Le dernier combat de Malween…

Malween est le projet emmené par Julien Buys, auteur, compositeur et interprète, originaire de Nantes. Julien a quitté le monde de la finance, sans regret, en 2017 pour devenir comédien voix-off le jour et chanteur/guitariste a sein de différents projets…

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Le 7ème art soviétique inspire Bodega…

Le nouveau long playing de Bodega "Our brand could be yr life" paraîtra ce 12 avril 2024. En fait, il s’agit d’un ‘remake’ de l'unique LP de Bodega Bay, l'ancien groupe de Ben et Nikki, un disque auto-édité de 33 titres qui remonte à 2015. Sur cette nouvelle…

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Cabaret Contemporain

Le club sensible de Cabaret Contemporain

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"Club Sensible", le quatrième elpee de Cabaret Contemporain paraîtra ce 3 mai 2024. Il fait suite à "Séquence Collective", sorti il y a déjà 6 ans. Pour le concevoir, un mode de fonctionnement un peu différent a été adopté, et en particulier au niveau de l’instrumentation. Intégrés au processus créatif, des éléments tels que la basse électrique et le synthétiseur se mêlent ici aux instruments acoustiques utilisés depuis les débuts.

La démarche reste néanmoins la même, axée sur une intime relation dialectique entre acoustique et électronique. En outre, tout ce qu’on entend dans l’album est organique, aucun séquenceur n’intervient. Ce qui rend la musique vivante, instable, et lui confère le côté un peu imparfait de l’humain : un aspect fondamental du projet global.

En attendant la sortie de l’album, une session live de « Bora », immortalisée au TCI est disponible

 

 

Dévore

Pas de berceuses pour Dévore

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Après avoir publié un premier single intriguant qui posait le décor d’un univers dance punk atypique (“Silent Park”, sorti le 14.02), Dévore nous en propose un second, “No Lullabies”.

Chanson tentaculaire, qui démarre sur le rythme lancinant d’une basse ronde et synthétique, laissant place à un refrain toujours accrocheur, aux guitares tranchantes, on reconnaît déjà bien ici la marque de fabrique du groupe.

Le pont, retour à une nouvelle sérénité, cache bien son jeu : “No Lullabies” déploie une structure dans l’urgence, où la lueur s’accroche tant bien que mal à la chaleur émanant du saxophone, tantôt ambient, tantôt percutant. “No Lullabies” est une proposition plus directe, comme une suite évidente de l’aventure.

La dernière pierre avant la sortie du premier Ep du groupe, prévue pour le 3 mai.

La version ‘live de “Silent Park“ est à voir et écouter ici

Alain Chamfort

L’impermanence d’Alain Chamfort

Écrit par

Après une carrière discographique exemplaire s'étalant sur plus de 50 ans, Alain Chamfort dévoile aujourd'hui son dernier opus, "L'Impermanence". Ce nouvel album, tant attendu par les fans, marque un tournant dans le parcours artistique du chanteur, offrant une expérience musicale profonde, nuancée et introspective.

"L'Impermanence" représente bien plus qu'une simple collection de chansons ; c'est une exploration poétique de la condition humaine, abordant des thèmes universels tels que l'éphémère et la résilience face à l'adversité. Chamfort, tel un sage contemporain, confronte avec sensibilité et perspicacité les réalités de notre existence, offrant des réflexions empreintes de maturité.

Pour cet LP, l'artiste s'est entouré de collaborateurs talentueux qui ont contribué à façonner chaque note minutieusement. Des paroles envoûtantes de Pierre-Dominique Burgaud aux arrangements subtils de Johan Dalgaard, chaque élément de ce long playing témoigne d'une recherche artistique méticuleuse et d'un souci du détail sans pareil.

Alain Chamfort, fidèle à son héritage musical, continue de surprendre et d'inspirer, offrant à son public une œuvre qui marquera les esprits. "L'Impermanence" est un voyage émotionnel, une invitation à la réflexion et à l'introspection.

Issu de cet elpee, « La Grâce » est disponible sous forme de clip

Francoiz Breut

Françoiz Breut prise sur le vif !

Écrit par

Vingt-sept ans de carrière, branchée sur un circuit alternatif, Françoiz Breut (Française et Bruxelloise d’adoption) s'évertue à faire sortir la chanson de ses gonds. Sur des airs pop et décomplexés, l’artiste fonctionne à l'instinct, se déplaçant au gré des images et des rencontres musicales qui décorent un cabinet de curiosité à l’imaginaire imprévisible où les chansons répondent constamment à l'appel du cœur. 

