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Entre la nuit et le jour, RIVE propose "Tension", un 4ème extrait de son album "Collision", sous forme de clip. La photographe et réalisatrice Laetitia Bica (prix du ‘Changemaker de l’année 2023’ au Belgian fashion awards) emmène le duo dans la nuit des…

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Chroniques

Black Sabbath

The Dio Years

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L’un des pères fondateurs du heavy métal s’apprête à entamer une tournée des festivals d’été, non pas sous son patronyme original, mais bien sous celui de « Heaven and Hell ». Pour célébrer cette reformation éphémère impliquant leur vieux complice Ronnie James Dio, Tonni Iommi et consorts nous invitent à redécouvrir l’essentiel des « Années Dio » sur cette compilation de 16 titres, dont trois inédits.

Renvoyé du Sab en 1979 pour ses excès divers, Ozzy Osbourne est remplacé un an plus tard par Dio, transfuge des fameux Elf et Rainbow. Grâce à la présence scénique redoutable et à l’organe vocal puissant du chanteur réputé pour sa petite taille –normal quand on a fait partie de Elf– Black Sabbath retrouve le succès en gravant le formidable « Heaven and Hell », en 1980 (disque de platine) et le brillant « The Mob Rules », l’album le plus violent de Sabbath. Ces deux opus seront magnifiés sur le double « Live Evil », en 1982. Dio entame ensuite une carrière solo exemplaire, enchaîne tournées sur enregistrements, et trouve le temps de rejoindre Black Sabbath en 1992, pour accoucher du satisfaisant « Dehumanizer ».

Manifestant une lourdeur oppressante à tous les étages, « The Dio Years » rassemble la crème de ce bout de chemin d’un des plus grands groupes de heavy de tous les temps sous la férule du père Dio. Un album qui s’écoute sans aucune lassitude ! Logique, il ne distille que de purs joyaux. Treize grands classiques non-remixés, sans oublier les trois titres bonus qui bouclent la rondelle. « The Devil Cried », « Shadow of the Wind », « Ear in the Wall » n’ont pas le panache d’un “Turn up the Night” ou d’un “Children of the sea”, mais force est de constater que RJ Dio, même s’il appartient désormais à la tranche des 3x20, a conservé une voix exceptionnelle, un organe dont son prédécesseur Ozzy ne pourrait plus se targuer aujourd’hui. Une compile majeure pour quiconque est passé à côté de cette période glorieuse du sabbath noir.  



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Demolition Doll Rods

Let yourself go - Dvd

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Ce set de Demolition Doll Rods a été immortalisé en 2006 au ‘El Juglar’ de Madrid. Pour la circonstance, le trio présentait son nouveau line up. C'est-à-dire la présence d’une nouvelle drummeuse pour remplacer Christine 'The Thump' : l’ex Genders, Tia. Et pour le coup d’œil, on y a gagné au change, car dans son mini bikini, la nouvelle percussionniste (est-elle brésilienne ou thaïlandaise, peut-être un peu des deux ?) est aussi jolie que sexy. Bien sûr Christine et Danny sont toujours vêtus très légèrement. Mais est-ce suffisant pour flatter notre libido ? Tout est une question de goût, bien sûr… Mais venons-en à ce concert qui souffre d’une piètre qualité sonore. Heureusement, les prises de vue sont de bonne facture et on s’amuse des facéties proposées par le trio de Detroit, dont l’humour juvénile permet d’éviter à la prestation de souffrir d’une linéarité certaine. Un trio de glam/garage minimaliste inspiré par les Cramps et les New York Dolls. Mais je le répète, des références que le groupe a épurées au maximum. Particularités, le lead vocal est assuré par Christine (son timbre rauque rappelle Rachel Nagy de Detroit Cobras), le backing vocal par Danny (la sienne est angélique presque falsetto ; mais il n’est pas assez impliqué au chant), pas de basse, mais deux guitares (Danny en est le soliste) et Tia, debout, qui martèle son tempo tribal sur deux toms. Le Dvd inclut inévitablement quelques extras, dont un mini concert accordé par l’ancien line up des DDD, que je ne suis jamais parvenu à le lire, ni à l’ouvrir…

 

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MSTRKRFT

The Looks

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Death From Above 1979 est mort ! Longue vie à MSTRKRFT (prononcez Master Kraft)! Jesse F. Keeler nous ayant fait l’affront de démanteler l’une des formations les plus excitantes des années 2000, avait tout intérêt à nous revenir, un colosse sous les bras. Epaulé par Al P (producteur de « You’re A Woman, I’m A Machine » - on reste en famille), le savant fou est donc retourné s’enfermer dans son laboratoire. Dans un premier temps, les deux hommes se sont consacrés à altérer quelques œuvres qui en avaient bien besoin. Si bien qu’une ribambelle d’artistes ont fait la queue devant les portes de l’antre du duo afin de le supplier d’embellir certains de leurs travaux (Bloc Party, The Kills, Juliette and The Licks, Metric, Wolfmother ou même All Saints).

