Dorian Sorriaux croit au changement…

Guitariste-chanteur dans l’univers du psyché/folk, Dorian Sorriaux a sévi comme guitariste au sein du groupe suédois Blues Pills. Il s’émancipe en explorant de nouveaux univers musicaux, et notamment à travers un folk plus acoustique et des textes plus…

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Malice K sur les ondes…

Malice K est un artiste né à Olympia, WA, et basé à Brooklyn, dont la palette sonore est composée d'alt 90s et de lyrisme effronté, créant une rare fusion de pop rock indie décalé. Ancien membre du collectif d'artistes Deathproof Inc, il s'est forgé une…

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Adrien Mouchet

Adrien Mouchet

Pour le premier concert de l’année, le foyer culturel de Peruwelz Arrêt 59 a eu la bonne idée de combler l’annulation de Moaning Cities par Mountain Bike. Le public n’allait donc pas être privé de concert rock et allait pouvoir découvrir l’une des révélations belge de 2014, dont la musique est caractérisée par ses mélodies pop aux sonorités garage.

Récemment pointé parmi les coups de cœur du célèbre magazine culturel français ‘Les Inrockuptibles’ lors de l’Eurosonic Festival de Groningen, les quatre gars avaient donc l’occasion de défendre cette symbolique distinction. Qui plus est, ils jouaient presque à domicile. Le groupe Franco-belge impliquant deux Tournaisiens.

C’était la première visite de votre serviteur à Peruwelz. En descendant la vingtaine de marches qui mènent à la salle, on ne s’attend pas vraiment à découvrir un gigantesque théâtre. L’endroit est certes magnifique mais un peu trop grand. En outre, le podium est fort surélevé. Ce qui inévitablement crée une légère distance entre les musiciens et le public, venu assez peu nombreux.

Ce n’était donc pas forcément gagné d’avance pour le quatuor qui allait finalement plaider brillamment la cause de son premier opus éponyme, paru en avril de l’année dernière…

Parce que Mountain Bike respire la joie et le plaisir de produire de la musique. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il arrange différemment les chansons entre différents concerts. Des nouvelles idées, des nouveaux essais ou même des délires passagers qui permettent de se renouveler et d’aller de l’avant.

Ainsi le titre d’ouverture, « Hangin’ Around », recèle une petite touche funky qui le rend bien différent de ce que l’on retrouve sur l’elpee. La plus-value du concert ne s’arrête pas simplement à de petites retouches sur des morceaux déjà connus. Nous avons également pu découvrir, en toute curiosité, quelques nouveaux titres très prometteurs. Car le deuxième long playing roule déjà dans la tête des Mountain Bike. Et c’est avec plaisir et enthousiasme qu’ils présentent leurs dernières compositions, sans pression (NDLR : en roue libre ?) Un morceau n’a d’ailleurs même pas encore reçu de titre. Par contre, placé en milieu de parcours, « Good For Nothing » réussit à captiver dès la première écoute. Joué en septembre lors d’une vidéo pour ‘Bruxelles Ma Belle’, il réussit parfaitement sa transition entre son atmosphérique au début et puissance dans son dénouement. Et en live, c’est une combinaison qui fonctionne terriblement bien !

Plein d’énergie, le set plein touche à sa fin et les quatre amis prennent la direction des coulisses. Ils sont d’ailleurs, comme d’habitude, vêtus d’un simple maillot de basket et d’un caleçon, quand même, parfois bien moulant (NDR : ce n’est pas Charles, le batteur, qui me contredira). Les lumières se rallument : il est évident qu’un rappel n’est pas vraiment prévu. C’était sans compter sur la détermination de quelques fans qui, en tapant du pied sur les planches, vont provoquer le retour d’Etienne. Le temps d’éteindre les lampes et le chanteur entame, seul à la guitare, « Just Good Friends » pour la première fois durant une représentation. Le calme revient provisoirement avant de faire sonner le réveil par un « Cigogne » concluant vigoureusement la soirée.

Une nouvelle fois, Mountain Bike ravit en live. Malgré la faible assistance (mais jugée très satisfaisante par le groupe), le quatuor donne tout sur scène et respire la joie de vivre à travers sa sympathie visible presque une heure sur scène mais également autour d’un verre après le show.

Seule déception de cette soirée, l’absence dans la setlist  de « Russian Roulette Casino », qui m’obsède depuis quelques temps. Je le pardonne aisément mais la prochaine fois, je veux l’entendre ! Car prochaine fois il y aura, sans aucun doute…

vendredi, 19 décembre 2014 18:45

Jùjù (Ep)

L’année musicale belge a été riche à bien des égards. Mountain Bike, MLCD, BRNS ou encore Joy ont charmé nos oreilles dans des styles bien différents. Et alors que 2014 touche à sa fin, FùGù Mango (prononcez Fou-Gou-Mang-Ô) dévoile son premier Ep. Une cerise sur un gâteau pourtant bien consistant. Fondée, il y a un peu plus d’un an, la formation bruxelloise n’a pas perdu beaucoup de temps. Fin 2013, elle publiait déjà deux premiers morceaux sur Youtube ; ce qui lui permettait d’acquérir une certaine notoriété. Assez pour se produire sur les scènes du Botanique (en première partie de Jungle), Dour Festival et Esperanzah. Paru fin novembre, ce Ep est la suite logique d’une année bien remplie.