Tout droit sortie du « Flux-Flou de la Foule », paru en février 2021, paysages urbains aux âmes courbes, Françoiz replonge ses mains dans le terreau foisonnant de l’infiniment petit, infiniment concret. « Vif ! » est une volte-face d’une artiste qui, après avoir exploré la ville, observe le besoin de crever l’asphalte et d'y clamer une ode aux vers. Le mot d'ordre du prochain album : organique.

Marqué par la ligne claire des compositions et arrangements de Marc Mélia (claviers), François Schulz (basse-guitare) et Roméo Poirier (batterie), « Vif ! » constitue l'extension naturelle de l'énergie artistique de l'elpee précédent.

« Vif ! » est une symphonie spontanée en réponse à l’énergie de la ville et au détachement instinctif du ‘maintenant, tout de suite’ que cette dernière peut générer en nous. Françoiz vous invite au cœur d'une fresque sensorielle qui évoque une nature mystérieuse qui se cache jusque dans nos cellules. Chaque morceau de ce disque nous guide à travers une métamorphose où l'âme humaine se libère de ses attaches pour se fondre dans la beauté rugueuse des géants feuillus.

« Ode aux vers », extrait du nouvel album est disponible sous forme de clip

 

 

Matthieu Malon

L’instabilité de Matthieu Malon…

Écrit par

Le nouvel opus de Matthieu Malon paraîtra ce 17 mai. Il s’agira de son 6ème. Il fait suite à « Le pas de côté », qui avait été composé exclusivement sur un Ipad et faisait la part belle aux sonorités électroniques inspirées de Kraftwerk et Underworld.

Et c'est un virage radical par rapport au précédent elpee, puisque « Bancal » lorgne vers la musique rock-indé des années 1990-2000 et ses guitares aux sonorités 90’s.  

Autoproduit et sans temps mort (10 titres, 33 minutes au compteur), le long playing propose des chansons françaises écrites comme des anglophones, portées par des arrangements ‘minimalistes’ (peu d'instruments) qui laissent toute la place à la distorsion, au ‘fuzz’, évoquant tour à tour les Pixies, Jesus & Mary Chain ou encore R.EM. Côté français, Taxi Girl n'est jamais très loin non plus.

Composé et enregistré en 10 jours au mois de janvier 2023, puis peaufiné et terminé à l'automne, cet LP nous réserve une poignée de chansons intimes qui reprennent les thèmes chers à Matthieu Malon (la ferveur des sentiments amoureux et le désenchantement sur « Les orties », « La nuit ne nous suffit pas » ou encore « Jusqu'à demain l'orage »), mais aussi une réflexion sur la position sociale liée à la crise de la cinquantaine attendue (« Bancal », « Alter ego »), comme sur le climat politique délétère actuel (« Un secret pour personne »). L'album s’achève par une reprise (adaptée en français) du groupe anglais Television Personalities (« Elle ne lira jamais mes poèmes »).

En attendant Matthieu Malon nous propose son single, « Le temps qu'il fait », sous forme de clip,

 

Sarah Amiel

Sarah Amiel observe par le hublot…

Écrit par

La musique et les mots ont toujours été là pour Sarah Amiel. Ils l’accompagnent depuis sa plus tendre enfance.

Elle naît à Paris, son père est alors lexicographe et sa mère travaille pour le festival de Jazz de Paris. Elle grandit donc entre les concerts et les dictionnaires. Une histoire presque écrite d'avance...

Amoureuse des grooves paisibles et des mots simples, elle écrit et chante dans la langue de Molière, modelant ses refrains comme des ritournelles, tricotant ses compositions à l’aide de sa guitare ou son violoncelle.

Son premier opus, "Par le hublot", est paru ce 15 mars 2024.

Cet album fait jaillir, par la musique, la simplicité de la vie. Le titre-phare, "Des Refrains", illustre ce propos. Sarah entend une mélodie, un refrain, des sensations, quelques mots, et le fil de la chanson déroule en toute simplicité. Une ode à cœur ouvert aux petits moments de vie qui la traversent. Mis en image dans son dernier clip où on voit Sarah découvrir des fleurs des champs, des cerisiers, des nuages, une mer calme, autant d'échos aux images et sensations qui l'habitent.

