Yes SIHR !

Après quelques concerts / projections improvisés en duo, au Caire et à Beyrouth, pour les rencontres d’Arles, le centre photographique de Lille ou la revue belge Halogénure, Dargent et Oberland s’associent aux francs-tireurs Elieh et Halal pour un manifeste…

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Des grenades pour Tess Parks…

Née au Canada, mais établie à Londres Tess Parks sortira son cinquième elpee et le second en solo, « Pomegranate », ce 25 octobre. En fait elle en a gravé un en compagnie de Black Market Karma, et deux d’Anton Newcombe de Brian Jonestown Massacre. Ils sont…

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Huck You !

Écrit par

Les Français d’Huck ont pris leur temps pour enregistrer leur premier album. Il a été réalisé et mixé par Antoine Coinde (Izia, No One Is Innocent, ...) Une indication ? Un rock brûlant aux textes frondeurs, sis quelque part entre le son anglais de Kaiser Chiefs et le flegme de Deportivo… "Faire Parler La Foudre" est sorti ce 16 octobre.

http://www.huck-you.com/

 

Nouvel album d’Extrawelt !

Écrit par

Dès la sortie de leur premier maxi, "Soopertrack", le duo allemand a été directement propulsé au faîte de la techno minimaliste mondiale… Publié en 2008, leur album "Schöne Neue Extrawelt", confirmait ce statut, en devenant la meilleure vente de l'histoire du label Cocoon!

Ils sont de retour avec un deuxième opus intitulé "In Aufruhr", et toujours sur le label de Sven Väth.

Les fans vont pouvoir se délecter dès ce 16 novembre…

Tracklisting

01 The Next Little Thing
02 Division Dunkel
03 Blendwerk I
04 Leave 43 (Neverlasting Edit)
05 Aufwind
06 Herz aus Blech
07 Pontiac
08 Swallow The Leader
09 808 Slate
10 Blendwerk II
11 Phoebe
12 Dumb Age
13 Die Welt Ist Nicht Genug
14 Schlusslicht

 

Un Câlin ?

Écrit par

La sortie du 1er album de Câlin est imminente. Ce groupe, au nom aussi atypique que sa musique, réunit deux membres de la formation grenobloise, Rien, notoire pour son indépendance et sa folie douce.

"Black Chinese II" fait suite à un premier Ep sobrement intitulé "Sûrement pas de la harpe", publié en 2009.

On y croise, en vrac, des hymnes disco, des références à John Carpenter et Giorgio Moroder ainsi qu'une sombre histoire de Bande Originale d'un film qui n'existe pas…

Pour patienter jusqu'à la sortie de l'album, ce 21 novembre, on vous invite à jeter une oreille au "Club de la destinée", premier titre offert par Câlin…

http://calin.bandcamp.com/
http://www.myspace.com/calincanin

 

Pas de panne de réseau chez General Elektriks

Écrit par

A force d’enchaîner les concerts, General Elektriks a pris goût au jeu et à l’interprétation de ses propres compositions. Son nouvel album, « Parker Street » sera donc plus organique ! Pour la première fois, Salters ne s’est plus contenté de programmer : il a fait appel à un vrai batteur, Michael Urbano, un vieux loup de mer de la Bay Area, aguerri au funk, au rock et à la soul.

Ce projet s’intègre dans l’« Elektriks Collection », une série discographique gérée par Salters : le MC Pigeon John, Antonionian (batteur en live de General Elektriks) ainsi que Honeycut, trio de soul garage auquel participe aussi le musicien.

Un drôle d’oiseau à découvrir en concert, le 3 novembre, au Botanique…

 

Radiohead à nouveau remixé…

Écrit par

Jamais à court d’idées, Radiohead a annoncé la sortie d’un double album constitué de remixes de « The King of Limbs »’.

Et "TKOL RMX" jouit d’un casting de choix… jugez plutôt !

Tracklist:

CD1

CARIBOU Little By Little Rmx
JACQUES GREENE Lotus Flower Rmx
NATHAN FAKE Morning Mr Magpie Rmx
HARMONIC 313 Bloom Rmx
MARK PRITCHARD Bloom Rmx
LONE Feral Rmx
PEARSON SOUND Morning Mr Magpie SCAVENGER Rmx
FOUR TET Separator Rmx

CD2

THRILLER Give Up The Ghost HOUSEGHOST Rmx
ILLUM SPHERE Codex Rmx
SHED Little By Little Rmx
BROKENCHORD Give Up The Ghost Rmx
ALTRICE TKOL Rmx
BLAWAN Bloom Rmx
MODESELEKTOR Good Evening Mrs Magpie Rmx
OBJEKT Bloom Rmx
JAMIE XX Bloom Rework
ANSTAM Separator Rmx
SBTRKT Lotus Flower Rmx

http://www.radiohead.com/deadairspa

 

Domino nous gâte cet automne.

