Manu Chao célèbre l’autre…

Manu Chao, l'icône de la scène musicale mondiale, revient sur le devant de la scène en sortant un nouveau single baptisé "Viva tu". Après plusieurs années d'absence médiatique volontaire, l’artiste nous offre un avant-goût de son prochain opus tant attendu.…

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Brazen tient la distance…

Après près de dix-huit ans de silence trompeur, Brazen (Genève), revient avec « Distance », une épopée indie-rock ambitieuse où s’entrelacent modulations mélancoliques et harmonies vocales sur un tapis instrumental planant. Les huit titres qui composent…

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Deviate

Crisis Of Confidence

Né de la rencontre entre les groupes belges Sixty Nine et Mental Disturbance, Deviate cherche un compromis entre le hardcore, le trash metal et l'electro funk. Un style emprunté à Living Colour et Rage Against The Machine, mais restitué avec beaucoup moins de fidélité. Une situation qui risque à brève échéance de déclencher au sein du combo, une véritable "Crisis of Confidence"...

 

Willy DeVille

Live

Un rapide coup d'œil sur le contenu de cet opus nous a permis de relever la présence de "Spanish Stroll", une chanson qui nous avait fait vibrer à la fin des seventies. Sa version ‘live’ n'a peut-être plus la même vitalité, mais elle n'a rien perdu de son feeling initial. Antépénultième titre de ce CD, elle précède de savoureuses adaptations de "Stand By Me" et d'"Hey Joe", classiques immortalisés respectivement par John Lennon et par Jimi Hendrix. Suffisait donc de retourner au début de la lecture pour sceller notre bonheur. Malheureusement, hormis "Savoir Faire" et "Cadillac Walk", Willy se complait dans une certaine morosité sentimentaliste. Son pachuco rock manque de la plus élémentaire agressivité et les rythmes latins se liquéfient rapidement dans l'insipidité. Même la voix torride, sensuelle, exotique de Willy ne parvient pas à nous consoler de cette désillusion. Du coup, on est allé puiser dans nos vieux vinyles pour y repêcher et se délecter des immortels "Cabretta" et "Return To Magenta"...

 

Diabologum

Le goût du jour

Hier, les diabolos mentaient. Aujourd'hui, ils gomment. Que feront-ils demain? Communiquer? De manière à emprunter un moyen de diabolocommunication au goût du jour. Trêve de plaisanterie, Diabolologum est un groupe français. Parisien très exactement. Un quartet qui ne manque pas d'idées, mais bien de ligne de conduite. D'abord à cause de sa musique qui zappe de Sonic Youth à Velvet Underground, en passant par Bongwater, Taxi Girl, Mary Goes Round et Polyphonic Size. Un Polyphonic Size à qui ils empruntent également la candeur et l'attitude pop wave. Pour les lyrics, là c'est une autre paire de manches. Chantés en anglais, leur naïveté frise le ridicule. Mais en hexagonal, ils se révèlent frondeurs, malicieux, ésotériques. "Le goût du jour" laisse ainsi libre cours aux paradoxes, aux ambiguïtés et aux contrastes, avec une pointe d'humour, d'irrévérence et de sensualité qui n'est pas sans rappeler Lio. En particulier, lorsque c'est la voix de Bambi qui anime (!) la mélodie. Walt Disney présente...

 

Manu Dibango

Wakafrika

Pour enregistrer son nouvel album, Manu Dibango a reçu le concours de l'élite musicale noire africaine, notamment Youssou N'Dour, Geoffrey Orema, King Sunny Adé, Touré Kunda, Salif Keita et tout une série d'artistes moins connus mais aussi talentueux. Le Français Manu Katché et les Yankees Alex Brown, Paul Jackson Jr et David Williams sont également de la partie. Mais le plus intéressant procède de la participation de Peter Gabriel et de Sinead O'Connor à la nouvelle version de "Biko", chanson que l'Archange avait écrite en 1980, pour éveiller la conscience du monde contemporain au régime dictatorial et d'apartheid imposé en Afrique de Sud. Une composition qui prend aujourd'hui toute son ampleur depuis l'élection démocratique du nouveau président de cet état, Nelson Mandela... Une énigme est cependant venue nous traverser l'esprit: pourquoi ce "Wakafrika" ne figure pas sur le catalogue ‘World Music’ ?