Ils ont ensuite fermé temporairement l’atelier 'remixage', le temps de bidouiller leur propre mixture. Tout en écoutant du Daft Punk, au volume maximum toléré par l’oreille humaine. Les deux Canadiens en sont sortis, quelques jours plus tard, armés d’un cocktail explosif. Intitulé « The Looks », celui-ci recèle huit doses massives d’electro-rock à la saveur disco. En deux temps trois mouvements, Keeler et Al P ont démontré qu’il suffit parfois d’un rien pour secouer les foules. Proche des productions de l’écurie Ed Banger, Justice en tête (les monstrueux « Paris » et « Neon Knight »), MSTRKRFT délivre une succession d’hymnes jouissifs d’une facilité déconcertante (« She’s Good For Business », « Work On You », « Street Justice »). Paru en juin 2006 aux States, « The Looks » ne nous est parvenu que huit mois plus tard. Retard compensé sur la version européenne par la présence d’un petit fix euphorisant supplémentaire, « Community Revolution In Progress ». Tout ça ne nous rendra pas DFA1979, mais c’est un bon début.

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Guns of Brixton

in.dub.out

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Comme le nom du groupe l’indique, ces Caennais doivent faire partie des ces punk rockers appréciant les rythmiques chaloupées du reggae. Ou plutôt du dub… Aux roucoulades romantiques du ‘rocksteady’ (pour lesquelles on avouera un faible), les Français préfèrent les vibrations profondes du dub, tel qu’il était pratiqué à l’acmé du roots reggae : minimal et noyé sous les ‘reverbs’ à ressort. Pour concocter leur deuxième disque, les Guns of Brixton ont mélangé mélodies et guitares inquiètes du post rock (en y ajoutant un soupçon de hardcore et de rock gothique) aux gimmicks rythmiques et soniques du reggae. Hormis le lumineux « Sachem in Russia », l’atmosphère est pesante. Le ton est donné par « Devant leurs yeux », un instrumental épinglant le témoignage d’une rescapée de l’holocauste. Le reste est à l’avenant ; et on déplorera un certain manque d’humour, comme sur le titre « 911 » ou l’incongru « 8 minutes en Corse ». Ce recours systématique aux extraits de discours tirés de films ou de journaux télévisés finit, à la longue, par devenir lassant… Reste un savoir-faire prometteur dans la confection d’objets sonores intéressants, comme lors de l’introduction apocalyptique du bien nommé « Train fantôme ». On conseillera donc cette œuvre aux fanatiques de post rock ; les mordus de reggae risquant de ne pas y trouver leur compte.

 

 



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Super 300 Blues Band

West Coast Boogie

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Drivé par le chanteur/harmoniciste Brad Radis, Super 300 est un quartet californien au sein duquel militent également le guitariste Jerry ‘Short Dog’ Feldman, le bassiste Allan Hearn et le batteur Jerry Snodgrass. Brad et Jerry jouent ensemble depuis plus de trente ans. Ils ont accompagné Shakey Jake Harris, le pianiste JD Nicholson et Jimmy Witherspoon.

Pour nous mettre en appétit, le quartet s'engage dans son "Super 300 shuffle". L'occasion pour Jerry Feldman de mouliner passionnément et agressivement. Il a beaucoup écouté Kenny Burrell et cela s'entend. Brad donne la réplique à l’harmonica. On distingue nettement son souffle puissant. Musclée, la section rythmique est bien mise en avant pour aborder le "That will never do" de Little Milton. Si le chant de Brad n'est guère exceptionnel, la gratte de Short Dog révèle un musicien accompli, réservé et respectueux. Super 300 puisse aussi son inspiration dans le Chicago blues qui swingue. Ce qui permet à Brad de rendre hommage à ses maîtres. En l’occurrence Sonny Boy Williamson, Junior Wells et surtout Little Walter. Le Super 300 Blues Band reprend le "Crazy mixed up world" de Willie Dixon, "Stop right now" de Sonny Boy ainsi que "Ain't that lovin' you baby" de Jimmy Reed. Mais les deux meilleures covers sont manifestement le "Sugar sweet" de Melvin London (c’est lui qui avait composé "Mannish boy" en compagnie de Muddy Waters et de Bo Diddley) et le "You belong to me" de Magic Sam. Très Southside, la première est imprimée sur un tempo galopant, alors que la seconde a été puisée dans le Westside. Feldman avoue sans ambiguïté son admiration pour les King de la guitare. Et il le démontre en interprétant "Crosscut saw", un des titres-clé du répertoire d'Albert King ; et puis le célèbre "Hideaway" de Freddie King. C’est au "Love her with feeling" du regretté Lowell Fulsom qu’ils empruntent le blues lent. Il existe des centaines de petites formations blues de l'autre côté de l'Atlantique. De toute évidence, pour survivre, le Super 300 BB devrait se forger un répertoire personnel. Ce qu'il réalise sur de trop rares plages. Cependant, l’espoir subsiste, puisque le combo se réserve quand même l’une ou l’autre compo personnelle. Et curieusement, c'est alors qu'il est au sommet de son art. A l’instar des instrumentaux "Ready or not" et "Short Train" sur lesquels Feldman manifeste une sensibilité jazzyfiante avec une certaine classe. Et puis "West coast boogie, un morceau pompé sur un classique ; mais une plage qui déménage et dont les vibrations sont vraiment irrésistibles…



