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Le Yam 421 ou le 5 000 pour Bright Eyes ?

Bright Eyes sortira son nouvel elpee, « Five Dice, All Threes », ce 20 septembre. Ce sera son 10ème. Lors des sessions, Conor Oberst, Mike Mogis et Nate Walcott ont reçu le concours de plusieurs invités dont Cat Power, Matt Berninger de The National et Alex…

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Stéphane Reignier

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mercredi, 16 novembre 2016 00:11

Dignes et dingues, dis donc !

Le nouvel album studio de l’immense Véronique Sanson intitulé Dignes, Dingues, Donc, …de Véronique Sanson est disponible depuis ce 04 novembre 2016

Après la sortie du live Les Années Américaines en juin 2016, le label Columbia est fier d’annoncer la sortie de ce nouveau format.

« Et je l’appelle encore » est le premier titre dévoilé de cet album riche et éclectique. Les chansons abordent différents sujets et notamment l’amour, thème de prédilection de Véronique Sanson.

Avec ce nouveau single « Et je l’appelle encore », l’artiste nous parle de sa mère disparue, de la force et du courage qu’elle a pu lui apporter tout au long de sa vie.

Un hommage poignant qui nous transporte et nous rappelle ses plus grandes chansons. Un piano-voix tout en émotion sublimé par des cordes subtilement arrangées…

 Extrait à écouter ici  !

Shake Shake Go s’était produit dans le cadre du festival de Ronquières, en août dernier ; un événement qui avait drainé pas moins de 36 000 spectateurs. Le line up réunit quatre garçons et une fille. La carrière de ce band ressemble à un conte de fées. C’est d’abord dans la rue qu’il a opéré ses balbutiements ! Après avoir accordé de petits concerts dans des pubs miteux, il est pourtant rapidement repéré...

La suite ? Une première partie de James Blunt assurée en 2014 dans le Royaume-Uni, puis en France (notamment celle de Rodrigo y Gabriela), un premier single publié en décembre 2014, un premier Ep (éponyme) en mars 2015 et un premier album, « All in time », début 2016.

Emmenée par la jolie Poppy Jones, cette nouvelle sensation venue d’outre-Manche se produisait donc près du célèbre ‘plan incliné’, dans le cadre d’un périple international ! Pas étonnant, lorsqu’on sait que plus de 7 millions de personnes ont écouté "England Skies". Malgré son jeune âge, le quintet jouit d’une popularité digne des plus grands ! Ronquières avait donc flairé le bon filon puisque c’était sa première date belge. Sans doute pas la dernière !

Votre serviteur, d’un pas audacieux, se dirige vers miss Jones afin de décrocher une interview. Pari gagné ! Certains membres sont francophones, certes, mais c’est la gonzesse du combo qui s’y colle. C’est à peine si elle parvient à baragouineur quelques mots de français. En conséquence, c’est dans la langue de Shakespeare que l’entretien se déroulera…

Le patronyme du groupe est le fruit de l’imagination d’un enfant de 6 ans. Et si c’était celui d’une personne du troisième âge ?

En fait, nous cherchions un nom sans avoir d’idées précises. Puis, un jour, lors d’une de nos prestations, un petit garçon, prénommé Archie, jouait avec un ‘shaker’ et s’est exclamé ‘shake shake’. Nous avons donc opté naturellement pour Shake Shake Go. Franchement, nous avions reçu de nombreuses suggestions. Je me souviens d’une proposition du genre ‘Space Cabbage’ (Trad. : Chou Spatial). Je suis satisfaite que nous n’ayons pas choisi celui-là ! Pour répondre à ta question, si le choix avait été posé par une personne âgée, nous aurions probablement chopé quelque chose de plus banal comme 'The Buskers' (Trad. : les Musiciens ambulants) ou un truc de bien plus mental, je n’en sais rien…

Le festival de Ronquières était la seule date belge de votre tournée. Vous vous attendiez à une telle réception ? Comment jugez-vous le public belge, par rapport aux autres ?  

