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Razorlight

Razorlight perdu dans sa galaxie…

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Razorlight a été au premier plan de la résurgence de l'indie-rock au début des années 2000. On se souvient de ses plus grands moments : « Golden Touch », « Somewhere Else », « In The Morning" », « America » et « Wire To Wire », des titres décrochant un tas de distinctions, et des moments inoubliables sur scène, avec notamment la tête d'affiche du Reading Festival et un concert au Live 8.

Après s'être reformé pour des concerts en 2021, le lie up classique - Johnny Borrell (chant/guitare), Björn Ågren (guitare), Carl Dalemo (basse) et Andy Burrows (batterie) - sort le 25 octobre un nouvel album intitulé « Planet Nowhere », son premier depuis 2008. Et Razorlight présente en avant-première le single : « Scared Of Nothing ».

Depuis sa reformation, Razorlight a réalisé une tournée à guichets fermés comprenant un concert à L'Eventim Apollo de Londres, et a joué en tant qu'invité de Muse, Kaiser Chiefs et James. Mais Johnny s'est lancé un défi : ‘Qui veut être un groupe de hits du passé ?’ Il décide donc de planifier une session de cinq jours sous la houlette du légendaire producteur Youth (The Verve, James) dans son studio de Space Mountain, en Espagne. Youth savait ce qu'il fallait faire et a dit au groupe : ‘Razorlight c'est assez simple, n'est-ce pas ? Juste une ligne de basse entraînante, une batterie entraînante et une histoire’.

« Scared Of Nothing » libère une énergie post-punk tendue et piquante qui est aussitôt contagieuse - les mêmes caractéristiques qui ont suscité les éloges de NME à ses débuts (‘Plus de mélodies que Franz Ferdinand, plus d'esprit que The Strokes, et plus de couilles que presque tous les autres groupes’).

C'est également le morceau qui a débloqué la créativité de Razorlight, ce qui a conduit le groupe à retourner en Espagne avec Youth pour une deuxième session au début de l'année, au cours de laquelle ils ont travaillé sur un vaste catalogue de chansons pour le futur elpee. Parmi les autres titres figurent « Zombie Love », « U Can Call Me », « Dirty Luck » et « Cool People ».

Le clip de « Scared Of Nothing » est disponible ici

 

 

Razorlight

Razorlight

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Introduit par « Up All Night » en 2004, le quartette anglo-suédois (!) a dû faire face, cette année-là, à une appréciation très mitigée, pour finalement remporter un succès public inattendu. Succès qui les propulsa, notamment, aux côtés de Coldplay sur la scène londonienne du ‘Live 8’. Reboosté par la confiance de ses fans, Razorlight promettait ‘le meilleur disque de l’année’, quelques semaines avant la sortie de cet éponyme. Devant tant d’optimisme, on reste dubitatif quant au résultat concédé par « Razorlight ». Au moment de la sortie de « Up All Night », les critiques anglais reprochaient au combo de n’être qu’une pâle copie de nombreuses formations déjà actives à l’époque. Pour y remédier, il se contente cette fois d’imiter ses héros. Que ce soit The Clash (« In The Morning », « Before I Fall To Pieces ») ou The Kinks, (« Kirby’s House ») les quatre musiciens semblent avoir du mal à se débarrasser de leurs influences. « Razorlight » manifeste, dès lors, un manque flagrant d’originalité. Reste, au final, un disque gentillet, fond sonore potentiel pour le Carrefour du coin…