C'est en général, sur Electrip sous-label de KK Records que nous rencontrons le moins de mauvaises surprises. C'est encore le cas pour Starfish Enterprises, formation issue de la banlieue anversoise (Edegem) qui n'accorde qu'un minimum de crédit aux pulsations rythmiques et aux programmations synthétiques. Cela reste expérimental quand même. Instrumental surtout. Avec bien sûr collages et samplings. Mais surtout, et d'une manière plus conventionnelle, avec basse, batterie et deux guitares qui alimentent neuf compositions partagées entre hardcore post Cosmic Psychos et variations d'électricité dispensées sur un mode ‘frippertronics’...