L’impatience d’Emma Peters…

Tout de suite : plus qu’un mantra ou une profession de foi, trois mots qui résonnent comme l’affirmation d’un désir pur. Un appétit qui guide la vie d'Emma Peters chaque jour. Surtout depuis deux ans et la sortie de son premier album, « Dimanche », clin d’œil…

logo_musiczine

Le Yam 421 ou le 5 000 pour Bright Eyes ?

Bright Eyes sortira son nouvel elpee, « Five Dice, All Threes », ce 20 septembre. Ce sera son 10ème. Lors des sessions, Conor Oberst, Mike Mogis et Nate Walcott ont reçu le concours de plusieurs invités dont Cat Power, Matt Berninger de The National et Alex…

Langues

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Ty Segall - Sjock 2024
Ty Segall - Sjock 2024

The Shepherd’s Dog Spécial

Écrit par JoWell
&

Trois ans après avoir concocté "Our Endless Numbered Days", l’ami Sam Beam nous revient flanqué une fois de plus, d’un excellent album. Dans la pure lignée des petits bijoux qu’il nous a déjà proposés, « The Shepherd’s Dog » s’écoute avec les oreilles mais aussi le cœur. Touchant la part de rêverie que nous oublions souvent dans un coin de notre mémoire, Sam rouvre des portes de notre subconscient tel un cerbère attentif et précieux. Accompagné dans la manœuvre, comme à son habitude, par sa sœur et quelques amis. Quelques : le mot est faible. Dix personnes au moins ont collaboré à l’exercice : Jim Becker, Rob Burger, Joey Burns, Brian Deck et d’autres larrons excellemment bien inspirés. Lyrique, onirique « The Shepherd’s Dog » arrive à séduire par une simplicité et une élégance qui ne quitte jamais une seconde l’œuvre. Dessinant un trait qui n’en finit plus, l’album s’ouvre par « Pagan Angel and a Borroweed Car », une ballade folk aérienne. Poursuivant sa route, ce trait dessine des courbes tantôt plus serrées (« Carousel »), tantôt arrondies, comme sur « Lovesong of the Buzzard » où un orgue et un accordéon virevoltants viennent élever la fantaisie du morceau. L’excellent « The Devil Never Sleep » trahit une influence rock purement américaine. Il nous rappelle furtivement l’origine du groupe. Fier de sa patrie pour ses aspects positifs, Sam Beam se projette tel un être vivant sur terre et son dialogue international passe par le ressenti ainsi que la créativité. Cinquante minutes de pur plaisir, de voyage et d’intimité constituent l’aboutissement d’un travail d’équipe signé chez Sub Pop records (The Rapture, The Shins, CSS,…) A lire : l’interview que Sam Beam a accordée à Musiczine. La rencontre extraordinaire d’un personnage charismatique...

Informations supplémentaires

  • Band Name: Iron & Wine
  • Genre: Pop/Rock
  • Label Prod: Sub Pop / Konkurrent
  • Date: 2007-09-04
  • Rating: 5
Lu 1190 fois
Plus dans cette catégorie : « Licker’s last leg Shadows and cracks »