Le clip consacré à « La buée sur le carreau » est à voir et écouter ici

 

Alice Martin

Les échos lointains d’Alice Martin

Écrit par

Alice Martin est une jeune chanteuse, auteure, compositrice et guitariste belge.

Influencée par la culture pop et folk américaine, elle accorde ses premiers concerts de rue à 17 ans en reprenant du Joni Mitchell, Fleetwood Mac mais aussi Alanis Morissette ou KT Tunstall.

Très vite elle passe à la composition. Elle part seule sur la route du blues et se frottera au public américain dans les clubs à Nashville, New Orleans ou NY.

Après avoir gravé une poignée de singles qui ont bénéficié d'un bel airplay, Alice a sorti son premier Ep, « Far And Echoes », dans un registre qui oscille entre folk doux et pop électrique.

Les chansons traitent de la quête de l'épanouissement, de son émancipation en tant que femme, de désillusions et d'amour aussi

Extrait de cet Ep, « Blueridge final » est disponible sous forme de clip

 

 

Scott Hepple

Ashes to Wildflowers

Écrit par

 Scott Hepple and the Sun Band

Issu de Newcastle, en Angleterre, Scott Hepple and the Sun Band est une formation de rock psyché dont les références ultimes sont puisées chez d’illustres rockeurs comme Black Sabbath ou Neil Young mais aussi le plus ‘moderne’ Ty Segall. Son premier elpee, « Ashes to Wildflowers », a été enregistré dans les studios de Duncan Lloyd (leader de Maxïmo Park) par le producteur américain Carl Saff (vu aux côtés de Sonic Youth, Ty Segall, J. Mascis) et il met en exergue des sonorités psyché, blues, rock et folk comme aux meilleurs moments des années 70. La voix ressemble parfois à celle de Jack White mais surtout Neil Young et le tout est parfaitement vintage jusqu’à la production analogique qui devrait faire des ravages sur vos platines.

Podcast # 16 émission Inaudible (cliquez sur le logo ci-dessous)

Botanique (Bruxelles) : Les Nuits (changement de line up, annulation, nouveau concert), nouveaux concerts, etc (update 12/04/2024)

Écrit par

SUPPORTS

AMATORSKI fera la première partie de JULIA HOLTER le 10.04.2024 à l’Orangerie.

ANWAR fera la première partie de JOE BEL le 19.05.2024 à la Rotonde.

POMRAD fera la première partie de J. BERNARDT le 21.05.2024 à l’Orangerie.

NUITS : CHANGEMENT DE LINEUP

Changement de line-up pour le concert de SAM AMIDON – JOHANNA WARREN le 02.05.2024 au Museum.

JOHANNA WARREN sera remplacée par MARTA DEL GRANDI.

NUITS : COMPLEMENT D'AFFICHE

STONY STONE rejoindra l’affiche de ZUUKOU MAYZIE le 26.04.2024 au Chapiteau.

KRANKk et SHARON UDOH rejoindront l’affiche de CLIPPING. le 24.04.2024 à l’Orangerie.

RESTING BASS FACE (dj) et NEPHTYS (live) rejoindront l’affiche de RAINBOWARRIORS. le 26.04.2024 aux Halles de Schaerbeek.

NUITS : ANNULATION

Le concert de JAMILA WOODS et MADEMOISELLE GHANDI prévu le 26.04.2024 au Musée, est annulé.
Les tickets sont remboursés.

NUITS : NOUVEAU CONCERT

JESPFUR
25-04-24

SAISON : NOUVEAUX CONCERTS

HOT GARBAGE
14-05-2024

NIXON
25-05-2024

FAUX REAL
28-05-2024

NU JAZZ
01-06-2024

THE FLESHTONES
03-06-2024

WAYFARER – DREADNOUGHT
27-06-2024

DALILA KAYROS + ZAÄAR
28-06-2024

PETER PETER
14-09-2024

JOHN MAUS
07-10-2024

THE DARTS
18-10-2024

8RUKI
24-10-2024

DANA GAVANSKI
09-11-2024

MORPHO
04-12-2024

http://www.botanique.be

 

Live Nation : les nouveaux concerts (update 8/04/2024)

