Hormis son intitulé, le premier essai du Britannique Steve Webster alias The Black Neon n’a aucune affinité avec le label Arts & Crafts. Loin de là. Dès les premières secondes de la plage d’ouverture, « Ode To Immer Wieder », on assiste à la résurrection de la scène électronique allemande des années 70. The Black Neon s’applique donc à imiter Kraftwerk ou encore Neu!, sans pour autant atteindre leur brio. Voyage à travers le temps et l’espace, « Arts & Crafts » nous emmène ensuite faire un tour en Grande-Bretagne, chez Pink Floyd (« The Ghosts ») ou du côté de New Order circa « Get Ready » (la ressemblance troublante entre « TX81Z » et le « 60 Miles An Hour » des Mancuniens). A priori déroutant de par la largesse des univers parcourus, le disque recèle cependant quelques perles d’indietronica (« Hollywood 1, 2 & 3 », « Infinity Pool », « Shoot Me Into Space »). The Black Neon gagnerait toutefois à se forger une identité propre. Omniprésentes sur toute la longueur du disque, les influences évoquées altèrent l’originalité de l’objet. On aurait alors tendance à délaisser ce dernier pour se rabattre sur des bons vieux « Authobahn » ou « Wish You Were Here »…
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