Notre premier concert en Belgique était vraiment super ! Nous avons reçu, partout, un accueil chaleureux ! Il est toujours un peu effrayant de se produire quelque part, pour la première fois. Nous connaissons ce pays car nous y avons quelques amis. Les gens sont très sympas et disponibles ! Même, lorsqu’il y fait plus froid… sans doute que vos bonnes bières, consommées dans la bonne humeur ici, y sont pour quelque chose!

D’un duo né sur les bancs de l’université, toi et Marc avez décidé de former un quintet. Pourquoi opté pour cette configuration spécifique ?

Nous disposions de quelques chansons en réserve, mais cherchions encore notre identité musicale. Puis, nous en avons conclu qu’il était peut-être temps d’apporter du neuf. Tout s’est construit naturellement en fonction de l’expérience de chacun. Le travail d’écriture est toujours réalisé par nous deux, dans l’esprit originel du duo.

On décèle un certain feeling celtique dans la musique de SSG. Tu es Galloise et Marc, d’origine bretonne. Etait-ce une manière de revendiquer vos origines ?

Effectivement, nous partageons tous deux des origines celtiques. Nous n’avions aucun souhait manichéen de prime abord. Nous ne cherchions pas non plus spécifiquement à les refléter dans nos chansons. C’est le hasard le plus total. Elles se sont tout naturellement glissées dans nos compositions.

Vous avez commencé à jouer dans la rue et dans les pubs miteux. La notoriété est apparue rapidement suite aux premières parties réalisées pour James Blunt. Comment gérez-vous le succès qui est le vôtre aujourd’hui ?

Les choses ont bien évolué depuis nos premières prestations dans la rue ! Ces conditions, nous les avons vécues pendant un certain temps. Finalement, c’était amusant et elles ont constitué un excellent tremplin pour la suite. Mais je préfère me produire aujourd’hui dans des endroits comme celui-ci ! Après avoir accompagné James Blunt, nous avons signé chez le label ‘Beaucoup Music'. 'Auguri Productions’ s’est occupé de toute la logistique de la tournée. Nous avons aussi assuré la première partie de Rodrigo Y Gabriela et participé à des festivals grandioses ; ce qui nous a permis de nous imposer véritablement comme groupe.

La formation vit pleinement en ‘live’. Les compos et les arrangements permettent une ouverture pour ce type de configuration. Votre mode de création a-t-il été conçu en ce sens ? Pourriez-vous imaginer une formule plus électro-acoustique par exemple ?

Nous nous sommes vite rendus compte, lorsque nous jouions dans la chambre de Marc, que si nous voulions percer, nous devions écrire des textes épiques et forts. Jouer en ‘live’ constitue la cerise sur le gâteau ! Nous estimions important de concevoir les compos afin qu’elles prennent une dimension toute particulière, qu’elles soient interprétées en public ou écoutées simplement sur un support quelconque.

Et justement en concert, les compos sont-elles figées ou leur réservez-vous une place pour l’improvisation ?

Le set évolue de tournées en tournées ! Le ‘live’ permet de se rendre compte assez rapidement de ce qui fonctionne ou pas ! On adapte donc, selon ! Rien n’est figé !

Les thématiques abordées dans vos chansons sont finalement assez simples et sont toutes teintées de positivisme. Pourtant, elles servent parfois d’exutoire pour dénoncer les travers sociétaux ou les magouilles politiques. Véhiculer des lyrics engagés ne semble pas apparemment pas votre tasse de thé…

J’aime écrire des textes simples où les gens peuvent s’y retrouver, voire s’identifier. Je traite de sujets qui me sont proches, me touchent et sont faciles à comprendre. Ce qui me permet de vivre pleinement mes chansons. L’artiste peut se permettre de dénoncer certains faits sociétaux ou politiques, c’est vrai ! Comme être humain, j’ai mes propres opinions ! Cependant, je m’interroge toujours sur la manière la plus objective de les rendre publiques, tout en gardant un certain recul.

