Manu Chao célèbre l’autre…

Manu Chao, l'icône de la scène musicale mondiale, revient sur le devant de la scène en sortant un nouveau single baptisé "Viva tu". Après plusieurs années d'absence médiatique volontaire, l’artiste nous offre un avant-goût de son prochain opus tant attendu.…

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Brazen tient la distance…

Après près de dix-huit ans de silence trompeur, Brazen (Genève), revient avec « Distance », une épopée indie-rock ambitieuse où s’entrelacent modulations mélancoliques et harmonies vocales sur un tapis instrumental planant. Les huit titres qui composent…

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The Sheila Divine

Where have my countrymen gone

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Bien qu'issu de Boston, Sheila Divine puise essentiellement ses influences dans la musique insulaire. Et en particulier chez U2, Radiohead, les Smiths, Kitchens Of Distinction et la cold wave des eighties. Une musique qui libère beaucoup d'intensité électrique. Normal depuis que le line up du combo a engagé pour deuxième guitariste, l'ex-Lincolnville, Colin Decker. Une intensité électrique luxuriante, chatoyante, brumeuse, bringuebalante, soutenue par une section rythmique solide, hypnotique et modelée par un sens mélodique particulièrement contagieux. Une intensité électrique balayée par le timbre vocal languissant, déchiré entre passion et émotion d'Aaron Perrino, responsable de chansons tantôt tendres, tantôt frénétiques, tantôt houleuses, tantôt hymniques. Et là, vous allez me dire, encore un groupe qui use et abuse des clichés britpop ! Et vous n'avez pas tout à fait tort. Car, si cet album est plutôt bien ficelé et même très agréable à écouter, il ne fera certainement pas avancer le schmilblick…

 

The Sheila Divine

New parade

Dans se moments les plus tendres, cette formation yankee évoque ni plus ni moins Morrissey, et surtout les Smiths. Cependant, ils sont tellement rares que cette comparaison nous semble finalement saugrenue. En fait, The Sheila Divine calque son pop rock hymnique sur celui de Deep Blue Something. Mais la voix de Perrino est tellement envahissante et surtout tempétueuse, qu’elle finit par étouffer la mélodie. Seul le titre maître parvient à trouver l’équilibre entre l’instrumentation et le chant. Mais un seul titre sur douze, cela nous semble trop peu !