La révolte de Bagdad Rodeo...

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Meril Wubslin fait ça… et dans la langue de Molière…

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The Strokes

Is this it

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Ce disque vient d'être plébiscité meilleur album de l'année, dans le NME. Etonnant, lorsqu'on sait que ce quintet ne compte qu'un peu plus de deux années d'existence. Mais il faut croire que les vertus du rock 'n roll sont immortelles ; et que nonobstant ses cinquante balais (NDR : le rock' n roll, hein !), il séduit toujours un large public. Rock 'n roll dans les lyrics et l'attitude, tout d'abord. Certains diront peut-être punk, mais c'est du pareil au même ! Cette bande de trublions n'hésitant pas à vilipender tout ce qui touche à l'establishment. Et en particulier les forces de l'ordre de New York. Le titre " New York city cops ", s'est même vu soustrait de l'opus aux States, peu de temps après les événements du 11 septembre. Il figure cependant toujours sur la version destinée au Vieux Continent. Rock 'n roll à cause de leur musique. Enfin, les puristes me rétorqueront garage rock ! Parce qu'on n'y retrouve aucun artifice technologique. Juste deux guitares, une basse, une batterie et un chanteur. Et comme le groupe nous vient de New York, il n'est guère étonnant que des mythes comme le Velvet Underground, Television ou Sonic Youth exercent une influence majeure sur la musique des Strokes. Mais également la scène urban rock de Detroit de la fin des sixties. Et je pense ici tout particulièrement à MC5 et aux Stooges. La voix de Julian Casablanca cumulant d'ailleurs le timbre de Lou Reed et les inflexions d'Iggy Pop, mais sans l'amplitude. Pas de solo de guitare intempestif, mais des cordes de guitares qui grattent, qui hoquètent ou jacassent, en s'appuyant sur une section rythmique rythm'n blues à coloration ‘motown’. Un sens mélodique particulièrement contagieux, opérant régulièrement une fusion entre celui des Smiths et du Jam. Et puis un groove qui évoque instantanément " Street fighting man " voire " Jumpin' Jack flash " des Stones. Les Stokes viennent de frapper un grand coup !…