L'électro domine les charts aujourd’hui. Proposer du pop/folk doucement sucré n’est-il pas à contre-courant et plutôt risqué ?

Nous avons conscience des risques auxquels nous nous exposons. Toutefois, c’est notre culture musicale et nous ne comptons pas y déroger. Je pense qu’il y aura toujours un public pour ce genre de musique. Il s’y retrouvera d’une manière ou d’une autre. Elle est, selon ma propre définition, exempte de toute fioriture. 

Est-elle également une ode au voyage selon toi ?

Nos compositions ont mûri à travers nos voyages, autant en ce qui concerne le groupe comme entité qu’en fonction de nos diverses individualités.

Il paraît que vous habitiez tous dans des endroits différents géographiquement. Pas évident lorsqu’il s’agit de répéter…

Il est vrai que nous vivions dans des endroits géographiquement éloignés. Marc, en Normandie, Virgile à Lyon, Kilian et moi-même aux Pays de Galles et Toby à Birmingham. Pendant tout un temps, la situation était donc plutôt compliquée. Parvenir à faire coïncider nos agendas respectifs était la difficulté majeure. A titre anecdotique, il nous est même arrivé d’utiliser Skype. Aujourd’hui, nous vivons en France. C’était indispensable pour la survie du band ! Tout se passe pour le mieux ! Le fromage y est excellent en plus !

De qui vous sentez-vous proche artistiquement en Belgique ?

Pour être honnête, je ne connais pas beaucoup d’artistes belges. J’ai découvert récemment Puggy. Je n’en avais jamais entendu parler ! Mes comparses avaient déjà écouté certains de ses titres. J’apprécie son univers authentique. Perso, j’aimerais aller le voir en concert.

Vous travaillez actuellement sur la création d’un second opus. S’inscrira-t-il dans la lignée du premier ?

Absolument ! Nous n’allons pas changer de ligne de conduite. Nous comptons simplement la faire évoluer, l’améliorer ! Nous sortons de deux semaines passées en studio. Je pense que nous sommes sur la bonne voie ! Nous y avons injecté énormément d’énergie et j’espère tout simplement que ce second album sera accueilli favorablement tant par le public que par les critiques.

Sharko a mis un nouveau clip en ligne. Il s'agit d'une nouvelle version dite "electro" de la chanson "When I Was Your Age" (aka "La chanson Justin Bieber", où le chanteur David Bartholomé règle ses comptes avec le fait de vieillir dans un univers régi pour et par les jeunes).

 

Après la version album et la version acoustique, Sharko délivre donc une troisième version sans compromis, épurée, moderne, urbaine, noire mais non sans enthousiasme.

Le groupe semble prendre un malin plaisir à proposer de nouveaux arrangements !

Mise en image par Brice VDH qui après avoir filmé Pamela Anderson et Julien Doré s'est encanaillé avec plaisir à ses délires.

A découvrir ici !

lundi, 31 octobre 2016 02:00

Human Incognito

Celui dont la filiation avec Higelin et Tom Waits est proche, prouve une fois encore qu’on peut exister musicalement dans le plat pays depuis une bonne trentaine d’années et réinventer un art majeur.

En publiant « Human Incognito », Arno revient sur des fondamentaux ! Aucune fioriture, aucun excès. Exit claviers et autres synthés utilisés (maladroitement) dans le passé. Place ici aux instruments organiques.

Enregistré à Bruxelles par Catherine Marks, mixé à Bristol et produit par John Parish (PJ Harvey, Eels…), cet opus se veut résolument rock dans son ensemble ! Il est plutôt relevé ! On y décèle ci et là une pointe bluesy ou électro, à l’instar du percussif « Please Exist ».

Quelques jolies ballades viennent compléter ce joli tableau « Je veux vivre » ou encore « Sant ». Le spectre de Gainsbourg plane étrangement à l’écoute de « Dance like a goose ».

Le mélange des genres dépeint un tableau sobre, mais coloré ! Les compositions font la part belle au français et à l’anglais !

