Pas d’amis, pas de douleur pour Johnnie Carwash…

« No Friends No Pain », c’est le titre du nouvel elpee de Johnnie Carwash. En attendant, il nous en propose un extrait, sous forme de clip, « Aha (it's ok) ». Ballade pop façon The Drums, « Aha (it's ok) » est un morceau mélancolique qui a conservé la…

logo_musiczine

Pour Jane Weaver, l’amour est un spectacle permanent...

Jane Weaver, aka Jane Louise Weaver, est une musicienne originaire de Liverpool. Son nouvel opus, « Love In Constant Spectacle », paraîtra ce 5 avril 2024. Il a été produit par John Parish (PJ Harvey, Eels, Sparklehorse). Son disque le plus intime et le plus…

Langues

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Civic
Egyptian Blue

Pilgrilm Road Spécial

Écrit par
&

Pour enregistrer son septième opus, Robert Fisher a reçu le concours d’une multitude de collaborateurs. Plus d’une vingtaine. Malcolm Lindsey, tout d’abord. Un écossais responsable de la composition de B.O. de films, mais également de partitions plus ‘classiques’. Il partage l’écriture des morceaux et joue du piano, de la guitare acoustique et électrique, des claviers (notamment un orgue à soufflets) et apporte son concours aux vocaux. Il partage également la production et les arrangements avec Robert. Les sessions d’enregistrement se sont d’ailleurs déroulées, notamment à Glasgow au sein de studios de Malcolm, mais également à New York et Los Angeles. Et puis une pléiade de musiciens qui se partagent une volée d’instruments tant ‘classiques’ que conventionnels : piano, harmonium, six cordes, violon, violoncelle, trompette, vibraphone, alto, double basse, basse, slide, percus, drums, etc., sans oublier la chorale : The Pilgrim Choir. Parfois gospel, parfois puissante, solennelle. Robert se concentre exclusivement sur le chant. Et tout au long de cet elpee, son baryton est vraiment bouleversant. Sur le meilleur titre de l’œuvre, valse déchirée entre symphonie et fanfare, « Painter blue », il parle d’ailleurs plus qu’il ne chante, dans un registre proche de Simon Huw Jones, d’And Also the Trees. La symphonie, c’est d’ailleurs l’impression générale qui émane de ce « Pilgrim road », une symphonie souvent ténébreuse, toujours majestueuse, profonde, au cours de laquelle Fisher est à nouveau hanté par sa quête perpétuelle de la spiritualité. Et en particulier par la foi, la mort et la rédemption. Il aura cependant fallu cinq années pour réaliser un tel projet ; et si le résultat est tout à fait convainquant, il prend une toute dimension sur les planches. Plus vivante, moins sophistiquée, mais tout aussi riche…

Informations supplémentaires

Lu 792 fois
Plus dans cette catégorie : « Unveil Horses of war »