Écrit par

Au cours des prochaines semaines, le label Domino va sortir quelques albums particulièrement intéressants. Jugez plutôt :

17/10: Real Estate – “Days”
http://widget.dominorecordco.com/swf/widgetd.swf?api_key=565C690FBBB3FC0F9F

31/10: Dirty Projectors & Bjork – “ Mount Wittenberg Orca”
http://soundcloud.com/dominorecordco/dirty-projectors-bj-rk-on-and

7/11: Cass McCombs - “Humor Risk”
http://pitchfork.com/reviews/tracks/12363-the-same-thing/
http://pitchfork.com/tv/special-presentation/1788-cass-mccombs/2917-more-or-less/
http://soundcloud.com/dominorecordco/cass-mccombs-robin-egg-blue/s-Z6Hwi

21/11: Peaking Lights – “936”
http://www.dominorecordco.com/uk/news/22-09-11/peaking-lights-remix-smith-westerns--end-of-the-night-/

28/11: She & Him - “A Very She & Him Christmas”
http://www.myspace.com/sheandhim

 

Texas in July et Tasters en tournée européenne.

Écrit par

Les rois du métal-core Texas in July se produiront, en compagnie de Tasters, à travers l’Europe d’ici quelques semaines, et en particulier en France et en Belgique.

Pour plus d’infos : http://texasinjuly.net/shows

 

Milk Maid

Yucca (a)

Écrit par

Bassiste au sein de la formation mancunienne Nine Black Alps, Martin Cohen s’offre une petite escapade solo à travers son projet Milk Maid. Quoiqu’insulaire, l’artiste semble apparemment fortement influencé par la scène américaine.

Enregistré dans son appartement, « Yucca » est évidemment lo-fi. Une dimension apportée par la production minimaliste. Résolument garage et brut de décoffrage, la musique, aussi simple qu’efficace, nage dans un rock psychédélique rappelant parfois Kurt Vile. Sous une nappe de guitares bien crades et chargées de réverb’, se cachent de véritables perles. Et on ne peut que tomber sous leur charme. Martin Cohen démontre toute l’étendue de son talent de songwriter, notamment lors de titres d’une simplicité austère ; à l’instar de « Girls » et « Someone You Thought You’d Forgot ». Maintenant, il est vrai que certaines séquences pourraient être taxées de trop dépouillées. Heureusement elles ne sont pas légion. Et puis elles font partie du jeu.

Un disque que je vous recommande vivement. Le label FatCat (Forest Fire, The Twilight Sad, Maps & Atlases …) a une nouvelle fois eu le nez creux en signant Milk Maid. Ce premier essai augure un futur prometteur. Du moins on l’espère !

 

SebastiAn

Presidential Suite

Écrit par

‘Il est quand même bizarre ce type !’ me glisse à l’oreille une amie venue également se trémousser sur les beats putassiers de SebastiAn, qui se produisait pour la première fois en Live. Et je lui ai répondu : ‘Non, pas bizarre. Juste Français’. Parce que du drapeau français on en a bouffé durant la petite heure qu’a duré le set du Parisien. Et côté ambiance, « Total », son premier LP, n’a fait trembler l’Orangerie que par intermittence.

Bilan mitigé pour le premier passage ‘live’ de l’enfant terrible d’Ed Banger. Après un hommage sympathique à DJ Mehdi qui nous a quittés il y a quelques semaines, dans des circonstances ridiculement tristes et évitables, SebastiAn, de son vrai nom Sebastian Akchoté, se place derrière ses manettes. Devant lui, une console surélevée et recouverte d’une toile sombre. Pour qu’on ne puisse pas observer ses doigts alterner du bouton ‘play’ à ‘plage suivante’ ? Parce que le set de SebastiAn consiste en un enchaînement pas bien original des extraits de son album, entrecoupés par deux ou trois plus vieux morceaux.

Derrière lui, un écran illustre les beats grossiers du bonhomme d’images souvent subversives. Des « Primary Tour », « Votez SebastiAn », « SebastiAn Président », sur fond de drapeau bleu-blanc-rouge, ponctuent le show visuel à intervalles très, voire trop, réguliers. Le DJ ne s’exprime pas, il laisse l’écran le faire à sa place. L’air pincé, il se contente de lever le doigt pour intimer à l’assistance d’hurler à sa gloire. A mi-parcours, deux drapeaux sont lâchés du plafond pour atterrir de part et autre de la scène. Deux bannières sur lesquels sont imprimés un énorme V (pour victoire, évidemment) frappé des contours de l’hexagone, lui-même recouvert du S de SebastiAn. Tiens, un drapeau belge apparaît à l’écran… Histoire que le jeune homme se souvienne de l’endroit où il se trouve ?