Ce « Vieux fils de pute », référence à la sublime plage titulaire, nous gratifie d’un jouissif des plus intéressants, sans jamais tomber dans la facilité ou la mièvrerie ! Ou comment marier utopie et poésie sur fond de second degré (‘Je veux vivre dans un monde où mon foie arrête de pleurer’). L'être humain l'inspire beaucoup et reste au centre de ses préoccupations.

La voix profonde et rocailleuse de l’Ostendais apporte une certaine rondeur à un son susceptible parfois de devenir crasseux, mais qui bénéficie d’une maîtrise exemplaire. L’accent flamand corrosif (et les postillons que l’on imagine nombreux) ponctuent toujours autant chacune des syllabes. Un peu sa marque de fabrique me direz-vous…

Sans doute un peu plus commercial dans son approche que certains de ses précédents (quoique !), cet LP reste quand même éloigné des stéréotypes radiophoniques de ce XXIème siècle, sans tomber pour autant dans une forme élitiste aveuglante !

Le gaillard reste fidèle à lui-même et à ses principes, tout en conservant une forme de liberté non conventionnelle, référence à « Une chanson absurde », où il nous gratifie de situations granguignolesques, mais tellement amusantes !

Rapidement addictive, la musicalité d’Arno, grave et attachante, traverse les âges et les frontières tout en conservant une ligne de conduite immuable depuis tant d’années. Une musique de qualité ! Humaine, fragile et à fleur de peau !

Une belle réussite !

 

samedi, 22 octobre 2016 16:09

Monsieur Toto décrit "Lucie" !

C'est avec une grande fierté que Paperheartmusic vous présente "Lucie", le clip du projet nivellois "Monsieur Toto", issu du nouvel album "Le coeur en joie".

 

"Lucie" est le titre de Monsieur Toto qui passe le plus en radio pour l'instant. C'est donc tout naturellement que le duo a décidé d'en tirer un clip.

Nous vous proposons de le découvrir ici-même en cliquant ici .

 

 

  

L’un des groupe pilier de la scène rock française revient avec la réédition de son dernier album « Vampire en Pyjama » enrichi de 10 titres inédits!

Disponible depuis le 14 octobre 2016, découvrez dans cette e-card le premier extrait, "Chanson d'été (remix)" en cliquant ici .

Le live de la tournée L’IN EXTREMIS TOUR, est disponible depuis le 14 octobre.
 

Après le succès de l’album IN EXTREMIS (certifié Disque de Platine en Belgique) et une tournée 2015-2016 qui s’est jouée à guichets fermés, découvrez les plus belles chansons de Francis Cabrel en live dans un album 2CD + DVD L’IN EXTREMIS TOUR.

INCLUS dans le combo 2CD+DVD, l'intégralité du concert enregistré et filmé à Forest National à Bruxelles les 4 & 5 mars 2016 et un documentaire exceptionnel de 40 minutes sur les coulisses de la tournée.

Découvrez le clip du premier extrait de la tournée "C'est écrit",  en cliquant ici .

samedi, 22 octobre 2016 15:14

Le bruit blanc de Louis Arlette ...

Louis Arlette sort son premier maxi emmené par le clip de "Jeux D'Or".

Mettant à profit son expérience acquise durant de longues années en studio et sur scène au contact de groupes cultes, et avec AIR en particulier, Louis Arlette exprime sur son premier EP son talent de mélodiste et de poète.

La pop de Louis est un mélange de deux mondes, celui d’un savoir-faire vintage : il s’accompagne d’un matériel d’époque, un authentique Rhodes de 1979, mais définitivement ancré aussi dans son époque par ces habillages électroniques qu’il envoie entre deux phrases.

Le clip peut être vu en cliquant ici .

samedi, 22 octobre 2016 14:30

Un nouvel album pour Tryo !

À l’été 2016, pour la première fois, Tryo est parti en tournée avant la sortie de l’album.

