Ce n’est pas la fin pour Caesaria…

Thomas, Louis et Théo ont tissé leurs liens dès l'enfance, autant sur la pelouse du club de foot qu’autour du son. C’est la scène qui devient leur terrain de jeu favori, et ça se voit : leurs ‘live’ électrisent les corps et marquent les cerveaux au fer rouge.…

logo_musiczine

Meril Wubslin fait ça… et dans la langue de Molière…

Fondée en 2010 par Christian Garcia-Gaucher (BE/CH) et Valérie Niederoest (CH), Meril Wubslin est une formation belgo-suisse dont la musique est décrite comme lo-fi-folk-sci-fi-psyché-transe. Duo à l’origine, elle est passée à un trio en 2015, à la suite de…

Langues

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Manu Chao - Bau-huis
slift_aeronef_13

Off the Radar Spécial

Écrit par
&

Issue de Tel-Aviv, cette jeune compositrice et productrice est âgée de 28 printemps. « Off the Radar » constitue son premier elpee. Une œuvre qui lui permet de percer sur la scène internationale. Après avoir navigué dans les eaux folk et jazz locales, elle a décidé de changer de style, en installant un esprit clairement alternatif à ses des influences urbaines et électro ; le tout enrichi de messages sociopolitiques. Ainsi « Pity » aborde le cas d’un viol filmé et mis en ligne alors que l’oppressant « Global Fear » toise la tyrannie mondiale. Loin d’être inoffensif, « Off the Radar » emprunte cependant une enveloppe dansante et r’n’b –parsemée de samples et de beats ‘trap’– pour faire passer plus facilement des idées engagées parfaitement illustré par le titre du single, « Dance While You Shoot », dont l’aspect hybride et moderne lorgne vers M.I.A. voire Grime. Une artiste est née… avec un tempérament aussi haut que ne l’est son indéniable talent.

Informations supplémentaires

  • Band Name: Noga Erez
  • Genre: Pop/Rock
  • Label Prod: City Slang / Konkurrent
  • Date: 2017-06-02
  • Rating: 4
Lu 941 fois
Plus dans cette catégorie : « The big beat Mechanics of dominion »