 

Die Haut

Sweat

Pour célébrer le dixième anniversaire de son existence, Die Haut gravait l'an dernier "Head On", un album sur lequel Kim Gordon, Debby Harry, Jeffrey Lee Pierce, Alan Vega, Blixa Bargeld, Anita lane et Lydia Lunch donnaient de la voix (!). Les trois derniers cités, rejoints par Nick cave et Kid Congo Powers, ont même accepté de poursuivre l'expérience à travers une tournée européenne. De ce périple, c'est le concert du Tempodrom de Berlin, qui a été immortalisé sur "Sweat", une œuvre sulfureuse, impitoyable, métallique réminiscente de Birthday Party, d'Einstürzende Neubauten et de Kowalski....

 

Die Krupps

The Final Remixes - The Final Option II – The Final option remixed

Il plane un certain mystère sur l'origine de cette formation. Teutone? Yankee? Peut-être un peu des deux. En tout cas, Die Krupps se prend très au sérieux. C'est sans doute le principal reproche que nous pouvons lui adresser. Car si la techno, le punk, le trash, le gothique, le rap, le métal et le post industriel entrent dans la préparation de base de son expression, les fragments de "The Final Option" parviennent à faire une synthèse entre la musique hybride de Front 242, l'electro hardcore d' Einstürzende Neubauten et le cyberpunk de Cassandra Complex. Comme son nom l'indique, "The Final remixes" épingle des versions retravaillées de compositions antérieures. Issues des deux premiers albums. Remodelés, pour la circonstance, par KMFDM, Philip Boa, Luc Van Acker, Jim Martin (Faith No More), Clawfinger, Paradise Lost et consorts. Quinze en tout. Mais finalement (!), aucune d'entre elles n'atteint la valeur des compositions originales...

 

Died Pretty

Trace

Died Pretty compte aujourd'hui un peu plus de dix années d'existence. Une décennie au cours de laquelle le quintet australien a toujours affiché le même line up. Ce qui explique sans doute pourquoi le groupe transpire une telle homogénéité, un tel aplomb sur les planches. Malheureusement, au fil du temps, ses albums se révèlent de plus en plus léchés, de plus en plus tendres, contrastant singulièrement avec l'aridité et la violence des premières œuvres. Produit par Hugh Jones (Echo & The Bunnymen), "Trace" flirte régulièrement avec la pop originelle de REM, s'autorisant même un détour par la house mancunienne, chère à Happy Mondays, sur "110 BPM". Il subsiste heureusement quelques traces de son glorieux passé. Died Pretty y développe alors une atmosphère velvetienne écartelée entre moments lancinants et sonorités diluviennes, entre violence rageuse et fluidité trouble, entre mélodie climatiques et visions sulfuriques; la voix écorchée, possédée de Ronnie Penno, sorte d'hybride entre Michaël Stipe et Steve Winwood, se chargeant d'entretenir ce climat fiévreux, dramatique, susceptible à tout instant de se libérer dans une déflagration psychédélique...

 

Dig

Dig

Quintet californien, Dig aligne la bagatelle de trois guitaristes. Eponyme, ce premier opus était sorti en 1993, mais n'avait pas bénéficié d'une promo pourtant bien méritée. Car pour un coup d'essai, il faut reconnaître que le groupe avait réussi un véritable coup de maître. En fait de groupe, nous devrions surtout parler du rôle joué par son leader David Hackwith. Chanteur, compositeur et guitariste, il vient de se voir confier la production du dernier elpee des Ramones. Son inspiration ? Il la trouve dans les vertus électriques les plus savoureuses de House Of love, My Bloody Valentine, Radiohead, Smashing Pumpkins, Pixies voire de Sugar et puis dans le psychédélisme du Floyd circa Syd Barrett. 'F*** you", pénultième fragment du disque affiche même une agressivité menaçante digne de Sonic Youth. Ses lyrics ? Il les torture avec sarcasme et profondeur à la manière d'un Mark E Smith. Epatant !