Et, délires mégalos mis à part, qu’en est-il de la musique, me demanderez-vous ? Et bien, pas grand-chose à signaler. Monsieur le Président a beaucoup plus soigné sa mise en scène que son set. Un mardi à 21h, il faut, déjà au départ, que l’artiste soit surmotivé s’il veut faire danser les foules. Mais tapi derrière sa console-mystère, SebastiAn ne communique pas grand-chose à ses fans, loin d’être venus en masse. L’Orangerie n’est en effet remplie qu’aux deux-tiers de sa capacité, voire moins.

Après un départ teinté par des grincements, que l’ingé son va rapidement corriger, le DJ ne trouve son rythme de croisière qu’une bonne vingtaine de minutes plus tard. Du côté du public, on gigote ici et là, mais toujours en retenue, malgré les vibrations tonitruantes provoquées par les basses. C’est qu’on ne danse pas de la même manière un mardi à 21h, comparé à un samedi à 2h du mat’ ! Et là réside tout le problème. Le spectacle politico-mégalo de SebastiAn serait passé comme une lettre à la poste en weekend, aux petites heures de la nuit. Ce soir, il n’y a donc pas eu de réel climax, hormis les tubes « Ross Ross Ross », « Embody » ou « Arabest » qui sont parvenus à secouer légèrement l’assistance. Et on passera sur la boucherie que l’artiste a opéré sur son « C.T.F.O. », ‘dé-M.I.A.sé’ au possible et ‘dubstepisé’ pour la plus grande joie des 14 à 18 ans. C’est décidé, la prochaine fois que j’irais voir SebastiAn, j’me bourre la gueule.

Organisation : Botanique

  

Yuck

Nouvel ordre

Écrit par

L’évènement majeur de ce lundi soir d’octobre, qui s’est produit entre les murs de l’Ancienne Belgique, était sans nul doute le concert de New Order. Pourtant, c’est dans le Club que j’avais choisi de me rendre. Certainement quelques uns des spectateurs présents devaient ressentir un pincement au cœur, partagés entre deux affiches aussi alléchantes. Mais peu importe, car le concert des jeunes pousses de Yuck allait ranimer la flamme d’une Indie Pop fière et goguenarde tout en ravivant le souvenir des heures de gloire du genre.

Les premiers accords de Deadsets retentissent alors que je gravis les escaliers. Pénétrant dans la salle, je suis d’emblée frappé par l’impact visuel du combo.  

En rang serré, les trois guitaristes, le bassiste et la claviériste se tiennent fièrement au devant de la scène, tandis que le batteur, seul élément retranché, tient la cadence depuis l’arrière de celle-ci.

Si musicalement leurs compositions n’ont rien de renversant, force est de constater un certain savoir faire et une indéniable générosité qui rend l’ensemble fort sympathique.

Vraisemblablement au goût du public, le groupe s’efface après une quarantaine de minutes sous les applaudissements et les hochements de têtes approbateurs.

Sur la scène, on dresse une toile où le nom de Yuck apparaît en lettres noires grossièrement peintes sur fond blanc. Arty mais pas prétentieux, le groupe londonien se lance alors dans un concert où pêle-mêle, ressurgissent des relents de Dinosaur Jr, agrémentés de vagues Shoegazer rappelant Ride, et saupoudrés de mélodies faussement évidentes mais absolument accrocheuses comme savaient nous les servir les Teenage Fanclub ou encore les Lemonheads.

Définitivement influencés par les nineties, Yuck remet au goût du jour le meilleur d’une scène que bon nombre de personnes présentes ce soir n’ont connu que par procuration.

Tantôt énergiques, tantôt caressantes, tantôt sucrées, tantôt acides, les chansons de l’album éponyme se succèdent entre larsens et échappées mélancoliques.

« Georgia », « Suicide Policeman » et « Get Away » rappellent l’évidence d’un excellent album, agrémenté pour sa ressortie de quelques bonus, dont un « Save Me » un peu mou aujourd’hui.

Qu’importe, puisque après s’être éclipsé pour la beauté du geste, l’espace d’une poignée de minutes, les quatre jeunes gens nous offrent deux autres morceaux, dont en final l’épique et langoureux « Rubber », incontournable dernier titre de leur elpee.

Après coup, je regarde le chanteur se prêter volontiers au jeu des autographes et je ne peux m’empêcher de penser qu’à l’aube des années nonante, aux premiers faits d’armes des Pixies, et consorts, les petits Yuck devaient encore être des enfants.

Quelqu’un pour me dire ce qui est advenu des années 2 000 ?

Organisation : AB

 

Michael Jackson, la légende continue!

Écrit par
Un nouvel album de Michael Jackson sortira le 21 novembre prochain. Il sera intitulé « Immortal ». Par la même occasion, le Cirque du Soleil lance sa nouvelle production « The Immortal World Tour », qui était à Montréal cette semaine en avant-première.
 