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Various Artists

Back to Mine : Röyksopp

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Disco disco disco… Dans le monde affolé des compilations mixées (ou pas), la série des « Back to Mine » tient une place à part grâce à la qualité des titres sélectionnés et des chouettes découvertes qu’elle occasionne. Le duo de Bergen se fend d’une sélection mixée qui télescope les Talking Heads (au sommet de leur période world-funk) à l’italo disco (Kasso, Mr Flagio et l’hilarant Pino D’Angio) en passant par le P-funk de Funkadelic, la soul (le jazzman Idris Muhammad, The New Birth), l’électro disco, le disco funk (Jesse), la house et même Mike Oldfield… Le fil conducteur de cette sélection réussie reflète un amour immodéré pour les expérimentations électroniques les plus diverses appliquées aux pistes de danse, surtout au début des années 80. A vos gels fixateurs !



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Southern Voodoo

Devil's drive

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“The Love Militia”, première décharge des Flamands de Southern Voodoo, avait fait l’effet d’une bombe à sa sortie, il y a un peu moins de deux ans. La plaque était sans nul doute la meilleure chose qui soit arrivée au hard rock belge depuis l’avènement des Brugeois de Cowboys and Aliens. Moins stoner que ces derniers, et davantage rock n’ roll, Southern Voodoo et son charismatique frontman Dominique De Vos, n’ont d’yeux et surtout d’oreilles que pour Motorhead, AC/DC, Nashville Pussy, Dead Boys et autre Russ Meyer, cinématographe bien connu pour ses obsessions mammaires.

De retour avec « Devil’s Driver », Southern Voodoo défend son ‘sexy hard rock n’ roll mayhem’ comme si la livraison de bière et de bourbon dans leur loge du prochain Pestpop festival en dépendait. Ca rock ferme, ça nettoie les cages à miel, ça décape grave… Loin de s’être assagi, Voodoo a gagné en énergie ce qu’il a perdu en mélodie. La production, qu’on imagine volontairement garage et poisseuse, est signée Chips Kiesbye, responsable du son des Hellacopters, et le dessin de couverture, des plus réussis, s’inscrit complètement dans un trip à la Monster Magnet ou même à certaines imageries psychobilly !

« Rocket to hell », « Tatto Lover » ou « Satan is a Woman » ne pourront que cartonner sur les planches. Une scène qui durant les mois à venir fera partie du quotidien du combo qui se produira dans tous les clubs de Belgique et de Hollande (ou presque), mais aussi dans des festivals (Pestpop le 21 avril) et même en ouverture de WASP à la salle Hof Te Lo le 5 mai prochain. Réjouissez-vous ! The true hard rock n’ roll made in Belgium is back !

 

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Tess Wiley

Super Fast Rock n Roll Played Slow

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Quoi de neuf dans le diagnostic des tumeurs du testicule ? `Le premier diagnostic est posé par le spécialiste lors d'une simple palpation des bourses. L'identification d'une masse testiculaire, d'une tuméfaction irrégulière du testicule est un premier indicateur. Un gonflement des seins (gynécomastie), la recherche de ganglions anormaux par palpation abdominale et entre la clavicule et le cou (creux sus-claviaire) sont autant d'indices permettant de suspecter une tumeur testiculaire'. Ce qui est certain, c'est que le deuxième (?) album de Tess Wiley, dont le titre demeure introuvable sur la pochette comme dans le livret (NDLR : « Super Fast Rock'n'Roll Played Slow »), commençait déjà à me gonfler dès les premières minutes. Ce folk terriblement doucereux, voire gnangnan, évolue au ras des pâquerettes dans un champ de clichés. Alors, la bourse ou la vie ? Ce qui est sûr, c'est que chez Tapete Records, mademoiselle Wiley m'a sérieusement cassé les burnes.

