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Cold War Kids

Behave Yourself (Ep)

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Cold War Kids s’est fendu de cet Ep, début au début de l’année. Il précède la sortie d’un nouvel opus qui devrait paraître d’ici quelques semaines. Le fantastique gang californien méritait donc qu’on s’attarde sur la sortie de ce disque. Et pour cause, le soul/punk dispensé sur les 4 plages de ce « Behave Yourself » est toujours aussi convainquant. Ces compos avaient été enregistrées pendant les sessions de « Loyalty to Loyalty ». Elles avaient été écartées. Avant d’être récupérées pour figurer sur cet Ep. ‘Elles sont restées sur le côté un moment, ont été oubliées, mais doucement ont commencé à refaire surface et, peu à peu, insisté pour raconter leur propre histoire’ justifie Nathan Willett, le leader du groupe.

Il aurait vraiment été dommage de se priver de titres aussi indispensables qu’« Audience » ou « Sermons ». On reconnaît immédiatement le timbre de voix très expressif de Nathan Willett. Mais aussi ses interventions au piano. Le leader des ‘Enfants de la guerre froide’ peut cependant compter sur un backing group toujours aussi soudé et solide. Et l’émotion libérée par les compos prend aux tripes instantanément.

Après avoir écouté ces 4 plages, on imagine facilement que leur troisième long playing sera de la même trempe que les deux premiers (« Robbers & Cowards » et « Loyalty to Loyalty »).  Une chose est sûre, ces Californiens nous rassurent et démontrent que leur musique est toujours aussi ténébreuse, flamboyante et tourmentée…

 

Cold War Kids

Robbers & Cowards

Écrit par

Société de consommation, civilisation d’adorateurs spécialisés dans l’art de la consommation impulsive, réjouis-toi : le New Musical Express vient de révéler le nom du ‘meilleur groupe émergent de la scène américaine’ ! Célébrité en devenir ou simple feu de paille fomenté par le NME, Cold War Kids s’impose et revêt le maillot rouge du buzz, patron incontesté du peloton dans ce tour de hype mensuel. Aperçus sur scène aux côtés des Two Gallants, révélés par un E.P. tonitruant (« We used to vacation EP »), les Californiens tendent aujourd’hui à justifier l’engouement suscité par la sortie de « Robbers and Cowards », leur premier album. Riffs menaçants, notes de piano chaotiques, voix chancelante, notre oreille emprunte le chemin tortueux esquissé par Nathan Willett et son équipe.

Ici, le post-punk se couvre d’envolées lyriques, les mélodies se déversent dans un déluge de distorsion, avant d’échouer sur les berges d’un havre de paix. Cold War Kids semble apprécier les ruptures, passant aisément d’un moment de pure tension à une embardée d’émotions. Sur « Robbers and Cowards », la formation de Long Beach laisse entendre l’écho de son chant théâtral, l’énergie de son désespoir, la variété de son répertoire. Les Kids ressuscitent les mélopées désabusées de Jeff Buckley sans se soucier des qu’en dira-t-on. Et, incontestablement, ce premier album de Cold War Kids séduit.

 

 

 

Cold War Kids

We used to vacation EP

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Aperçus en première partie des concerts européens de Two Gallants, les Américains de Cold War Kids tentent, cette fois, une percée sur le Vieux Continent par l’entremise de « We used to vacation », premier EP publié sur nos terres. Soit quatre titres pour découvrir l’univers de ce quatuor californien. Une énergie empruntée au meilleur de la scène post-punk et un lyrisme proche des complaintes de Jeff Buckley charpentent les bases sonores de ce nouveau projet fomenté du côté de Long Beach. Le nouvel album de Cold War Kids est attendu pour le début de l’année 2007. D’ici là, on se remémore avec bonheur la folle exubérance dégagée lors de leur concert. Bien plus puissant encore que les titres ici proposés par le groupe. Sur scène, Cold War Kids laisse entendre un groove chaotique, des envolées de riffs nerveux et de puissantes lignes de basse. Voilà, peut-être, comment sonnerait la musique de Starsailor si la formation anglaise n’avait pas oublié de brancher ses guitares...