Pour toutes les dates: http://bit.ly/ayFpp7
 
Tracklisting:

Standard, single CD version:

Working Day and Night (Immortal Version)
The Immortal Intro (Immortal Version)
Childhood (Immortal Version)
Wanna Be Startin? Somethin? (Immortal Version)
Dancing Machine/Blame It On The Boogie (Immortal Version)
This Place Hotel/Smooth Criminal/Dangerous (Immortal Version)
J5 Medley: I Want You Back/ABC/The Love You Save (Immortal Version)
Human Nature/Speechless (Immortal Version)
Is It Scary/Thriller/Ghost/Somebody?s Watching Me/Threatened (Immortal Version)
Beat It/Jam/State Of Shock (Immortal Version)
Earth Song/Planet Earth (Immortal Version)
They Don?t Care About Us (Immortal Version)
Immortal Megamix: Can You Feel It/Don?t Stop Til You Get Enough/Billie Jean/Black Or White (Immortal Version)
Man In The Mirror (Immortal Version)
 
Deluxe, double CD version:
 
Working Day and Night (Immortal Version)
The Immortal Intro (Immortal Version)
Childhood (Immortal Version)
Wanna Be Startin? Somethin? (Immortal Version)
Shake Your Body Down To The Ground (Immortal Version)
Dancing Machine/Blame It On The Boogie (Immortal Version)
Ben (Immortal Version)
This Place Hotel/Smooth Criminal/Dangerous (Immortal Version)
The Mime Segment: I Like The Way/Speed Demon/Another Part Of Me (Immortal Version)
J5 Medley: I Want You Back/ABC/The Love You Save (Immortal Version)
Human Nature/Speechless (Immortal Version)
Is It Scary/Thriller/Ghost/Somebody?s Watching Me/Threatened (Immortal Version)
Beat It/Jam/State Of Shock (Immortal Version)
Earth Song/Planet Earth (Immortal Version)
Scream/Little Susie (Immortal Version)
Gone Too Soon (Immortal Version)
They Don?t Care About Us (Immortal Version)
I?ll Be There (Immortal Version)
Immortal Megamix: Can You Feel It/Don?t Stop Til You Get Enough/Billie Jean/Black Or White (Immortal Version)
Man In The Mirror (Immortal Version)
Remember The Time/Bad (Immortal Version)
 
Pour plus d’infos: http://www.michaeljackson.com

Le premier best of de Gorillaz

Écrit par
« The Singles Collection : 2001-2011 » célèbre dix années de succès avec 15 singles issus des 3 albums studios, des vidéos et des remixes de Gorillaz.

Les CD, CD/ DVD et Vinyl + une édition spéciale de 45 tours sortiront le 28 novembre 2011.
 
Ce groupe virtuel de quatre personnages (2D, Noodle, Russel Hobbs et Murdoc Niccals) a été créé par Damon Albarn et Jamie Hewlett il y a dix ans.

De nombreuses et belles collaborations (Danger Mouse, Ibrahim Ferrer, Snoop Dogg? ), des singles incontournables (Clint Eastwood, Stylo, On Melancholy Hill..) et plus de 13 millions d'albums vendus dans le monde (dont 2 disques de platine avec Damon Days et Plastic Beach en Belgique), ont fait de Gorillaz l’un des plus grands groupes de cette décennie !
 
Tracklist:

Tomorrow Comes Today
Clint Eastwood
19-2000
Rock The House
Feel Good Inc
DARE
Dirty Harry
Kids With Guns
El Manana
Stylo
Superfast Jellyfish
On Melancholy Hill
Doncamatic
Clint Eastwood (Ed Case & Sweetie Irie Refix)
19-2000 (Soulchild Remix)

REM fête ses 15 albums avec un best of

Écrit par
Un double CD de 40 titres revient pour la première fois sur la discographie entière de ces pionniers du rock. On y retrouve leurs plus grands tubes tels que "Losing My Religion", "Bad Day", "Everybody Hurts" ou encore "Man On The Moon". Sans oublier ces trois titres inédits : "A Month Of Saturdays", "Hallejujah" et "We All Go Back To Where We Belong" enregistrés cet été, à Athens, en Georgie (U.S.A), la ville natale du groupe, en compagnie du producteur Jacknife Lee. Le single "We All Go Back To Where We Belong" sera d'ailleurs diffusé en radio à partir du lundi 17 octobre. Ce best of est la suite logique de 15 albums et 31 ans de carrière!

« Part Lies, Part Heart, Part Truth, Part Garbage, 1982-2011 » sortira le 11 novembre 2011.
 