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The Stooges

Weirdness

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En 1969, les Stooges chantaient « No Fun », sur un premier elpee produit par John Cale. 38 ans plus tard, ils pourraient chanter « No fun at all » et même choisir cette formule pour intituler leur nouvel album. Il est vrai que les attentes des fans d’Iggy Pop et sa bande étaient grandes, et surtout légitimes après un retour convaincant sur scène (allez donc relire notre review consacrée à l’édition 2006 du festival Sziget). C’est en toute grande forme et visiblement heureux d’être de retour, que l’on avait retrouvé, sur les planches, Iggy Pop, Ron et Scott Asheton, c'est-à-dire le trio original rejoint par le vétéran et tout aussi sympathique Mike Watt, remplaçant du regretté bassiste Dave Alexander. Malgré la collaboration de Steve Albini à la production, il faut reconnaître que le come-back est nettement moins étincelant...

Pourtant, en ouverture, « Trollin’ » a tout le potentiel d’un bon single ; mais la suite est beaucoup moins fringante. Les tempos sont trop simples et répétitifs. Définitivement usée par l’âge et ses excès de jeunesse, la voix d’Iggy passe de moins en moins bien la rampe. En outre, on ne peut pas dire que les textes (les thèmes abordés sont quand même invraisemblables pour des gars de 60 piges) soient particulièrement recherchés. Pour les deux tiers de l’album, on en vient à se demander si l’écriture des compos n’a pas été bâclée. Et la même remarque pourrait s’adresser aux sessions d’enregistrement. Parfois on a l’impression d’être en présence de papys jouant un punk basique à la manière de ces innombrables groupes d’ados qui entretiennent la hype. Des motifs suffisants pour refroidir notre enthousiasme. Sur « Free and Freaky » on touche carrément le fond, et il est même pénible d’écouter ce titre jusqu’à son terme. Il faut attendre « She took my money » ou encore « Passing cloud » pour retrouver un peu de fraîcheur, grâce notamment à l’intervention de Steve Mackay au saxophone.

Bref, nous sommes à 100.000 lieues des « 1969 » et autre « I Wanna Be Your Dog » du premier elpee. Et si vous cherchez la magie des deux opus suivants (« Fun House » et « Raw Power ») concoctés début des 70’s, vous pouvez passer votre chemin. Bref, un album globalement décevant. Evidemment, les fans inconditionnels ne partageront pas ce point de vue. C’est leur droit. Mais si ces différents titres risquent fort de faire la différence en live, ce disque ne figurera certainement pas dans notre Top 20 de 2007.



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Various Artists

Back To The Bus: Funeral for a Friend

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“Back to the Bus” n’est pas la nouvelle livraison du combo post hard core Funeral for a Friend, mais révèle un concept de compilation d’un genre nouveau. L’initiative permet de mieux cerner les goûts musicaux de groupes qui acceptent de jouer le jeu. L’idée est séduisante ! Le concept « Back to the Bus » pourrait se traduire par ‘La playlist des artistes dans le tourbus’. Les p’tits gars de Funeral for a Friend nous étonnent pas leurs choix. On aurait pu s’attendre, à priori, à un album promotionnel pour la scène néo métal ou emo core. Que Neni ! Ce « Back to the Bus » pourrait constituer une programmation idéale pour une émission dominicale de Classic 21.

Queen ouvre le bal par le sautillant « Don’t stop me now », suivi de Dub War et du classique « Enemy Maker ». Le « Midlife Crisis » de Faith No More, tout comme le « Take a picture » de Filter, nous rappellent que ce ne sont ni Korn ni les Deftones qui ont inventé le US néo métal. Deux grands classiques du hard rock suivent. Deux monuments incontestables ! « More than a Feeling » de Boston, et « Ain’t talkin about Love », titre phare du premier opus de Van Halen. Des hits intemporels, du bonheur tout simplement. Le trash métal fait également partie de la culture des musicos de Funeral for a Friend. Pantera, The Haunted et surtout Megadeth pour l’énorme « Holy War » n’ont aucune pitié pour nos tympans. Pour conclure un autre classique des classiques : le titre éponyme de Black Sabbath. Et surprise ultime, le king de la country destroy, Johnny Cash et son incontournable « Folsom Prison Blues ». Bref, rien de neuf à l’horizon, mais une compile sympa à écouter en voiture ou à prêter à une copine qu’on voudrait initier au métal sous ses formes les plus diverses.   



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