Écrit par

Mercredi 16 octobre 2024 – Glass Animals – Forest National, Bruxelles

Mardi 22 octobre 2024 – Starset – Trix, Anvers

Mercredi 20 novembre 2024 – Christian Löffler – La Madeleine, Bruxelles

Samedi 7 décembre 2024 – Goldband – Sportpaleis, Anvers

http://www.livenation.be

Greenhouse Talent : les nouveaux concerts (update 8/04/2024)

Écrit par

Sa 18.05.2024 Scott Bradlee’s Postmodern Jukebox
La Madeleine, Bruxelles
SOLD OUT

Je 10.10.2024 Scott Bradlee’s Postmodern Jukebox
OM, Liège
Tickets en vente à partir du 12 avril à 10h00

JE 28.11.2024 Bilderbuch
La Madeleine, Bruxelles
Les billets sont en vente à partir du jeudi 11 avril à 10 heures

MA 04.03.2025 Marcus & Martinus
La Madeleine, Bruxelles
Les billets sont en vente

http://www.greenhousetalent.com

 

John Cale

L’illusion ‘POPticale’ de Johan Cale…

John Cale vient d’annoncer la sortie de son nouvel opus, "POPtical Illusion", qui paraîtra ce 14 juin 2024, et partage son premier single/vidéo, "How We See The Light" (à voir et écouter ici)

Malgré son titre enjoué, le second elpee de John Cale en un peu plus d'un an contient les mêmes sentiments de rage féroce et inquisitrice qui étaient présents dans "Mercy", l'album de 2023. Il reste en colère, toujours courroucé par la destruction volontaire que des capitalistes incontrôlés et des escrocs impénitents ont commise et font subir aux merveilles de ce monde et à la bonté de ses habitants. Sur "POPtical Illusion", il s'enfonce, la plupart du temps seul, dans des labyrinthes de synthétiseurs et d'échantillons, d'orgues et de pianos, avec des paroles qui, pour Cale, constituent une sorte d'espoir tourbillonnant, une sage insistance sur le fait que le changement est encore possible. "POPtical Illusion" est l'œuvre de quelqu'un qui essaie de se tourner vers l'avenir - exactement comme Cale l'a toujours fait.

Le premier single, "How We See The Light", se distingue par ses pianos pulsés qui se déplacent en phase et en déphasage avec une batterie inébranlable.

Cale a souvent affirmé que quelque chose avait changé dans son esprit pendant la pandémie, réalisant qu'à l'approche de ses 80 ans, il vivait et travaillait dans une situation que beaucoup de ses contemporains ne connaissaient pas. Il a écrit plus de 80 chansons en l'espace d'un peu plus d'un an, sondant collectivement l'étendue de l'expérience humaine. L’humour s'est transformé en frustration, les regrets ont cédé la place au pardon, la tristesse s'est mêlée au surréalisme. De plus, Cale ne s'est jamais cantonné à la vieille garde, à rester sur la touche et à se plaindre de la modernité et de la façon dont les choses étaient faites auparavant. Ce long playing synthétise ses émotions en une douzaine de terrains de jeu électroniques, la voix magistrale de Cale les parcourant de jeux de mots et d'idées, de griefs et de boutades.

 

John Cale a toujours été un musicien de son temps, contribuant à des changements titanesques dans le domaine du son et de la culture. Sa curiosité quant à la façon dont l'électronique pourrait être plus qu'un gadget dans la musique rock a servi d'inspiration à un nombre incalculable de scènes cruciales. Cale regarde l'agitation orchestrée de l'histoire récente, fronce les sourcils de dégoût, puis tourne les talons vers l'avenir.

 

Little Albert

La bifurcation de Little Albert

Écrit par

Little Albert, le projet solo blues/rock du guitariste de Messa, Alberto Piccolo, a partagé la vidéo officielle de « See My Love Coming Home », un titre extrait de son deuxième album, « The Road Not Taken », paru ce 23 mars.

Considéré comme l'un des meilleurs guitaristes de la scène rock moderne par la critique internationale, Alberto Piccolo, aka Little Albert, est connu pour son travail au sein du groupe italien de doom metal Messa, et reconnu par la critique musicale et le public comme un élément intéressant, sur la scène heavy mondiale. Il s'est produit sur des scènes majeures en Europe, au Royaume-Uni et en Amérique du Nord.