Tracklist

Disque 1

Gardening At Night
Radio Free Europe
Talk About The Passion
Sitting Still
So. Central Rain
(Don?t Go Back To) Rockville
Driver 8
Life And How To Live It
Begin The Begin
Fall On Me
Finest Worksong
It?s The End Of The World As We Know It (And I Feel Fine)
The One I Love
Stand
Pop Song 89
Get Up
Orange Crush
Losing My Religion
Country Feedback
Shiny Happy People
 
Disque 2

The Sidewinder Sleeps Tonite
Everybody Hurts
Man On The Moon
Nightswimming
What?s The Frequency, Kenneth?
New Test Leper
Electrolite
At My Most Beautiful
The Great Beyond
Imitation Of Life
Bad Day
Leaving New York
Living Well Is The Best Revenge
Supernatural Superserious
Überlin
Oh My Heart
Alligator Aviator Autopilot Antimatter
A Month of Saturdays
We All Go Back To Where We Belong
Hallelujah


La passe de trois pour The Maccabees!

Écrit par
Le quintet anglais The Maccabees sortira le 9 janvier prochain son troisième opus. Il s’intitule « Given To The Wild ». Il s’agit d’un troisième album en cinq ans pour Orlando Weeks, Hugo White, Felix White, Rupert Jarvis et Sam Doyle.
Tracklisting:
Child
Pelican
Feel To Follow
Ayla
Glimmer
Forever I’ve Known
Heave
Go
Unknown
Went Away
Slowly One
Grew Up At Middnight
http://www.themaccabees.co.uk

Un « Komba » de plus pour Buraka Som Sistema

Écrit par
Buraka Som Sistema sort un nouvel album ce 28 octobre. « Komba » fait suite à « Black Diamond », publié en 2008. Dans le passé, leurs titres ont été repris dans des jeux vidéos tels que Fifa ou Need For Speed. Leur single « Yah! » a, quant à lui, servi de bande originale à la série « Skins » en 2007.
 
Tracklisting:

1. Eskeleto (feat. Afrikan Boy)
2. Komba (feat. Kaysha)
3. Voodoo Love (feat. Sara Tavares
& Terry Lynn)
4. Tira O Pe
5. (We Stay) Up All Night
(feat. Blaya & Roses Gabor)
6. Hypnotized
7. LOL & POP (feat. Blaya)
8. Vem Curtir (feat. Stereotyp)
9. Candonga
10. Hangover (BaBaBa)
11. Macumba (feat. Mixhell)
12. Burakaton (feat. Bomba Estereo)

Smith & Burrows jouent aux anges

Écrit par
Tom Smith et Andy Burrows s’unissent pour former Smith & Burrows. Ce duo a confectionné un album de Noël intitulé « Funny Looking Angels ». Il paraitra le 28 novembre. On retrouve Agnes Obel en featuring sur un des titres.

Un titre est offert en téléchargement sur le site officiel du groupe : http://www.smithandburrows.co.uk


Alan Corbel première nouvelle star de Manu Katché

Écrit par
Manu Katché s’associe au site venteprivee.com pour créer Capture. La première découverte du célèbre batteur s’appelle Alan Corbel. Après un premier EP, celui-ci sortira un LP ce 17 octobre. Il s’intitule « Dead Men Chronicles ».

The Kooks

Des déglinguées pour les loufoques !

Écrit par

Forest National est, il faut le reconnaître, la deuxième salle de Belgique, en matière de capacité d’auditoire ; mais plus que probablement, une des dernières, si pas la pire, au niveau acoustique…

Mais bon, pas vraiment le choix si je veux aller écouter et voir Les Dingues (Kooks en français se traduit par loufoques ou dingues). Deux albums d’excellente qualité précèdent un troisième opus, un peu moins convaincant. Qu’à cela ne tienne, leur musique me donne des frissons et des fourmis dans les jambes. Alors, allons-y !

Big surprise en arrivant, c’est pas la grande foule attendue. Pas d’inquiétude, nous n’en sommes qu’à première partie, assurée par Morning Parade, responsable d’un hit sulfureux et surtout très actuel, intitulé « Under The Stars », un tube qui cartonne, pour l’instant, sur les ondes de notre Pure Fm nationale. Bon, ben ça commence bien, le micro ne fonctionne pas ! Et le malheureux de s’époumoner en pure perte… Un technicien passe heureusement par là et arrange le coup. Ouf !

Les 5 musicos, noirs de la tête aux pieds, s’en donnent à cœur joie et chauffent le public, en dispensant un petit répertoire chouette et entraînant. On a déjà vu plus moche comme mise en bouche…

Allez donc jeter une oreille vers ce lien http://www.youtube.com/watch?v=vyv45K0AivE pour être convaincus des qualités de ce band.

Une petite demi-heure s’écoule et les lumières se remettent à éclairer une foule assez clairsemée. A peine une demi-salle, et encore, je pense être généreux. Trente minutes sont nécessaires pour préparer le plat consistant.

