Lylac rencontre les esprits de la nature…

Telle une allégorie d’un paradis perdu, le nouveau single de Lylac, “The spirits of the wild”, évoque son fantasme ‘Eastwoodien’ des grands espaces sauvages et inexplorés. Fleuretant avec l’idée de la recherche du mythe ultime cher aux artistes californiens…

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Le 7ème art soviétique inspire Bodega…

Le nouveau long playing de Bodega "Our brand could be yr life" paraîtra ce 12 avril 2024. En fait, il s’agit d’un ‘remake’ de l'unique LP de Bodega Bay, l'ancien groupe de Ben et Nikki, un disque auto-édité de 33 titres qui remonte à 2015. Sur cette nouvelle…

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Shivaree

Tainted Love : Mating calls and fight songs

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Le nouvel album de Shivaree « Tainted Love : Mating calls and fight songs » aligne onze reprises de compos partageant un même thème : les blessures de l’amour. La chanteuse de Virginie a adapté ici des chansons d’artistes aussi divers et variés que Chuck Berry (« I wanna be your driver »), R.Kelly (« Half on a Baby ») ou encore Gary Glitter (« Hello Hello I’m back again ») et même Michael Jackson (« Don’t Stop Till You Get Enough »). En outre, Benjamin Biolay a participé à la production de quelques morceaux. Ambrosia Parkley nous pond ici un album parenthèse plutôt fade, dont on ne comprend pas l’utilité. Quand on sait que la belle a accouché de chefs d’œuvre aussi intemporels que « Goodnight Moon » (NDR : final de la compile « Kill Bill 2 »), on ne comprend pas comment elle a pu se fourvoyer dans une telle entreprise ? On pourrait faire preuve d’indulgence car l’album a été conçu pendant la grossesse de la chanteuse. Impossible de dire s’il y a une corrélation entre l’un et l’autre mais le résultat est en tout cas une grosse déception.

Shivaree

Who´s Got Trouble

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Aaaah, Ambrosia… Révélé au grand public grâce à « Goodnight Moon », son tube planétaire, Shivaree est aussi et surtout le groupe d’Ambrosia Parsley, chanteuse dont la voix et les déhanchements délicieusement mutins suffiraient à déformer la toge de Ratzinger lui-même… Pour le reste, le combo n’est plus jamais arrivé à produire de morceaux atteignant la qualité de leur hit et il faut bien admettre qu’on les avait un peu oubliés malgré un album (« Rough Dreams ») paru en 2002. Il a donc fallu attendre un peu plus de trois ans pour que les Californiens nous reviennent avec « Who’s Got Trouble ? ». Troisième opus de leur discographie, celui-ci peut être accrédité de la mention ‘bien’, sans pour autant péter des flammes. On retrouve en effet, au détour des 11 morceaux proposés, les qualités et défauts qui font que Shivaree est et restera une formation attachante, mais à la production assez inégale. Bonnes ambiances, parfums d’Amérique déjantée, compos country mélodiques et de caractère, voix dont nous n’avons déjà que trop parlé ; l’ensemble pourrait sembler tout à fait séduisant s’il ne manquait ce petit quelque chose, cette petite étincelle qui, parfois, transforme l’argent en or…

Shivaree

Rough Dreams

Ambrosia Parsley est charmante : son joli minois, malheureusement caché sur la pochette par un masque aux allures SM, nous ferait presque oublier sa musique, aguicheuse, et sa voix, sensible et sensuelle. On aimerait bien l'enlever, ce masque, pour plonger dans les yeux de la belle, comme on se love dans les airs délicats de ses chansons douillettes. Il y deux ans, elle se révélait à nous avec son premier album au titre interminable, " I Oughta Give You a Shot in the Head for Making Me Live in this Dump ", un CD bric à brac rempli de jolis morceaux à fredonner au coin du feu, le tube " Goodbye Moon " comme charpente un peu branque. Ce " Rough Dreams " mêle encore toutes les musiques les plus troublantes, preuve qu'Ambrosia et ses deux compagnons de route (le guitariste Duke McVinnie et l'organiste Danny McGough) n'aiment pas les chapelles : jazz, blues, rock (" Thundercats ", aux envolées de riffs à la Garbage), swing (" John, 2/14 ", ou la rencontre entre Goldfrapp et Phil Spector), pop (" Reseda Casino "),… Riche et voluptueux, " Rough Dreams " ravira les fans et convaincra les autres. Ambrosia, quand tu nous tiens !