Il ya 2 ans paraissait « 11:11 », second essai délicieusement envoûtant de Maria Taylor. Aujourd’hui l’ombre d’Azure Ray a cessé de poursuivre la belle, et ce n’est pas forcément une bonne chose. Hésitant entre pop radiophonique (« Replay », « A Good Start ») et folk douce-amère (« Clean Getaway », « The Ballad Of Sean Foley » en compagnie de l’inévitable Conor Oberst), Maria s’éloigne à grand pas de ses premières influences pour devenir petit à petit un clone de Sarah McLachlan. Et dieu sait que l’on n’en a pas vraiment besoin. « Lynn Teeter Flower » vacille malheureusement de l’agréable à l’insipide en un espace de temps affolant. Du beau gâchis. On ne peut donc que recommander à Maria Taylor de retrouver sa bonne amie Orenda Fink et de gentiment arracher Azure Ray de sa trop longue retraite…
L’air nocturne inspire Yalisco… Yalisco, c’est une formation helvète qui pratique une forme de rock/garage inspiré par les 60’s (ces reverbs surf !) et le jazz (le drumming syncopé !). Après avoir discrètement révélé deux premiers titres, "Long Summer" et…
Chanel Beads fait la police…
Lavers a créé Chanel Beads comme un exutoire pour ses chansons affectées qu'il écrit,…
L’oubli de Divine Shade…
Groupe à géométrie variable, Divine Shade puise ses influences dans la cold wave, la musique industrielle et électronique, à des degrés divers. En 2022, la formation avait assuré le supporting act de la tournée britannique de Gary Numan. Et c’est son…
L’écho d’Abstract Concrete
Abstract Concrete, c’est le nouveau projet du batteur/chanteur Charles Hayward (This…