestes de ceux qui l’entourent.

Assumant une position de retrait, en marge de la cohue (‘Je laisse passer les gens qui vivent’), sans pour autant céder au rêve impossible de ‘penser à ne penser à rien’, l’artiste se présente comme un collectionneur de moments et de portraits (‘J’ai un carnet bleu dans la poche où je note toutes les images’) et affirme d’emblée qu’il faudra compter avec lui puisque, comme il l’indique, ‘Mordre la poussière n’est pas envisagé’

Plongez-vous dans la « Nuit américaine » ici 

 

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