Il est passé 21 heures quand les Kooks montent sur l’estrade. C’est à partir de ce moment-là que je me suis senti vraiment vieux ! Un véritable essaim de gonzesses âgées à peine de 15 voire de 16 ans, commencent à hurler, prennent des photos par milliers et font de petits coucous au chanteur. Un comportement qui va perdurer tout le set. Digne de la période des Beatles à la grande époque… Bref, une hystérie collective et typiquement féminine qui gâche irrémédiablement le plaisir que peut procurer un bon concert.

Sur un fond ligné qui varie de couleur selon l’éclairage diffusé, Luke Pritchard, sexy à souhait, selon les ‘demoiselles’ en transe à chaque interruption, a beaucoup de mal à communiquer avec son public. Dur, dur, il est vrai, de dire quelque chose à une bande de groupies à moitié folles (c’est un euphémisme). Pour tout échange, on a juste droit au titre de la chanson qui suit, point à la ligne !

Fort heureusement, le répertoire des Kooks est d’excellente qualité. Alternant titres extraits du dernier album « Jungle Of The Haert » et plus grands succès issus de « Naïve » et d’« Inside In Inside Out », les 5 membres (tiens, habituellement, ils ne sont que 4) consentent une débauche d’énergie qui fait chaud au cœur et va même jusqu’à causer quelques dégâts sur les planches (pauvre micro !) La qualité d’interprétation (je n’ai pas dit le son !) est vraiment excellente, et les voix sont sublimes. Le lead vocal fort heureusement, mais les chœurs également, ce qui rehausse encore le niveau. Durant une grosse heure, les hits s’enchaînent pour notre plus grand plaisir, chacun chantant et dansant au rythme de ce qui se fait quasi de mieux en pop/rock actuel. Pour interpréter « Seaside », le leader du combo se met en évidence sur une petite marche, seul flanqué de sa guitare. A cet instant tous les éclairages sont braqués sur lui et évidemment les filles qui hurlent à la mort ! Il est tellement sexyyyyyyyyyyyy ! Le ton monte encore d’un cran lorsque le quatuor dispense, tout en acoustique, un avant-dernier morceau, Luke se réservant le dernier, seul au piano, comme un grand.

Puis sans prévenir, le band se casse. Pour se faire désirer pendant plus de dix minutes… A ce moment-là, mes oreilles rendent l’âme (merci les filles). Je n’imaginais pas que ce genre de comportement existait encore !

Heureusement, car je n’aurais pas pu supporter une minute de plus, les Kooks réapparaissent sur scène pour nous accorder un final à couper le souffle. Cerise sur le gâteau, le combo nous réserve « Do You Wanna », un morceau qui –et je pèse mes mots– fait ‘jouir’ une dizaine de déglinguées. Elles se pâment et se lâchent sur ce titre où, il est vrai, Luke leur demande si elles veulent faire l’amour avec lui… Ben oui, quand on cherche, on trouve, mon vieux !!!

Au final, je dois avouer ne jamais avoir vécu un pareil concert, une expérience semblable, et une fameuse, il faut le préciser…

Je comprends mieux pourquoi Balavoine voulait devenir chanteur…

(Organisation Live Nation)

IAMX

Comme un diesel…

Écrit par

La route qui nous mène à la toute nouvelle salle montoise de l’On-air studio ce samedi est parsemée d’embûches. Outre les travaux entrepris à la rue de Nimy (celle qui aurait dû nous mener à destination), nous sommes retardés par un accident de la circulation, croisé sur notre itinéraire. Arrivé enfin dans la cité du Doudou, nous parquons notre véhicule avant d’en sortir pour emprunter des  trottoirs qui n’en sont plus vraiment. On entend des cris barbares qui résonnent depuis l’autre côté de la ville ; c’est que l’Albert joue au foot à domicile ce samedi.

Mais au bout de ce chemin de croix, la récompense est là. Tout d’abord celle de redécouvrir un lieu de sortie montois, l’Alhambra, rafraîchi et débarrassé de sa réputation d’endroit louche. Malgré le sold-out, la salle surplombée de deux balcons (et un bar à l’étage) n’est pas bondée, mais s’avère particulièrement conviviale…  

Répondant au patronyme de Noblesse (NDR : oblige !), le supporting act bénéficie d’un accueil chaleureux. La formation revisite les 80’s en se servant de sonorités électro basiques et ‘vintage’. Quoique secouant sa dark-wave de percussions africaines, le résultat n’est guère percutant. Le duo me fait même parfois penser à Neon Judgement (NDR : des vieux de la vieille !) Sauf que la chanteuse, Valérie Renay, est également une actrice. Une situation démontrée par son jeu de scène et ses nombreux changements de fringues, aussi excentriques les unes que les autres.

