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IAMX

Un come-back triomphal...

Victime d’une grave dépression, dont il a souffert il y a un an et demi et qui aurait pu l’emporter, Chris Corner, alias IAMX, est de retour. Musicien et producteur anglais, il a débuté sa carrière en gravant trois opus au sein de Sneaker Pimps ; et, ensuite, en a publié six pour son projet solo, IAMX. Le grand public le connaît surtout grâce au hit « Spit It Out ». Aujourd'hui, Chris Corner vient présenter son (excellent) nouvel LP : « Metanoia ». La soirée commence très bien, car le petit prince de l'électro-rock a accordé une interview à Musiczine (lire ici ). Les échos recueillis sur Internet et dans la presse pour sa tournée en cours sont très favorables ; ce qui laisse augurer un concert mémorable...

L'Ancienne Belgique est quasi-remplie quand la formation monte sur les planches. La ferveur des inconditionnel(le)s de Corner est déjà bien palpable ; car de nombreux cris de joie retentissent parmi les premiers rangs. Lors du premier titre, « I Come With Knives », on reconnaît les différents protagonistes : Chris Corner se plante au centre, en prince noir, caché dans un sweat à capuche. A droite, s’est installée l'inséparable Janine Gezang, la claviériste, bassiste et choriste allemande qui le suit déjà depuis plusieurs années. A gauche, l'Américaine Sammi Doll (NDR : elle avait accompagné le combo lors du périple d’IAMX, en 2013). Elle se consacre aux claviers et backing vocals (NDR : cette jolie brunette milite également chez Bullet Height et Losers). Enfin, à la batterie, siège un autre ressortissant de L.A., Jon Siren (NDR : jouissant d’un background heavy metal / industrial, il drive Mankind Is Obsolete et a joué pour une pléiade de formations : Information Society, Early Man, Psyclon Nine, Dismantled, God Module, ...)

Le concert vient à peine de commencer et c'est déjà la folie dans l'AB. Ca bouge énormément sur scène et dans le public. Les compositions prennent en ‘live’ une dimension très électro, et même carrément 'club remix'. Ici, on a ajouté une introduction semi-acoustique, là, adopté des progressions empruntées aux musiques 'dance'. Le résultat est irrésistible et on se rend compte de l'incroyable aptitude dont dispose Chris Corner pour signer des titres que l'on peut chanter à tue-tête, sans que ce ne soit de la pop mainstream.

La setlist est facile à suivre vu qu'IAMX joue la même depuis le début de sa tournée. « Metanoia » en constitue tout naturellement la composante principale et on est très heureux de constater que « Happiness », « No Maker Made Me » et « Surrender » passent très bien la rampe.

Mais c'est bien sûr « Spit It Out » qui constitue le premier point culminant de la prestation. L'introduction, exécutée quasi a capella, est un teaser parfait avant le déferlement des synthés et des drums. Emporté par une vague électronique, la foule chante à l'unisson le refrain : ‘And it breaks my heart...’ Chris Corner excelle également dans l'art de la performance. Il tient littéralement le public dans sa main. Sa prestance naturelle, subtilement androgyne, focalise tous les regards. Le front bordé de paillettes et le visage maquillé de blanc, il ressemble à un Bowie glamoureusement fantomatique. Le chant est précis, juste et puissant ; et une relation de profonde connivence s’établit entre les spectateurs et l’artiste.  ‘Thank, you ! It's good to be back’, confie-t-il, avant de murmurer ‘Let's get dirty !’.

Pendant « Volatile Times », il commence à taper sur les fûts en compagnie de Janine. Soudain, il soulève le t-shirt de son acolyte, révélant une poitrine cachée par de l'adhésif noir : ‘dirty’, en effet ! Après le superbe « Bernadette », IAMX se lance dans ce qui constituera le climax du concert : « After Every Party I Die » et « Aphrodisiac ». La salle est transformée en énorme dance-floor et on entre comme dans une transe tribale, éblouis par les stroboscopes.

Au cours de l'interview réalisée avant le concert, votre serviteur avait demandé à Chris Corner pourquoi il n’invitait plus les fans à monter sur le podium, comme à ses débuts. Me prenant au mot, il avait promis de s'exécuter et de renouer avec cette tradition le soir même, à l'AB. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque, en plein milieu du dernier titre, « Your Joy Is My Low », il s'avance au bord de l’estrade et me pointe du doigt en disant : ‘Come on the stage, let's dance !’ Pas question de se faire prier pour se retrouver en compagnie d’une dizaine d’aficionados, afin de danser. Un moment inoubliable, immortalisé dans cette vidéo (voir

Au cours du premier rappel, l'ambiance monte encore d'un cran grâce à un autre hit d'IAMX : « Kiss + Swallow ». A nouveau, la composition est magnifiée par son adaptation 'live' et les fans reprennent tous en choeur : ‘Echo echo, I know it's a sin to kiss and swallow’. IAMX accordera enfin un second rappel, sous la forme du très émouvant « I Am Terrified ».

