Goudi et Lubna Azabal dansent le tango de l’ennui…

Lubna Azabal est une actrice belge née à Bruxelles d'un père originaire du Maroc et d'une mère espagnole. Après avoir été dirigée par les grands noms du cinéma international, elle a remporté ‘Le Golden Globe’ pour le film ‘Paradise Now’. Lubna adore les…

logo_musiczine

Des grenades pour Tess Parks…

Née au Canada, mais établie à Londres Tess Parks sortira son cinquième elpee et le second en solo, « Pomegranate », ce 25 octobre. En fait elle en a gravé un en compagnie de Black Market Karma, et deux d’Anton Newcombe de Brian Jonestown Massacre. Ils sont…

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Search results (1 Items)

Aftershave

Ep

Écrit par

Cette formation française avoue pour influences majeures Nick Cave & the Bad Seeds, Sixteen Horsepower, Sonic Youth, les Stranglers et les Pixies, même si la tendance rock, voire metal semble assez marquée tout au long de cette démo. Une démo quatre titres, dont le morceau d’ouverture mérite une attention particulière. A cause de sa mélodie dynamique qui s’inspire à la fois des Strokes et d´Indochine. Malheureusement, la voix faiblarde et criarde du chanteur gâche quelque peu cette impression première. Tout comme la longueur de la plage. Ce sont d’ailleurs les deux défauts majeurs des compos qui figurent sur ce disque. En outre, les trois derniers fragments semblent calqués dans le même moule. Et en particulier « Generator » et « Several reasons ». Opéré en douceur, le début de chacune de ces chansons épouse une forme de ballade caractéristique chez le défunt Nirvana, avant de glisser progressivement vers un grunge saturé de guitares puissantes, lourdes, très (trop) lourdes. Pas trop cohérent tout ça ; ou alors un peu trop. Ce qui n’empêche pas Aftershave de receler du talent. Un talent qu´il faudra encore laisser mûrir quelque temps, avant qu’il ne puisse s’exprimer pleinement…