Et bien que le matériel d’IAMX soit déjà prêt en arrière-plan du podium, le groupe attend 22 heures avant de faire son apparition, de manière faire monter l’ambiance d’un cran. Chris Corner et sa bande débarquent sur une déferlante de beats. La troupe multiplie ses efforts pour chauffer le public ; mais les titres du dernier album (« Volatile times ») sont tellement plats, que ma réaction première est plutôt glaciale. Le son est approximatif. Le jeu de lumières assez sombre. Marie devra d’ailleurs trimer pour immortaliser quelques clichés. Il faut attendre des titres plus excitants comme « Nightlife » ou « Kiss of swallow » (NDR : et un retour sur le premier album) pour que le set reprenne du poil de la bête. Notamment lors des excellents arrangements réservés sur « My secret friend ». Ou quand trois des quatre musiciens décident de s’acharner sur des percus en tout genre. Après une bonne heure de concert, la température est quand même montée de plusieurs crans.

Avant le rappel, on s’éclipse pour se rafraîchir au bar. Juste le temps de redescendre pour assister à un final époustouflant. Quatre titres dont le dantesque « Spit it out » qui met le feu à la foule. L’atmosphère est alors à son paroxysme. Bref, tout le monde attend un second rappel. De longues minutes d’attente laissent espérer un nouvel encore. Mais le groupe ne reviendra plus. Les lumières se rallument. Qu’importe, les spectateurs affichent des mines réjouies. Il faut dire qu’en dépensant 20€, dans une salle aussi intimiste, pour un set d’1h30, les spectateurs n’ont pas été lésés.  

Mons n’a pas encore été désignée capitale culturelle européenne pour 2015. Mais une telle soirée qui se prolonge encore dans les bars rock’n’roll des environs, nous permettent d’imaginer que sa candidature est en bonne voie.

Setlist :
 

1.         Into Asylum 
2.         Music People 
3.         Nightlife 
4.         Ghosts of Utopia 
5.         My Secret Friend 
6.         Fire & Whispers 
7.         Tear Garden 
8.         Oh, Beautiful Town 
9.         Volatile Times 
10.       Think of England 
11.       Nature of Inviting 
12.       Cold Red Light 
13.       Kiss & Swallow  

-           Rappel –

14.       Bernadette 
15.       The Alternative 
16.       Bring Me Back a Dog 

17.       Spit It Out 

(Voir aussi notre section photos)

The Subways

L’énergie et la puissance à leur paroxysme…

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Ce samedi soir, le Botanique avait décidé d’épingler trois groupes pop aux accents punk-rock. En guise d’apéritif, plutôt léger, deux groupes français, The Dancer et The Dukes, ouvraient le bal, bénéficiant de l’insigne privilège de ‘chauffer’ la salle aux  inépuisables Britanniques de  The Subways’. Formation hors-norme qui, dès son premier  album paru en 2005 (« Young For Eternity »), avait fait l’unanimité de la presse anglaise. Elle ne tarissait d’ailleurs pas d’éloges à son égard, qualifiant très tôt les trois jeunes banlieusards londoniens de ‘the next big thing’. Talent que les jeunes gens ne tarderont pas à confirmer sur scène grâce à leur troisième et dernier opus, né sous le signe évocateur de « Money & Celebrity ».

Deux supports acts ouvrent donc pour le combo insulaire. Deux premières parties que nous réduirons laconiquement à cette citation célèbre de John Lennon : ‘Le rock français, c’est comme le vin anglais’. Deux jeunes formations qui auront pourtant eu l’audace de se mesurer à la légendaire puissance sonore des Subways et, par là même, de leur permettre d’exposer jusqu’à l’éclatement, de déchaîner  leur force dévastatrice.

Comment ne pas évoquer les mots ‘énergie’ et ‘puissance’ lorsque l’on parle de The Subways ? Quels termes employer lorsque l’on baigne dans un tel ‘chant’ magnétique, une telle intensité? Tâche ardue s’il en est. Que l’on aime ou pas, ils vous prennent à la gorge et leur cruelle étreinte ne faiblit pas du début à la fin du spectacle. Quand on songe que ces trois jeunes musiciens sont capables d’incendier tout un stade, on imagine sans mal les sensations éprouvées au sein de l’Orangerie. Peu importe la salle, ces trois-là déploient la même vigueur à chaque concert comme si, à chaque soupir, dans l’unique présent qui efface le reste, ils livraient leur première et cependant ultime représentation. 

C’est sur une musique annonçant la fin du monde que Billy Lunn, Charlotte Cooper et Josh Morgan débarquent en trombe, telles des stars internationales de catch, avant de nous lancer leurs premiers missiles. Ce dynamisme, cet enthousiasme nous offrent spontanément leur plaisir de jouer. Il suffit de regarder la bassiste, comme envoûtée, parcourir la scène en sautant sans relâche pour s’en faire une idée. Un plaisir communicatif auquel ne peut guère résister le   public et qui l’immerge d’emblée dans la haute énergie brute de « Oh Yeah ». Une setlist  d’ailleurs composée d’innombrables morceaux issus de l’indétrônable « Young For Eternity ». Album culte sur lequel le public demeure plus réactif  et réveille les surfeurs de foule. Lorsqu’on prend acte de l’accueil enthousiaste que le public réserve aux nouveaux titres (« We Don’t Need Money To Have A Good Time », « Popdeath »…) extraits du récent troisième elpee, on mesure l’ampleur de la victoire du trio londonien. Entre passé et futur, le double défi relevé ce soir est un franc succès.