Bref, on a assisté à ce qui peut être considéré comme un des concerts de l'année, si pas ‘le’ concert de l'année. On a rarement vu une association aussi réussie entre qualité musicale, performance scénique, et surtout, une telle intensité émotionnelle ; un peu comme une communion orgasmique entre les artistes et le public. Le petit prince de l'électro-rock est de retour et c'est un retour... triomphal.

Pour la section photos, c’est ici 

Pour lire l'interview de Chris Corner, réalisée avant le concert, c’est là 

Pour commander « Metanoia », c’est encore ici 

 

 

 

 

IAMX

Le petit Prince est de retour...

IAMX, le projet de Chris Corner (ex-Sneaker Pimps), inaugurait sa tournée ‘Animal Impulses’ à l'Ancienne Belgique, le 28 mars dernier. C'est la 4ème fois en 4 ans que la formation réserve cette salle mythique bruxelloise au cours du mois de mars : une belle régularité! Cette tournée sert à promouvoir le cinquième opus du groupe, "The Unified Field", sorti le 15 mars.

Mais c'est d'abord Moto Boy qui ouvre les hostilités. Oskar Humlebo est un bellâtre suédois un peu efféminé qui chante des mélodies douces d'une voix touchante et quasi-religieuse, proche de Jeff Buckley... Que ce soit soutenu par une bande-son ou seul à la guitare, il parvient à attirer l'attention du public, surtout au moment où, délaissant son micro, il vient se planter au devant de l’estrade pour chanter sans amplification. Une découverte intéressante.

Pour son nouveau spectacle, IAMX a disposé, sur le podium, trois écrans vidéo. Un à chaque extrémité et le troisième derrière devant une grande toile qui sert également aux projections. On remarque également la présence d’un fût de bière au milieu du jeu de quilles. Serait-ce un clin d'œil adressé à une des spécialités de notre beau pays ? La clameur du public devient insistante et derrière la scène, on aperçoit l'ombre de Chris Corner qui se sert un verre de vin. Jolie entrée en matière! La formation monte sur les planches pour entamer "Animal Impulses". Un choix étonnant, car la chanson n'est pas vraiment un hit. Egalement tiré du dernier opus, "Sorrow" permet à l'ambiance de monter d'un cran, surtout au moment du superbe refrain. En plus de Janine Gezang, la fidèle complice, aux claviers et au chant, Corner est accompagné de Richard Ankers à la batterie, Alberto Alvarez à la guitare et d'une très jolie blonde aux claviers : Sammi Doll. Le son est excellent et la voix de Corner, forte et cristalline. Par contre, le groupe nous a malheureusement choisi un light-show très minimaliste. Ainsi, la plupart du temps, le spectacle est plongé dans l'obscurité.

Soudain retentit le riff de basse synthé de "Kiss + Swallow" et toute la salle s'embrase. Ce hit imparable date de 2006 et n'a pas pris une seule ride. Chacun se surprend à chanter à tue-tête ‘Echo, Echo, I know it's a sin to Kiss and Swallow’. L'intensité se prolonge sur "Kingdom of Welcome Addiction" et "Tear Garden", au cours duquel Corner se déchaîne aux percussions. Après le très beau "My Secret Friend" et le plus terne "Trials", c'est un nouveau moment phare du concert : "The Unified Field", probablement le titre le plus efficace du nouvel album éponyme. Un beat électro irrésistible, un riff de synthés et des mélodies accrocheuses. Tout y est! La réaction du public est enthousiaste (NDR : voir ici)

Ensuite, le groupe aligne une succession ininterrompue de hits, jusqu'au dernier morceau du set : "The Alternative". Mais IAMX revient bien vite pour trois titres supplémentaires: "I Come With Knives" (NDR : à regarder ), une chanson forte et hypnotique incluant un poème en allemand chanté par Janine Gezang et Sammi Doll, suivi de l'incroyable et très burlesque "President", avant de finir par un "Nightlife" (NDR : à découvrir encore ici) très bien enlevé, qui se termine a capella, à l'unisson avec le public.

Dans la setlist, on remarque l'absence de certains titres phares comme "Spit It Out" ou "After Every Party I Die" mais dans l'ensemble, c'est une bonne combinaison de nouveautés et de 'classiques'. Le groupe est en pleine forme et semble même avoir reçu une nouvelle impulsion grâce au nouvel opus. Evidemment, on regrette la folie qui animait les premiers concerts de Corner en 2006-2007, mais le musicien a mûri et reste quoi qu'il en soit un des meilleurs singers/songwriters des 10 dernières années. Multi-instrumentiste, chanteur, compositeur et producteur, il a réussi à développer un univers musical étonnant, qui combine avec bonheur des éléments new-wave, funk, dance et indie-pop, soulignant le tout de paroles intelligentes et extrêmement sexy. Le petit Prince est de retour et il assure grave!