 

Disharmonic Orchestra

Pleasuredome

En choisissant pour nom de groupe Disharmonic Orchestra, ce trio allemand n'était certainement pas décidé à produire une musique esthétique, tendre et mélodique. Ce qui semble normal pour un groupe de hardcore post industriel. Mais consternant lorsque le résultat vinylographique souffre d'une absence totale d'imagination et de subtilité...

 

Doctor Feelgood

The Feelgood Factor

Si Lee Brillaux s'était encore montré à la hauteur de sa réputation début 93, à l'occasion de la sortie de son précédent album "Primo", il faut reconnaître que son nouveau disque manque cruellement de mordant. En fait, Lee est malade et manifestement ses cordes vocales en ont pris un sale coup. Son rhythm’n’blues ne manque pourtant pas d'allure, mais il y manque ce petit quelque chose, cette rage et cette ferveur qui constituait la marque de fabrique du combo. N'oubliez surtout pas que Brillaux a été une des figures de proue du punk britannique de la fin des seventies. Et à ce titre, il mérite tout notre respect. Sans quoi c'est surtout le guitariste Steve Walwyn qui tire ici son épingle du jeu. D'ailleurs depuis que Feelgood est en convalescence, il partage son temps avec Eddie & The Hot Rods, autre formation légendaire issue du même patelin. Ce qui n'est peut-être pas le meilleur remède pour rendre la santé au Doctor. Mais seul l'avenir nous l'apprendra...

 

Down By Law

Punkrockacademyfightsong

Après avoir drivé pendant plusieurs années, un groupe à géométrie variable, Dave Smalley vient de stabiliser le line up de son Down By Law. Un groupe qui en est pourtant déjà à son troisième album. Avant de fonder cette formation, Dave a transité par Nasty, All et DYS. Si bien qu'aujourd'hui il est un peu considéré comme un vétéran de la scène punk. Et de punk il est bien sûr question tout au long de ce (NDR : respirez !) "Punkrockacademyfightsong" (soufflez!). Dix-sept compositions de hardcore qui pour la plupart déferlent à une cadence effrénée. Comme sur la reprise totalement délirante du "500 Miles" des Proclaimers. Faut dire qu'à cette vitesse ! Tellement rapide, que parfois on en perd complètement le fil mélodique. Et c'est un peu dommage, car lorsque la solution respecte une cadence moins suicidaire (NDR : inspirée par les Ramones, par exemple) ou embrasse la pop savoureuse d'Hüsker Dü voire encore sauvage mais harmonieusement texturée du défunt Pixies, les chansons se couvrent alors d'accents contagieux voire séduisants...

 

Downset

Downset

Issu de Los Angeles, ce quintet semble vouloir adopter un profil comparable à Rage Against The Machine et à Living Colour. Un hardcore trempé dans le trash metal et filtré dans le hip hop que souligne le vocal irascible, dévastateur du vocaliste, qui répond chez Downset au nom de Ray Oropeza. Un style qui sert essentiellement à véhiculer un message, un cri de désespoir, de frustration et de rage s'élevant des ghettos qui peuplent LA. Tout y passe. L'économie, la philosophie, le racisme, le sexisme, l'insécurité sur fond social et politique. Une forme de protestation bien dans l'air du temps aux States...

