Les textes candides mais positifs de Sea Girls…

Ce quatuor londonien –composé de Henry Camamile (chant, guitare), Rory Young (guitare), Andrew Dawson (basse) et Oli Khan (batterie)– s'impose par sa franchise rafraîchissante, ses mélodies accrocheuses et des paroles candides et positives. En outre, Sea…

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La douce fantaisie de Spell Trouble…

Maximilan Seifert, aka Spell Trouble, est un musicien établi à Berlin. Son nouveau titre, « Soft Fantasy », constitue le deuxième d'une série de morceaux qui seront publiés cette année sur le label suisse Irascible Music. Sur « Soft Fantasy », il ne s'agit…

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Tokyo Sex Destruction

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Cette compile réunit des singles mis en ligne par le groupe sur des plates-formes légales de vente. 15 morceaux parmi lesquels figurent deux covers. Tout d’abord « People in me », un des deux hits de Music Machine, formation californienne météorique, dont la notoriété n’a jamais dépassé l’année 1967. Et puis le « Get on your knees » de Los Canarios, un combo issu des Canaries qui a sévi entre 1967 et 1974. Ce quatuor espagnol pratique une musique garage largement contaminée par le funk. Pour vous donnez une petite idée, imaginez un Lenny Kravitz qui aurait décidé d’en revenir à des influences plus respectables : c'est-à-dire Jimi Hendrix, Sly & The Family Stone et le MC5. Pas pour rien que les quatre musiciens ont décidé de choisir pour pseudo nom de famille, celui du manager de la formation mythique de Detroit : Sinclair. Pour l’une ou l’autre compo, JC., R.R., R.J. et S.F. ont quand même reçu le concours d’un drummer/percussionniste et surtout d’un saxophoniste/trompettiste, histoire de donner une coloration latino-jazzyfiante à leur expression sonore (« When the shadows cross the river »). Deux plages (« Old man » et « Another day ») empruntent curieusement le sens mélodique complexe de Make Up, alors que « Your best friend is dead » trahit des réminiscences hardcore. Plus étonnant, « Summer days » s’abandonne dans une sorte de bossa nova lounge. T.S.D. s’autorise même une version acoustique de ce fameux « Old man ». Quant à la voix de J.C., son amplitude lui permet d’emprunter une multitude d’inflexions. Elles oscillent ainsi de Hugh Cornwell à Bryan Ferry, mais sans jamais en égaler le timbre. Mais ce type de vocaux correspond parfaitement à la musique de cette formation ; les chœurs falsetto des trois autres musiciens apportant un petit côté kitsch aux mélodies…