Ce n’est pas la fin pour Caesaria…

Thomas, Louis et Théo ont tissé leurs liens dès l'enfance, autant sur la pelouse du club de foot qu’autour du son. C’est la scène qui devient leur terrain de jeu favori, et ça se voit : leurs ‘live’ électrisent les corps et marquent les cerveaux au fer rouge.…

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TORRES perdue dans une salle immense…

TORRES (le nom de scène de l'artiste new-yorkaise Mackenzie Scott) publiera son nouvel elpee, « What an enormous room », ce le 26 janvier 2024. La chanteuse américaine propose également son premier single/vidéo, « Collect ». Parallèlement à cette annonce,…

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Robert Gomez

Brand New Towns

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Fraîchement signé sur le label Bella Union, Robert Gomez revient deux ans après l’autoproduit « Etherville ». Gérant du label Basement Front, leader de la formation Latin Pimps, Gomez tend donc à prouver qu’il possède plus d’une corde à son arc. Et ce « Brand New Towns » sert bien sa cause. Après une ouverture en fanfare sur l’intriguant single « Closer Still », Gomez s’évade ensuite vers un univers proche de celui de Howie Beck (« All We Got », « Back To Me ») et d'Elliott Smith (« Into The Sun », « You Need Somebody »). Lascif et propice à quelques rêveries, « Brand New Towns » est un essai intéressant, sans pour autant atteindre des sommets d’ingéniosité. Entre lo-fi et folk, l’œuvre de Gomez se fait parfois hésitante (« The Same Sad Song », « Back To Me »), parfois accomplie (« Brand New Towns », « If I Could have You Back »). Une demi-mesure provoquée par les vocalises affectées, rarement variées, du jeune Texan. Trop souvent, « Brand New Towns » verse dans une longue et frémissante complainte. Pas forcément désagréable, mais lassant à la longue…