 

Doctor Feelgood

Down At The Doctors

Atteint d'un mal incurable, Lee Brillaux vient donc de nous quitter. Par son dynamisme, son énergie et son contact direct avec le public, cet artiste majeur aura été un des détonateurs du futur mouvement punk. Pourtant, Dr Feelgood ne s'est jamais tellement illustré en studio, préférant forger sa réputation sur les planches. Album posthume, "Down At The Doctor" ne pouvait donc être que live, un évènement qui immortalise la toute dernière prestation du groupe. Un véritable document enregistré chez lui, à Canvey Island, au Dr Feelgood Music Bar. Malheureusement, avec la disparition de Lee, il est à craindre que l'histoire de cet ensemble légendaire connaisse son épilogue...

 

Dread Zone

360°

Constitué de Greg Roberts (ex-Big Audio Dynamite, ex-Screaming Targets) et de Tim Bran, ingénieur du son connu pour avoir collaboré sur différents albums de Bowie et d'INXS, Dread Zone explore une techno dub cosmique. Sur "360°", il va à la rencontre de l'infini cybernétique. Son véhicule spatial? Des claviers, des collages et surtout des samples. Nous avons bien reconnu ceux de Sly Stone et de Robert Mitchum. Puis retrouvé, par la grâce des notes de la pochette, ceux d'Enio Morricone ("Pour quelques dollars de plus"). Si vous avez du temps à perdre, vous en découvrirez sans doute quelques autres. Mais là nous vous laissons la surprise. "360°" gravite ainsi autour d'une orbite ‘ambiant’, trajectoire frayée depuis quelque temps déjà par The Orb et Sunscreen…

Dribbling Darts

Present Perfect

Groupe néo-zélandais qui relève, comme il se doit du fameux label Flying Nun, Dribbling Darts est drivé par l'ex-Sneaky Feelings, Matthew Bannister. Un personnage qui manifeste un certain génie pop littéraire dans ses chansons bourrées d'imagination et de sensibilité. Tout au long de ce "Present Perfect", il parvient ainsi à mêler rock, pop, rhythm’n’blues, folk et technologie, avec doigté, style et originalité. Un album surprenant qui cherche, et même le plus souvent trouve, le point de rencontre idéal entre la délicatesse mélodique d'un McCartney, la versatilité funky pop d'un Paul Weller et l'excentricité humoristique de Split Enz. Instrumentation basique, violon espiègle, samplings inhabituels et voix élégante, narrative de Matthew, contribuent ainsi à entretenir une flamme pop contagieuse à conjuguer exclusivement au "Present Perfect"...

 

The Dubrovniks

Medicine Wheel

En 1991, ce quartet australien nous avait infligé un album de heavy metal insupportable, linéaire, pénible à la limite. Aussi nous manifestions un préjugé défavorable avant d'écouter ce "Medicine Wheel", prêts à laminer un remake de "Chrome" avec causticité et ironie acerbe (NDR : là nous ne l'avons pas fait exprès !). Enfin, il a fallu s'exécuter. Avec résignation ? Et bien non ! Car la surprise a été totale. Nous nous demandions même s'il s'agissait du même groupe ou si éventuellement la rondelle correspondait bien au boîtier. Pourtant, nous sommes bien en présence du même band, composé des mêmes musiciens. Mais, curieusement exorcisé de son hard rock primaire. Il faut croire que ces kangourous ont beaucoup écouté les Triffids, House Of Love et surtout Jesus & Mary Chain au cours des deux dernières années. Et puis la pop des sixties. Car l'élixir mélodique des douze titres de cet opus exhale de semblables parfums. La voix laconique de Pete Simson épousant même les inflexions laconiques de Jim Reid. "Medicine Wheel" recèle ainsi quelques petites perles parmi lesquelles "Never get that far" et "Can't come back" méritent un prix d'excellence. Virage à cent-quatre-vingt degrés donc pour les Dubrovniks. Mais dans le bon sens !