Enregistré au studio Outside Inside de Matteo Bordin (Mojomatics, Omega Squad), « The Road Not Taken » traite du concept de choix et se divise en une série de réflexions sur l'amour qui a mal tourné, les regrets et la santé mentale. L'histoire de cet opus se déroule dans le désert de l'Arizona, avec pour bande-son le blues rock des années 70 de Little Albert, inspirant et profondément émouvant. Soutenu par Alex Fernet à la basse et Diego Dal Bon à la batterie, ce nouvel elpee recèle également une reprise spéciale du célèbre classique du bluesman louisianais Little Walter, « Blue And Lonesome ». Enregistré sur bande analogique, « The Road Not Taken » dégage à la fois une authenticité vintage et une attitude résolument moderne.

La vidéo de « See My Love Coming Home » est disponible

 

 

LaSemo 2024 : l’affiche est complète (update 5/04/2024)

Écrit par

        Vendredi 12/07

        Parov Stelar - IAM - Ibrahim Maalouf - LEJ - Soviet - Colver - Dorothy Gale - Jean-Paul Groove -  L4U - Stace

        Samedi 13/07

        Loic Nottet - Zaho de Sagazan - Chinese Man - Mentissa - Mayra Andrade - RORI - Makoto San - MPL - Benni - Choses sauvages - Jarl Flamar - Lumiere - Turkish - Winter Woods

        Jeune Public : Aldebert - Piwi Leemans

        Dimanche 14/07

        Patti - Pomme - Deluxe - Dionysos - Babylon Circus - Saule - KermesZ à l'Est - Cédric (et les) Gervy - JOUBe - Leila Lachterman

        Jeune Public : Les Déménageurs - Mr Nicolas - Bric&Broc

http://www.lasemo.be

Het Depot (Louvain) : les nouveaux concerts (update 5/04/2024)

Écrit par

Lu 29.04.2024 Depot Café & Willy present B O I
Sa 01.06.2024 Synapse met Jan De Block
Me 16.10.2024 Doodseskader

https://www.hetdepot.be

Water Moulin (Tournai): les prochains concerts (update 2/04/2024)

Écrit par

Dimanche 7 avril 2024
ouverture des portes à 16h

ENEMIC INTERIOR
Barcelona
https://enemicinterior.bandcamp.com/album/enemic-interior

DÖGMËN
Belgium

ARDAN
France
https://ardan.bandcamp.com/album/cold-chairs-lp

- 20/04 : badaboum et chocolat billy 

- 10 & 11 may festoch annif 15 ans

avec Krinator; André Brasseur, Felix Kubin, Das kinn, teledetente 666, egg idiot, the 113, dim imagery

- 16 may: Mengers (mex) - the fervents

- 6 juin : upshuck - weird omen

- 29 juin : festoch water moulin’s bands

avec nau ponix, adolina, u dada, aminoacid club... ..

https://www.facebook.com/watermoulin/?locale=fr_FR

 

Ancienne Belgique (Bruxelles) : les nouveaux concerts (update 3/04/2024)

Écrit par

dim. 05/05 |
Kraak presents Blooming Dervishes with Liam Grant, Cian Nugent, Aya Suzuki, Aong

jeu. 09/05 |
Compact Disk Dummies & Chibi Ichigo

sam. 28/09 |
Triple bill: Adia Vanheerentals, Jeugdbrand & Carlos Giffoni

sam. 05/10 |
Sonic Pieces 15 years: Sylvain Chauveau, Cisser Mæhl , Erik K Skodvin + more

sam. 12/10 |
Emmy d'Arc

sam. 12/10 |
Herman Van Veen

dim. 13/10 | EN VENTE DÈS 05/04 -
ARXX

ven. 08/11 |
Darrell Cole

mer. 20/11 |
Noannaos presents Susobrino

http://www.abconcerts.be

Peter Verstraelen Agency : les nouveaux concerts (update 3/04/2024)

Écrit par

    10 Apr '24

    AMATORSKI Botanique, Bruxelles Supporting Julia Holter

    28 Apr '24

    ORIANA IKOMO STUK, Louvain

    03 Aug '24

    WILLY ORGAN Otspot, Ottenburg

    10 Aug '24

    NAFT Zeverrock, Zevergem    

    COMPACT DISK DUMMIES Zeverrock, Zevergem

    09 Aug '24

    MOONEYE Zeverrock, Zevergem

https://www.peterverstraelen.com/gigs/new

 