« Jùjù » reflète une excellente vision de l’univers sonore imaginé par le groupe, un univers au sein duquel les percussions exotiques prennent une place prépondérante. Chez FùGù Mango, malgré de jolies mélodies pop, les compos sont sculptées dans une sorte d’afro-beat énergique.

« Mango Chicks » s’ouvre dans un climat paisible. Mais progressivement, le tempo s’élève et finit même par exploser. « Floarea » et « Walk On By » baignent au sein d’un climat digne de Vampire Weekend. Une des influences majeures du combo. Une référence flatteuse, vu le talent de la troupe drivée par Ezra Koenig.

En milieu de parcours, on a droit à une cover du « Golden Brown » des Stranglers. Le plus gros hit du mythe insulaire. Plutôt que de se contenter d’un simple copier/coller, le groupe parvient à se réapproprier la compo. Et le résultat est superbe. A cause des percus qui donnent une seconde vie à cette chanson qui date quand même de plus de 30 ans. « Kylie’s Dream » nous rappelle ensuite que les musicos sont également d’excellents compositeurs. Enfin, les deux dernières pistes explorent de nouveaux horizons en clôturant « Jùjù » dans la mélancolie.

Les nombreuses influences qui alimentent la musique de FùGù Mango ont tellement bien été digérées, qu’elle en devient presque personnelle. Permettant ainsi au band de se forger sa propre identité. Tout au moins en Belgique. S’il continue sur cette voie, nous devrions entendre beaucoup plus parler du quatuor, en 2015.

 

jeudi, 04 décembre 2014 18:04

Live 2014 : The Journey Is Everything

Piet Goddaer, alias Ozark Henry, a pris un nouveau virage depuis la sortie de son album studio, « Stay Gold », en 2013. En intégrant une voix féminine à son expression sonore, le compositeur a voulu élargir son horizon sonore pourtant déjà très large. Un choix certainement payant sur son dernier elpee mais pas forcément convaincant en live.

Laura Groeseneken a accompagné le Courtraisien, lors de cette tournée 2014. Ce qui explique pourquoi les anciens titres ont été adaptés en fonction de la vocaliste.

S’il est agréable de constater que l’artiste flamand essaye toujours d’offrir de nouvelles expériences à son public, les puristes risquent de regretter légèrement les nouvelles versions de certains morceaux. Car, même si Goddaer est un excellent compositeur, beaucoup de personnes sont aussi conquises par sa voix si particulière. Et la voir parfois mise en retrait pour celle de Groeseneken s’avère assez frustrant.

Il y a quand même des exceptions qui confirment la règle. « At Sea » en est le parfait exemple car Laura semble répondre à Piet. Ce qui rend le morceau interactif et vivant. L’enchaînement de ce titre avec « These Days » et « I’m Your Sacrifice », dans la deuxième partie de l’album, est d’ailleurs le meilleur passage de celui-ci. Toute la palette d’Ozark Henry est mise en avant par ces trois chansons.

« The Journey Is Everything » est un live agréable, aucun de doute là-dessus. Mais on peut se demander si depuis « Stay Gold », Piet Godaert n’a pas changé de public. Les compositions sont plus pop et plus lisses. Ce qui rejaillit un peu sur les plus anciennes, en public. Tout en reste néanmoins un ‘must-have’ pour les fans du grand Belge. Mais il leur faudra certainement un petit temps d’adaptation pour pleinement apprécier la nouvelle expérience proposée par celui qui reste une des références musicales dans notre pays.

 

mardi, 02 décembre 2014 18:07

Azerty se lance dans le grand bain

Formé début 2012, le duo français Azerty va sortir son premier Ep le 19 janvier prochain. Intitulé « Jalhay », le premier essai concocté par Arnaud Clément et Pierre Leroy proposera six titres folks aux couleurs hivernales.

Une production qui devrait permettre au groupe d’encore franchir un palier, après avoir notamment accompagné Girls In Hawaii lors de leur tournée Franco-Suisse.

Les morceaux « I pray » et « Drunk Frans » sont en écoute via le lien ci-dessous.

https://azertymusic.bandcamp.com/album/jalhay

 

 

mardi, 02 décembre 2014 18:07

Un single et un clip pour Madé J.