 

Duncan Dhu

Piedras

Depuis la sortie d'"Autobiografia", Mikel Erentxum et Diego Vasallo ont privilégié leurs expérimentations individuelles au détriment de Duncan Dhu. Une situation que nous pensions sincèrement peu favorable à la survie du groupe. Il faut croire que leurs aventures en solitaire n'ont pas été concluantes, puisque le duo basque vient de se reformer. Malheureusement, ce "Piedras" n'a ni l'étoffe, ni le caractère du célèbre "Cry For Our Time". Seuls "Abandonar" et "Bulbare" échappent à la critique. Les neuf autres compositions se vautrant dans un soft pop jazz aussi terne que "Dreamland" d'Aztec Camera et pompeux que l'"Eldorado" d'Electric Light Orchestra. Une déception !

 

The Dylans

Spirit Finger

Nous ne parvenons toujours pas à comprendre pourquoi ce quintet de Sheffield souffre d'un tel ostracisme en Grande-Bretagne, alors qu'il réunit toutes les conditions pour devenir un des grands espoirs du rock insulaire. Même le prétexte du label étranger, reproché par exemple à Immaculate Fools et à Sad Lovers & Giants, ne peut être invoqué, puisque les Dylans relèvent du très londonien Beggars Banquet. En 1991, nous vous avions vanté les mérites de son premier opus. Eponyme, il butinait les vertus les plus rafraîchissantes, les plus fruitées des Charlatans, Ride, House of Love, Inspiral Carpets et consorts. "Spirit Finger" creuse beaucoup plus profondément dans les racines de la pop et du psychédélisme. Pink Floyd circa Syd Barrett pour la construction vertigineuse des mélodies. Les Byrds pour le soin apporté aux harmonies vocales. Move pour son attitude sauvage et infectieuse. Sans oublier les Moody Blues lorsque les nappes de claviers ou la flûte allègre s'évaporent dans la fragilité atmosphérique. Un must!

 

Dick Dale

Unknown territory

"Unknown territory" ? Faut quand même pas pousser ! Disons que Dick Dale parvient à revitaliser la musique surf en lui administrant une bonne dose d'énergie punk. Même pas le punk circa 77, mais celui des sixties. Alors, imaginez un peu le charme désuet des guitares fifties (Tornadoes, Spotnicks et autres Shadows) filtré par la décennie subséquente des Fairies, Litter, Lyrics, Seeds et autres sélectionnés de la collection ‘Peebles’, puis transfusé au cœur des nineties. Dick Dale n'hésite d'ailleurs pas à exhumer des reliques comme "Mexico", "Ghostriders in the sky", "California Sun" et "Hava Nagila" ou à passer le célèbre "Ring of fire" sous les fourches caudines du ‘speed metal’. Revivaliste dans le sens le plus alternatif du terme !

 

Daucus Karota

Shrine

Après avoir sorti de l'ombre Shadow Project et ressuscité le posthume Christian Death, Rozz Williams semble avoir retrouvé son âme chez Daucus Karota. C'est en tous cas l'impression que nous a donné ce mini CD 5titres. Gothique dans l'esprit de Bauhaus, glam suivant les principes bowiesques, "Shrine" épingle même une cover blême, terrifiante du célèbre "Raw Power" d'Iggy Pop. On demande tout simplement confirmation sur album de toutes ces excellentes dispositions, entre parenthèses coproduites par Hunt Sales...

 

Dead Flowers

Altered State Circus

Fondé en 87, Dead Flowers était à l'origine un disciple du psyché garage. Sept années, cinq albums et une multitude de changements de line-up plus tard, le quintet flirte aujourd'hui avec la musique dite ‘ambient’. Vous pensez à Ozric Tentacles? Vous n'avez pas tout à fait tort. Encore que les spécificités techno sont ici fortement gommées au profit d'un langage fondamentalement plus rock comme chez Hawkwind et Gong. Certains fragments sont même dilués dans les claviers prog rock à caractère Wakeman (NDR: nous n'avons pas dit walkman, nuance!) Seul le final "Vodaphone in oz" obéit à des critères prônés par The Orb. Enfin côté vocal, le timbre de Ferank se contente de chuchoter, comme s'il ne voulait pas perturber notre trip dans cet univers aux couleurs psychédéliques...