Setlist:

Animal Impulses
Sorrow
Kiss + Swallow
Kingdom
Of Welcome Addiction
Tear
Garden
My Secret Friend
Trials
The Unified Field
Cold Red Light
Walk With The Noise
Music People
The Alternative

Rappel :

I Come With Knives
President
Nightlife

(Organisation : Nada Booking & AB)

 

IAMX

Comme un diesel…

Écrit par

La route qui nous mène à la toute nouvelle salle montoise de l’On-air studio ce samedi est parsemée d’embûches. Outre les travaux entrepris à la rue de Nimy (celle qui aurait dû nous mener à destination), nous sommes retardés par un accident de la circulation, croisé sur notre itinéraire. Arrivé enfin dans la cité du Doudou, nous parquons notre véhicule avant d’en sortir pour emprunter des  trottoirs qui n’en sont plus vraiment. On entend des cris barbares qui résonnent depuis l’autre côté de la ville ; c’est que l’Albert joue au foot à domicile ce samedi.

Mais au bout de ce chemin de croix, la récompense est là. Tout d’abord celle de redécouvrir un lieu de sortie montois, l’Alhambra, rafraîchi et débarrassé de sa réputation d’endroit louche. Malgré le sold-out, la salle surplombée de deux balcons (et un bar à l’étage) n’est pas bondée, mais s’avère particulièrement conviviale…  

Répondant au patronyme de Noblesse (NDR : oblige !), le supporting act bénéficie d’un accueil chaleureux. La formation revisite les 80’s en se servant de sonorités électro basiques et ‘vintage’. Quoique secouant sa dark-wave de percussions africaines, le résultat n’est guère percutant. Le duo me fait même parfois penser à Neon Judgement (NDR : des vieux de la vieille !) Sauf que la chanteuse, Valérie Renay, est également une actrice. Une situation démontrée par son jeu de scène et ses nombreux changements de fringues, aussi excentriques les unes que les autres.

Et bien que le matériel d’IAMX soit déjà prêt en arrière-plan du podium, le groupe attend 22 heures avant de faire son apparition, de manière faire monter l’ambiance d’un cran. Chris Corner et sa bande débarquent sur une déferlante de beats. La troupe multiplie ses efforts pour chauffer le public ; mais les titres du dernier album (« Volatile times ») sont tellement plats, que ma réaction première est plutôt glaciale. Le son est approximatif. Le jeu de lumières assez sombre. Marie devra d’ailleurs trimer pour immortaliser quelques clichés. Il faut attendre des titres plus excitants comme « Nightlife » ou « Kiss of swallow » (NDR : et un retour sur le premier album) pour que le set reprenne du poil de la bête. Notamment lors des excellents arrangements réservés sur « My secret friend ». Ou quand trois des quatre musiciens décident de s’acharner sur des percus en tout genre. Après une bonne heure de concert, la température est quand même montée de plusieurs crans.

Avant le rappel, on s’éclipse pour se rafraîchir au bar. Juste le temps de redescendre pour assister à un final époustouflant. Quatre titres dont le dantesque « Spit it out » qui met le feu à la foule. L’atmosphère est alors à son paroxysme. Bref, tout le monde attend un second rappel. De longues minutes d’attente laissent espérer un nouvel encore. Mais le groupe ne reviendra plus. Les lumières se rallument. Qu’importe, les spectateurs affichent des mines réjouies. Il faut dire qu’en dépensant 20€, dans une salle aussi intimiste, pour un set d’1h30, les spectateurs n’ont pas été lésés.  

Mons n’a pas encore été désignée capitale culturelle européenne pour 2015. Mais une telle soirée qui se prolonge encore dans les bars rock’n’roll des environs, nous permettent d’imaginer que sa candidature est en bonne voie.

Setlist :
 

1.         Into Asylum 
2.         Music People 
3.         Nightlife 
4.         Ghosts of Utopia 
5.         My Secret Friend 
6.         Fire & Whispers 
7.         Tear Garden 
8.         Oh, Beautiful Town 
9.         Volatile Times 
10.       Think of England 
11.       Nature of Inviting 
12.       Cold Red Light 
13.       Kiss & Swallow  

-           Rappel –

14.       Bernadette 
15.       The Alternative 
16.       Bring Me Back a Dog 

17.       Spit It Out 

(Voir aussi notre section photos)

IAMX

Digne d’IAMX !