Celui-ci a été précédé par le dévoilement sur internet du clip de « Soufflez », avec une apparition de l’ami Renaud et de grands drapeaux multicolores, que l’on retrouve désormais sur scène, dans un message universel, organique et ouvert.

Aujourd'hui, le groupe emblématique nous offre « Chanter » - le premier single du nouvel album "Vent Debout" (sortie le 21/10/16).A écouter ici .

« Chanter » rappelle l’essentiel, d’ailleurs : « C’est là, c’est pas juste des chansons, c’est pour garder la foi / Pas perdre nos illusions / C’est comme ça, nous on en a besoin pour rester avec toi. Pour se sentir humain ». Cette chanson – et les douze autres – rappellent et condensent vingt ans de Tryo, mais s’inscrit aussi dans un moment particulier de notre histoire collective.

Quel album aurait-ce été si Tryo était resté au ras des émotions, des colères, des deuils et des cris accumulés depuis quelques saisons ? Ce n’est sans doute pas par hasard qu’instinctivement est revenu, sur l’essentiel de l’album, le reggae acoustique des débuts.

Retour aux sources aussi pour le son des voix, avec beaucoup de chant à l’unisson – mais l’unisson si particulier de Tryo.

Les quatre garçons ont calé les voix dès les maquettes, avant de concevoir les arrangements des chansons pour les séances d’enregistrement réalisées avec le fidèle Dominique Ledudal.

Et ceux-ci sont très légers : un tout petit peu de basse, une kalimba ou une flûte traversière qui passent fugitivement… Manu Eveno évoque « un retour aux sources de la musicalité de Tryo. »

Guizmo, Christophe Mali, Manu Eveno et Daniel Bravo ne se sont pas retrouvés avec un autre projet qu’aller à l’essentiel. Depuis la sortie de l’album Ladilafé, en 2012, le groupe avait enchaîné les tournées et les chantiers : deux ans de concerts en formule élargie puis une tournée en Allemagne, nouveau territoire à explorer dans la formule originelle du groupe, à quatre sur scène, ce qui avait donné l’envie de se passer de musiciens additionnels pour arpenter les festivals puis les scènes nationales, avant l’enregistrement de l’album de reprises "Né quelque part".

Belles aventures avant de longues vacances. « Quand on se quitte, on ne se donne pas de rendez-vous. C’est peut-être le secret pour rester vingt ans ensemble », note Christophe Mali.

 

 

 

Il n’y a donc pas d’échéance quand le groupe se retrouve en novembre 2015, après des projets personnels, du repos et de l’écriture, chacun dans son coin. Dès le départ, une évidence : il y aura un nouvel album parce que Tryo a une féroce envie de tourner à quatre. Mais il y a une exigence neuve : que personne n’ait le moindre doute sur aucune chanson.

samedi, 22 octobre 2016 14:12

Les Pirouettes sont carrément ...

Le premier album 'Carrément Carrément' des Pirouettes sortira le 16 septembre.

Précédé de nombreux singles parus au cours ces derniers mois comme "Je Nous Vois", "Soleil rare", 2016 (en ce temps-là), "Dans Le Vent d'été", et le dernier en date "L'Escalier", l'album Carrément Carrément est très attendu par la communauté de fans toujours grandissante autour du duo qui annonce un nouveau concert à la Maroquinerie le 05 janvier 2017 pour ceux qui n'auront pas la chance de les voir à la Release Party du 05 octobre d'ores et déjà complète.

En quatre ans à peine, The Pirouettes est devenu l’un des groupes incontournables de la french pop. Dans une scène hexagonale en perpétuelle effervescence, Leo Bear Creek (également batteur de Coming Soon) et sa dulcinée Vickie Chérie (dessinatrice et signataire des pochettes du duo) sont les Elli & Jacno d'aujourd'hui.

Perpétuant une longue tradition synthpop, le couple juvénile, couvé par Étienne Daho et immortalisé par Hedi Slimane, nous offre pour son nouveau tube "L'Escalier" un clip à la chorégraphie très craquante. A voir ici .