Un kit de survie pour Bertrand Betsch…

Au crépuscule du grand et joyeux ballet de ses 19 précédents ouvrages, l’exubérant Bertrand Betsch s’inscrit, une nouvelle fois, dans ce qu’il fait de mieux : la belle chanson française en première lecture, l’ironie ensuite, la justesse enfin. Comme toujours,…

logo_musiczine

TORRES perdue dans une salle immense…

TORRES (le nom de scène de l'artiste new-yorkaise Mackenzie Scott) publiera son nouvel elpee, « What an enormous room », ce le 26 janvier 2024. La chanteuse américaine propose également son premier single/vidéo, « Collect ». Parallèlement à cette annonce,…

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Search results (1 Items)

Franck Monnet

Malidor

Écrit par

Pour concocter son quatrième album, Franck Monnet fait fort. Non content de nous montrer une fois encore l’étendue de son talent, il nous offre un disque plus incisif que jamais. Mais si « Malidor » offre un côté plus rock que les disques précédents, il ne perd rien en beauté. La voix tendrement suave de Franck Monnet, conjuguée à sa plume désormais reconnue, nous livre quelques bijoux musicaux. Citons, entre autres, « Barcelone » pour son punch qui entraînerait le plus chauvin des Madrilènes ; « 18 ans », propice à nous replonger dans cette sensation presque oubliée de liberté acnéique ou encore cette perle de « Malidor », titre phare incontestable de l’album. Pays imaginaire, « Malidor » a de quoi séduire tout le monde. Fête qui semble perpétuelle, on y trouve de tout : des femmes qui ont du poil aux pattes ou boudent des gringalets, barbes à papa, chansons, caresses, hippopotames, farces, aphrodisiaques… Franck Monnet dit y avoir rendez-vous après la mort et on aimerait l’y rejoindre. Mais pour l’instant, inutile d’aller si loin : la complicité évidente manifestée entre Franck Monnet, François Lasserre (guitariste) et Franck M’bouéké (batteur) font de ce disque un échantillon de paradis, où l’on ‘trouve le sommeil, mais pas avant l’aurore’ (« Bonn’aise »).