L’origine et la fin de Monseigneur…

Monseigneur est un quatuor liégeois dont les membres se connaissent puisqu’ils ont foulé les mêmes scènes au sein de projets musicaux différents, depuis de nombreuses années. Il s’agir d’un projet 2.0, né d'abord digitalement, lors du confinement imposé en…

logo_musiczine

Musiczine recherche des collaborateurs.

Tu as une très bonne connaissance musicale et tu souhaites participer à l’aventure Musiczine.net ? Tu es passionné, organisé, ouvert, social, fiable et appliqué ? Tu as une bonne plume ? Alors n’hésite plus : rejoins-nous ! Vu l’ampleur prise par Musiczine et…

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Search results (1 Items)

Orbital

Work 1989-2002

Orbital est un groupe séminal de l'ère électronique, du moins pour les années nonante : de " Chime " à " The Box " (avec Alison Goldfrapp au chant), les frères Hartnoll ont participé à la popularisation de la techno à travers le monde, à l'instar de leurs compatriotes d'Underworld, de The Orb et de Sabres of Paradise. Depuis, leur son acid si caractéristique provoque beaucoup moins d'effets, et Orbital semble s'être encroûté dans la redite et le surplace. L'électro du duo en orbite géostationnaire sur un dernier album ennuyeux (" The Altogether "), on pensait donc ne plus guère les écouter, si ce n'est lors d'une éventuelle bouffée de nostalgie… A l'écoute de ce best-of " bis " (on n'y retrouve pas forcément les versions les plus connues de leurs classiques), on se dit pourtant qu'Orbital reste un grand groupe, malgré le coup de vieux de certains titres : " Chime " (datant d'il y a 12 ans !) est toujours aussi dansant, et de plus récents morceaux (" Illuminate ", avec David Gray) témoignent que les Hartnoll ont quand même encore de beaux restes… Dommage qu'ils aient préféré la version bodybuildée de " Satan " (avec Kirk Hammett de Metallica à la guitare, tirée de la BO de Spawn) à l'originale, bien plus convaincante ; et, surtout, qu'ils aient honteusement (ou presque) passé sous silence " In Sides ", leur meilleur album. Sans cela, ce best of aurait été parfait… Mais ne boudons pas non plus notre plaisir, il y a suffisamment d'" anthems " sur cette compil pour y trouver son compte et danser jusqu'au bout de la nuit.