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[Jelly]

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Franchement ce quintet m’intrigue. Une formation responsable de cette démo 5 titres et dont les membres sont issus de la région d’Enghien et de Braine l’Alleud. Tout ce que j’ai pu lire à leur sujet jusqu’à présent m’a laissé sur ma faim. En outre, il m’a fallu plusieurs écoutes pour pouvoir tracer un profil plus ou moins cohérent de leur style musical. En fait, le groupe a tellement bien digéré ses influences, qu’il est très difficile de les isoler. Et lorsqu’une d’entre elles transparaît, elle est rapidement absorbée par une autre. Une chose est sûre, leurs références majeures sont puisées dans les eighties. Et c’est en les traitant d’une manière très contemporaine, qu’ils parviennent à se forger leur propre identité. Particulièrement complémentaires, voix et contre voix trament une sorte de mélopée envoûtante. Les guitares (NDR : il y en a parfois trois !) optent le plus souvent pour la ligne claire. La basse est ténébreuse. Les drums privilégient le tempo cold wave. Et puis, il y a les claviers (un instrument et un PC) responsables d’envolées atmosphériques dignes de Tubeway Army voire d’Ultravox (« I don’t wanna lie »), lorsqu’ils ne s’abandonnent pas dans un délire à la fois stridulent et hypnotique (la seconde partie d’« Helpless ants »). Aussi, vous ne serez pas trop étonnés si je vous annonce que la musique de [Jelly] lorgne insidieusement vers And Also The Trees, Chameleons et même un certain Poésie Noire (les débuts surtout), une formation limbourgeoise qui a connu un gros succès, au Nord du Pays, au cours de la seconde moitié des années 80. Suivant la formule consacrée, on devrait y voir plus clair lors de la sortie d’un premier album….