Non, non, non, le Paisley Underground n’est pas mort. (NDR : sur l’air estudiantin de St Nicolas) (bis)… car il ***** encore, car il ***** encore… Chris Cacavas nous l’avait rappelé lors de la sortie de son dernier opus. Et Steve Wynn ne fait que confirmer cette impression tout au long de " Sweetness and light ". Tout d’abord, l’ex Dream Syndicate n’a rien perdu de son art à ficeler des mélodies contagieuses, sculptées dans les cordes de guitares pétillantes, chatoyantes, vibrantes, nappées de claviers le plus souvent rognés, doorsiens, et égrisées par son baryton profond, velouté. Il a ensuite bénéficié du concours de John Agnello (Dinosaur Jr, Cell) à la co-production. Enfin, son nouvel album ne recèle aucune faiblesse. Plutôt des moments forts, très forts même. Comme sur " This strange effect ", cover des Kinks, accomodée à la sauce crazyhorsienne, le flegmatique " This deadly game " et l’incandescent " That’s the way "…