L’esprit infini de LUX the band…

Après la sortie de second elpee, "Gravity" (décembre 2022), et de l'Ep "Before Night Falls - The Black Box Sessions" (digital janvier 2024), le quatuor LUX the Band (Angela Randal et Sylvain Laforge accompagnés de Julien Boisseau et Amaury Blanchard) est de…

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Hippo Campus sort la tête de l’eau…

Hippo Campus sortira son quatrième album « Flood », ce 20 septembre 2024. « Flood » constitue à la fois un disque et une renaissance. En effet, il a fallu cinq années au combo du Minnesota pour enregistrer 13 titres en seulement 10 jours à la frontière du…

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Nicolas Comment

Le blason de Nicolas Comment…

Écrit par

« Blason », troisième album solo de Nicolas Comment, est un Memory game : un jeu de pistes et d’armoiries. Sous forme de portraits-chinois qui sont autant de vies d’artistes, les 11 chansons de ce disque sont un hommage aux muses cachées, aux pygmalions secrets.

L’artiste (auteur-compositeur-interprète mais également photographe et écrivain) y est entouré du meilleur groupe de rock français The Limiñanas ainsi que de choristes de rêve –la chanteuse californienne Brisa Roché et son double, la Parisienne Milo McMullen– qui incarnent ces biopics dans un jeu de miroirs, comme les multiples faces d’un dé, d’un Rubik's cube… Des complices –le poète-compositeur Patrick Bouvet, le pianiste Maxence Cyrin, le trublion Romain Guerret (ex-leader du groupe Aline) et le réalisateur Éric Simonet (Movement) y croisent le fer avec le guitariste de Bob Dylan, Freddy Koella ou le producteur-claviériste (et cinéaste) Marc Collin (Nouvelle Vague).

Enregistré au studio Alphaville à Châtelet-les-Halles et masterisé à la Bastille, le Son même de Paris y relève le gant de la chanson d’auteur française, indépendante et Rock.

La ‘lyrics vidéo’ de « Helmut » (feat. Brisa Roché & Milo) est disponible ici

 

 

Nicolas Comment

Nous étions Dieu

Écrit par

« Nous étions Dieu » constitue le premier album de ce Parisien, âgé de 37 ans, reconverti dans la chanson sombre et mélancolique. Un artiste complètement inconnu au bataillon, ce Nicolas… comment ? Comment, Nicolas Comment. Pigé ?

Après avoir accompli des études aux beaux-arts, arts-déco et de cinéma, il embrasse la profession de photographe et est engagé par l’agence VU, vu ?

Musicien (pour son propre plaisir) depuis toujours mais donnant la priorité à l’image, notre homme est un soir bloqué à l’aéroport de Berlin et c’est là que le déclic se produit, mettre en boîte ce qu’il a déjà écrit. En 2008, son projet donne naissance à un mini-album six titres, « Est-ce l’Est »

L’appétit venant en mangeant, Nicolas rencontre Marc Collin (Indurain, Ollano, Nouvelle Vague) qui, comme lui, est féru de ‘New Wave’ des eighties. Des 25 chansons proposées par notre photographe, le producteur dirige son choix vers les plus sombres et privilégie les synthés afin de les envelopper au sein d’une ambiance électro feutrée.

L’album est parfaitement réalisé, rien à dire. Les textes sont très beaux. L’accompagnement musical est impeccable ; en outre, la rythmique est efficace. Un petit bémol toutefois ; et même s’il s’en défend, Nicolas Comment (ab)use volontairement du style et du phrasé (il parle plus qu’il ne chante) de Gainsbourg, source d’inspiration des Bashung, Biolay, et bien d’autres…

Si l’album tient la route et que les textes ne manquent pas d’allure, on a malgré tout la nette impression de se farcir un énième disciple du fumeur de havane. D’ailleurs, pour celles et ceux qui recherchent un peu d’originalité, faudra repasser. Dans « Je te veux », plage ouvrant l’album, on croit même être en présence de Benjamin Biolay, tant la ressemblance est frappante. Et le reste est issu du même moule.