Live Nation : les nouveaux concerts (update 2/04/2024)

Écrit par

Vendredi 13 septembre 2024 – jxdn – Trix, Anvers

Dimanche 22 septembre 2024 – The Dandy Warhols + The Black Angels – La Madeleine, Bruxelles

Vendredi 27 septembre 2024 – Aurora – Forest National, Bruxelles

Dimanche 29 septembre 2024 – Ryan Adams – Koningin Elisabethzaal, Anvers

Vendredi 6 décembre 2024 – Goldband – Sportpaleis, Anvers

Jeudi 19 décembre 2024 – Sylvie Kreush – Ancienne Belgique, Bruxelles

http://www.livenation.be

Crumb

Un Crumb maternel ?

Le nouvel elpee de Crumb, « AMAMA », paraîtra ce 14 juin 2024. Il s’agira de son album le plus insouciant et le plus ouvert à ce jour, un disque au cours duquel il explore un paysage sonore hypnotique rempli d'expérimentations ludiques et disparates dans l’esprit de « Ice Melt » (2021) et « Jinx (2019) ». Pour Crumb, « AMANA » signifie simplement un opus à son plus haut niveau d'animation.

Porté par l'écriture de Ramani, tour à tour poétiquement abstraite et directement confessionnelle, « AMAMA » recueille les rencontres étranges des années de tournée de la formation psych-pop new-yorkaise - à savoir la chanteuse et multi-instrumentiste Lila Ramani, le claviériste et saxophoniste Bri Aronow, le bassiste Jesse Brotter et le batteur Jonathan Gilad- retraçant par la même occasion le parcours vertigineux d'un groupe en mouvement depuis près d'une décennie. Dans « Alone in Brussels », Ramani exprime son isolement forcé dans une ville lointaine. Sur « The Bug », nous nous arrêtons dans un motel miteux, où la morsure d'une bestiole laisse une sensation tenace : ‘It's always on my mind / it's just always on my mind’, répète Ramani sur un groove rampant, alors qu'elle erre au sein de cet endroit, la nuit. Tout au long de « Side by Side », peut-être le morceau le plus franc d'« AMAMA », des percussions frénétiques et un synthé désorientant enveloppent Ramani, alors qu'elle réfléchit aux sacrifices personnels qu'elle a éprouvés en chemin.

Même s'il sonde les arrêts transitoires et les rencontres difficiles, « AMAMA » présente certaines des explorations les plus vulnérables et les plus tendres de Crumb, à la recherche d'une connexion organique. ‘La maison est ce que je veux et ce dont j'ai besoin’, chante Ramani sur le morceau d'ouverture clairvoyant, « From Outside a Window Sill », qui reprend un enregistrement radio de la police concernant un troupeau d'oies traversant un pont à Gowanus, Brooklyn, où Ramani a grandi. Le titre « AMAMA » rend un hommage optimiste et plein d'espoir à la grand-mère de Ramani, son homonyme, qui chante en malayalam dans le premier extrait.

Un long playing dont la musique navigue au carrefour du psychédélisme, de la pop, du jazz et du rock, et fait de Crumb un groupe unique en son genre.

Le clip consacré au titre maître est disponible

 

 

Lescop

Des arrangements musicaux précis et une mise en scène visuelle efficace…

‘Ça fait longtemps !’, confie d'emblée Lescop au public venu assister à sa prestation, ce soir, au Botanique. En effet, son dernier concert au centre culturel remonte à 2013 ! C’est même à cette date qu’il avait accordé une interview à Musiczine (à lire ou à relire ici).

Pour être précis, le chanteur français visite la capitale de l'Europe pour la 5ème fois. D'abord, en 2012, en première partie de Daniel Darc, dans le cadre des Nuits Botanique et, rebelote quelques mois plus tard, au sein de la Rotonde. Dès 2013, à nouveau, lors des Nuits et enfin, en 2017, au cours du regretté BSF (Brussels Summer Festival).

Ce soir, il revient après un long hiatus, qu'il a mis à profit pour changer d'air après avoir subi les aléas d'un succès un peu trop rapide. Selon ses déclarations, il a apprécié son rôle d’acteur (sa première passion), écrire des scénarios et former un projet 'rock/glam', baptisé Serpent. Cette période lui a aussi permis de changer de maison de disque. Adieu, le label ‘Pop Noire’ de ses amis Johnny Hostile et Jenny Beth et bonjour Labréa Music / Wagram Music / Turenne Music.