Écrit par

Enfin ! Il est enfin arrivé ! IAMX est venu nous en mettre plein la vue et les oreilles, dans une AB sold out depuis déjà quelques semaines, lors d’une présentation de leur très attendu 3ème album, « Kingdom of Welcome Addiction »

Mais est-il encore nécessaire de vous faire les présentations ? Pour celles et ceux qui s’en souviennent, le charismatique Chris Corner était le leader du groupe Sneaker Pimps. Mais en parallèle, il a fondé IAMX, un projet musical électro aux influences eighties, responsable à ce jour de deux albums : « Kiss+Swallow » en 2004 et « The Alternative » en 2006.

C’est donc, très enthousiastes que les fans ont accueilli le show de Chris Corner et de ses acolytes ; c’est-à-dire Dean Rosenzweig à la guitare, Tom Marsh à la batterie ainsi que Janine Gezang au claviers/synthés/basse. Car ce n’est pas à un simple concert auquel nous avons eu le droit d’assister, mais bien à un grand ‘spectacle’ ! A chaque passage du groupe, que ce soit en salle ou en festival, une véritable explosion d’applaudissements accompagne les premières notes de leur set ! Chaque personnage donne tant d’énergie qu’il est impossible de rester stoïque face à leur show ! De véritables piles électriques !

« Bring Me Back A Dog » ouvre les hostilités. Le groupe branche immédiatement les électrodes aux oreilles d’un public qui se presse instantanément vers les profondeurs de leur son électro et dansant. Entre regard vénitien et costume moderno-classico-glam, IAMX, nous précipite au sein d’un théâtre d’ambiance qu’il est le seul capable de nous faire partager. Les premiers accords de « Kingdom Of Welcome Addiction » (NDR : un extrait du dernier elpee) sont dignes d’un DJ set. La suite est impeccable. L’atmosphère cependant plus minimaliste. Les tonalités plus rock voire plus lourdes. Mais toujours, on retrouve cette touche personnelle, dont le groupe a fait sa signature musicale. D’un répertoire riche en mouvements musicaux différents, Chris nous lâche « The Alternative », suivi de « Sailor » et « An I For an I » pour mettre le feu aux poudres. Enflammé et frénétique, le public suit le mouvement. Faut dire que les fans, pour la plupart féminines, étaient relativement remontés ce soir… Certain(e)s avaient même attendu une bonne partie de la journée, devant l’entrée de l’AB, pour se réserver les meilleurs places, face au podium.

Mais la pression s’adoucit sous une ambiance d’ombres chinoise où Chris Corner, derrière un voile, nous communique sa chaleur émotionnelle à travers l’éthéré « I Am Terrified » (du nouvel album) et le magnifique « This Will Make You Love Again ». Cependant, le calme ne règnera guère très longtemps. Le show reprend subtilement pour nous emmener au cœur des festivités du monde de la nuit, comme si nous étions plongés dans une une discothèque. « Spit It Out », « Night Life » ainsi que « Kiss+Swallow », entrecoupés par quelques compos du nouvel opus, font trembler, comme on aime tant, la salle de l’AB ! La foule en redemande. Conquise par cette énergie captivante, elle refuse que cette soirée prenne fin. Certains fans se lancent dans un crowdsurfing. Les bras et les têtes remuent au rythme de la batterie. Au sein de cet univers particulier, les sens se lâchent, laissent parler les corps. Chris communique avec son public, le remercie chaleureusement, arpente toute la largeur de la scène. Janine, Dean et Tom ne sont pas en reste. Ils aiment le ‘live’ et ça se voit ! D’ailleurs, on ne se lasse pas de les suivre ; et même en festival, les gens qui découvrent le groupe sont généralement conquis.

Un rappel sous un tonnerre d’applaudissements nous catapulte sur l’excellent nouveau single « Think Of England », enchaîné à « Negative Sex » et au fabuleux « President ». La foule danse et en redemande encore. La troupe achève cependant son spectacle par « Your Joy Is My Low » et « After Every Party I Die ». Moment choisi par Dean pour ponctuer sa ‘course’ d’un saut mémorable au milieu des fans ! Bref, fougue et originalité ont émaillé ce concert… digne d’IAMX !

Malgré les acclamations de la foule, les lumières se rallument pendant que les haut-parleurs diffusent « La vie en rose » d’Edith Piaf. Que le public, heureux d’avoir passé une superbe soirée, reprend en chœur. Cerise sur le gâteau, Tom et Dean se mêlent aux spectateurs pour partager quelques séances photos.

Le troisième opus d’IAMX, « Kingdom Of Welcome Addiction », paraîtra dans le courant du mois d’avril. Il est déjà disponible sur leur site web : http://www.iamx.eu. Et pour ceux qui n’ont pas eu la chance de participer à cette fête, ce samedi, ils pourront toujours aller les applaudir ce 27 mars, à Herve, dans le cadre du Belzik Festival.

Organisation AB.