Nous sommes fin 1970. Neil Young se produit à 6 reprises au Cellar Door, célèbre club de Washington DC. Il vient de publier l’incontournable « After the gold rush ». Et une majorité de titres joués au cours de ces sets sont issus de cette œuvre. Dont le titre maître. Les 13 plages de ce long playing ont donc été sélectionnées parmi cette série de shows. Acoustiques. Sur ce disque figurent également deux covers de Buffalo Springfield, « Flying on the ground is wrong » et « I am a child », un inédit, « Bad fog of loneliness », une version unique de « Cinamon girl » interprétée au piano et deux plages jamais immortalisées en public, « Old man » et « See the sky about to rain », qui ne seront gravées sur disque que quelques années plus tard. Neil chante de sa voix si caractéristique, en s’accompagnant tantôt à la sèche ou au piano. L’émotion est palpable. Mais un set ‘unplugged’ se vit plus qu’il ne s’écoute. Et plus particulièrement chez le Canadien…