Ensuite, les titres s’enchaînent sans temps mort ; même les courts intermèdes sont parfaitement contrôlés par Lunn qui aime la scène et son public (NDR : un public qui succombera à l’invitation du chanteur à se lancer dans un ‘circle pogo’ en forme de farandole agitée). Quelques mots échangés encore et la force de la voix, les riffs de guitare brûlants et la basse acide reprennent de plus belle. Finalement, les cent décibels affichés au compteur  agitent avec ferveur les vitres extérieures de la serre pour trois derniers rappels. Pourtant, on aurait presque l’impression que le leader du groupe ne veut pas quitter la scène tant cette envie insatiable de jouer est palpable. Seul existe alors un intense présent, comme un instantané de la présence même. La foule saute, exulte avant que Lunn n’enlève son micro et se lance dans un ultime stage diving.

The Subways ne changera probablement pas le visage de la musique mais il offre, à chaque concert, un pur moment de plaisir et d’énergie contagieuse. L’énergie exorbitante distillée par le trio, en une seule nuit, excède tout ce dont certains groupes sont capables de dispenser, dans une carrière entière.

(Organisation Botanique)

 

Bjørn Berge

Blackwood

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Bjørn Berge est un chanteur/guitariste norvégien. Agé de 43 balais, il s’est forgé une solide réputation en Europe. Faut dire qu’il y roule sa bosse depuis plus de vingt ans, et en solitaire depuis ces 15 dernières. Il est surtout réputé pour sa technique sur les cordes. Il avoue avoir été inspiré par des figures mythiques du blues comme Robert Johnson et Elmore James. Eponyme, son premier opus date de 1994. Il faudra cependant encore attendre 5 ans, avant qu’il lui donne une suite, en publiant "Blues hit me" sur le label Blue Mood. Sur son troisième, "Bag of nails", il s’autorise même de reprendre des compos de Led Zeppelin et Beck. En 2001, à travers "StSlide", il adapte à son style à Motörhead et Frank Zappa.

« Blackwood » constitue son onzième elpee. Il marque un retour aux racines, une musique essentiellement acoustique, mêlant le folk et le blues, même s’il y ajoute quelques bonnes doses de rock et de funk. Un profond changement par rapport à son LP précédent, "Fretwork", sorti en 2009. Sur ce nouveau long playing, Bjørn se charge pratiquement de tout : la voix, les guitares et le banjo, ne tolérant que Kjetil Ulland à la basse, aux percus et au synthé. Il a écrit neuf des onze plages.

En ouverture, Bjørn double banjo et guitare pour alimenter "In and out". Une plage sculptée dans un country-folk-blues de bonne facture qui accroche instantanément l'oreille. Le Scandinave possède, en outre, une voix profonde et rassurante. Son jeu sur les cordes multiples est impressionnant. Enrichie par le saxophone de Karl Christian Gronhaug, "Once again" est une ballade toute simple, mais superbe dans sa mélodie. Berge est habile à la six cordes. Sur "Accused" et "Those days"sait, son attaque ne manque pas de caractère. Rugueuse, elle colle bien à la voix chargée de révolte. En 1994, sur son premier elpee, il avait adapté le "Going to Bronwville" du légendaire bluesman noir Sleepy John Estes. Il nous propose une nouvelle version de cette compo intemporelle. Plus contemporaine. Instrumental particulièrement riche, "Blackwood" est un des sommets de la plaque. L’offensive rythmique est franche et directe. Bjørn possède un doigté limpide qu’il traduit à la perfection sous une forme acoustique. Et il le démontre tout au long de sa cover du célèbre "Woodstock", une superbe ballade signée par l'égérie folk hippie, Joni Mitchell, et popularisée par Crosby, Stills, Nash and Young. C’était déjà, il y a plus de quatre décennies… La voix et la musique de Berge sont parfaitement complémentaires. Tantôt elles fusionnent. Tantôt, elles marquent leur territoire. Ainsi sur "Sick 'n tired", son vocal s’élève pour s’affranchir de son instrument. Saturée de blues, "Blues for one" est une ballade empreinte de sérénité. Et il achève son œuvre, en nous plongeant dans l’amertume et les ténèbres de "Darkness". Naturellement doué, considéré comme un virtuose des cordes, Bjørn Berge a encore frappé fort.