Cinq ans après avoir gravé l’excellent « Best Friend », Pale Grey nous propose enfin, un nouvel opus, qui s’intitule sobrement « Waves »… Drivée par Gilles Delwaque et Maxime Lhuissier (Dan San), la formation a décidé d’élargir son horizon sonore en invitant le rappeur américain Serengeti (« Late Night », « Crow ») tout en lorgnant vers Why ? Il s’ouvre également et ouvertement sur l’électro/pop (« Seasons ») tout en ne négligeant pas pour autant ses références indie-pop. Qu’elles soient empreintes de délicatesse (« Wave »), de mélancolie (« Billy ») ou particulièrement mélodiques (« Blizzard »), dans l’esprit de pointures du genre telles que Grizzly Bears et autre Alt-J. Le tout est en outre parfaitement produit par le Français Yann Arnaud, déjà vu aux côtés d’Air ou de Phoenix. Ne manquant ni de classe ni d’inspiration, ce « Waves » devrait rapidement faire des vagues dans les cœurs des mélomanes…
ns après avoir gravé l’excellent « Best Friend », Pale Grey nous propose enfin, un nouvel opus, qui s’intitule sobrement « Waves »… Drivée par Gilles Delwaque et Maxime Lhuissier (Dan San), la formation a décidé d’élargir son horizon sonore en invitant le rappeur américain Serengeti (« Late Night », « Crow ») tout en lorgnant vers Why ? Il s’ouvre également et ouvertement sur l’électro/pop (« Seasons ») tout en ne négligeant pas pour autant ses références indie-pop. Qu’elles soient empreintes de délicatesse (« Wave »), de mélancolie (« Billy ») ou particulièrement mélodiques (« Blizzard »), dans l’esprit de pointures du genre telles que Grizzly Bears et autre Alt-J. Le tout est en outre parfaitement produit par le Français Yann Arnaud, déjà vu aux côtés d’Air ou de Phoenix. Ne manquant ni de classe ni d’inspiration, ce « Waves » devrait rapidement faire des vagues dans les cœurs des mélomanes…