L’artiste anglo-indonésien Madé J. a publié un premier single issu de son dernier album, « Beat & Broke Ain’t Broken », sorti le 28 novembre dernier. « My Lyin' Valentine » est un morceau de rock underground dans lequel les riffs partent un peu dans tous les sens. Le tout est à découvrir dans un clip très explicite.

https://www.youtube.com/watch?v=zm3yfKvAljc&feature

http://www.mottowsoundz.com/mj-artist-page/

 

mardi, 02 décembre 2014 16:56

Coldplay lance un clip interactif

Pour célébrer la sortie de « Ink », le quatrième single tiré de « Ghost Stories », Coldplay  lance ses fans dans une vraie aventure interactive.

Durant le clip de ce morceau, les internautes pourront influer sur les choix d’un jeune garçon en quête du grand amour. Plus de 300 histoires différentes peuvent ainsi être racontées, selon les décisions de chacun. Une manière originale de présenter au public une des titres phares du dernier album du groupe britannique.

http://www.coldplay.com/ink/

mercredi, 26 novembre 2014 19:03

Sadness Is The Rich Man’s Drug (Ep)

Mélancolique mais terriblement addictif...

Le duo new-yorkais The Ropes mérite vraiment qu’on manifeste davantage d’intérêt à son égard. Il approche la décennie d’existence et ne jouit pas encore la notoriété qu’il mérite. Parmi ses faits d’armes, on épinglera des premières parties pour Imagines Dragons ou Crocodiles. Tricky a même samplé son single « Does It ».

Fin octobre, les deux Américains publient un Ep de trois chansons intitulé « Sadness Is The Rich Man’s Drug ». A la lecture de ce titre, pas la peine de s’attendre à des morceaux très optimistes. Mais ce n’est pas ce qu’on espère de cette formation de dreampop. Car sa musique est froide, pas forcément très accessible mais terriblement addictive.

L’ouverture s’effectue sur le titre éponyme et plonge tout de suite le mélomane dans une ambiance atmosphérique. Le son y est très dense et la voix de Sharon Shy colle parfaitement aux émotions que souhaite communiquer le duo. Le chant androgyne rappelle immédiatement Victoria Legrand de Beach House. « Maiden Claiming » accélère le rythme grâce à une batterie plus régulière. Le refrain est plus puissant ; nous montons clairement dans les tours.

Cette impression est confirmée par « I Am The Last Getto ». La mélancolie est toujours bien présente mais elle prend une autre forme. Le son se rapproche plus de la new wave. Ce n’est pas surprenant, la formation cite souvent le mouvement français des années 50 comme inspiration. Néanmoins, la présence de ce chant froid est déroutante et vraiment magnifique. Un vrai plaisir pour l’oreille.

Vous l’avez compris, « Sadness Is The Rich Man’s Drug » est un gros coup de coeur. L’Ep est très (trop) court mais ne possède aucune faiblesse. Les trois pistes s’enchaînent et se complètent à merveille. Si vous êtes amateur de dreampop, vous passerez cet Ep en boucle très régulièrement. Le tout est disponible en téléchargement au prix que vous souhaitez (voir ci-dessous). L’occasion est trop belle, ne la laissez pas passer !

Lien de téléchargement ici

 

 

 

Pour fêter les 20 ans de leur album culte « The Holy Bible », Manic Street Preachers sort un coffret anniversaire exceptionnel le 5 décembre prochain.

Le contenu du box est impressionnant ; et pour cause, il recèle le vinyle remastérisé, quatre CDs (l’original, la nouvelle version, les B-sides et des versions live) et un livret de 40 pages !

La tracklist du la version remasterisée est la suivante : 

Yes
Ifwhiteamericatoldthetruthforonedayit'sworldwouldfallapart
Of Walking Abortion
She Is Suffering
Archives Of Pain
Revol
4st 7lb

Mausoleum
Faster
This Is Yesterday
Die In The Summertime
The Intense Humming Of Evil
P.C.P. 

http://theholybible20.manicstreetpreachers.com/

 

mardi, 18 novembre 2014 10:37

Une nouvelle vidéo pour Ariel Pink

« Picture Me gone » est le dernier single en date du nouvel album d’Ariel Pink, prévu pour la semaine du 17 novembre. Le clip, un peu dérangeant, met en scène une femme au visage dénué de toute expression. Pour vous faire idée personnelle, suivez le lien youtube ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=YS87mPfD_yI

Ariel Pink sera en concert le 1er mars 2015 au Grand-Mix de Tourcoing et au Vooruit de Gand le 14 mars.

Et pour écouter le nouvel album en sttreaming c’est ici

 

 

mardi, 18 novembre 2014 10:37

Une session pour Future Island…

Le groupe américain Future Island a enregistré cinq titres lors d’une session pour 4AD, le célèbre label indépendant britannique.

Les mélodies pop/dance du groupe de Baltimore sont parfaitement retransmises durant cet enregistrement. Si vous disposez d’une petite demi-heure devant vous, cette session devrait vous faire passer un bon moment. Voir ici

 

 

 

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