Pour rappel, Lescop est le pseudo de Matthieu Peudupin. Lescop, c’est le nom de famille de son arrière-grand-mère bretonne. Ex-chanteur du groupe punk rochelais Asyl, il a développé, en solo, un style de ‘pop française' fortement inspiré des années '80. Une ‘pop noire’ qui a fait mouche dès son premier hit, le lumineux "La Forêt", et son album éponyme, dont la musique célébrait un mariage parfait entre Daho, Taxi Girl et Indochine, tout en empruntant des accents à The Cure, Joy Division et The Velvet Underground.

Ce soir, le retour s’opère dans l'intimité de la salle du Museum, au Botanique. L'artiste vient y présenter son tout nouvel elpee, “Rêve Parti”, réalisé en coopération avec le musicien-producteur Thibault Frisoni (comparse de Bertrand Belin).

Après une courte introduction, le très beau "Elle" ouvre efficacement le concert. Lescop investit les lieux avec classe et discrétion. Pendant "Exotica", un des 3 hits potentiels de sa dernière production, en l’observant, on constate qu’il a mûri : exit, le polo Fred Perry, le jean et les Converse ; il porte un costume foncé et une chemise brune. Derrière son pied de micro, concentré et les yeux fermés, il affiche un air sérieux, presque grave. Quand il bouge, il s'autorise juste quelques élégants déhanchements, légèrement androgynes.

A ses côtés, un tout nouveau 'band', composé d'un batteur, d'un claviériste/guitariste et d'une bassiste qui prend en charge les voix d'appoint mais aussi celles des chanteuses présentes sur le nouvel album : Halo Maud, dans “Femme Papillon” et Izia dans “La Plupart du Temps”. Tout au long de “La Nuit Américaine” et du puissant “Tokyo, La Nuit”, on remarque la précision des arrangements musicaux et l'efficacité de la mise en scène visuelle.

Pendant “Le Vent”, on sent planer une atmosphère Joy Division-esque : le côté hypnotique et solennel évoque le titre “Atmosphere”, des légendaires Mancuniens. Le premier grand frisson de la soirée intervient pourtant un peu plus tard, à la faveur de nouveau hit de Lescop, “Les Garçons”. Le clin d'œil à “Cherchez Le Garçon”, de Taxi Girl, saute aux oreilles et il est impossible de ne pas danser, à tout le moins de se déhancher sur cette composition finement ciselée.

Comme prévu, le final du concert sera consacré aux ‘vieilleries botoxées’, comme l'annonce avec humour Lescop. Tout d'abord, le puissant “Marlène” et ensuite, en apothéose, “La Forêt”. Dès les premières notes, l'ambiance monte de plusieurs crans et, à ce moment, comme d’habitude, Lescop descend du podium pour se mêler au public. A quelques mètres seulement de l'artiste, on se met à danser en remuant la tête, comme ensorcelés par la mélodie envoûtante.

Après des applaudissements nourris, Lescop revient pour le rappel. Visiblement ému, il évoque le courage qu'il faut avoir pour partir, quand les choses ne vont plus bien, comme l'a fait Marlène Dietrich, en quittant Berlin. ‘Dans les couples, c'est la même chose’, ajoute-t-il, ‘il faut pouvoir, à un moment, dire adieu à son 'Rêve Parti'’. Et d'enchaîner sur la chanson titulaire de son dernier opus, suivie d'un tout dernier titre, “Un Rêve”.

Un concert absolument parfait, même si votre serviteur n'a pas eu la chance, cette fois, de prolonger la soirée auprès de l'artiste, comme en 2012. En compagnie de mon amie Valéria, nous nous étions retrouvés à faire la fête avec l'artiste dans ‘Bruxelles, La Nuit’, car, il faut le savoir, Mathieu aime Les-c(h)oppes.... Hum...

Setlist

Elle
Exotica
La femme papillon
David Palmer
Radio
La nuit américaine
Tokyo, la nuit
La plupart du temps
Grenadine
Le vent
Les garçons
Le jeu
Tu peux voir
Marlène
La forêt

Encore

Rêve parti
Un rêve

Organisation : Botanique

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