François Staal revient sur l’île de Bréhat…

François Staal retourne aux sources de son enfance à travers son nouveau clip consacré à « Bréhat (Enez Vriad) », extrait de son dernier album « L'Humaine Beauté ». Il part en tournée de 17 concerts en Bretagne, dont 15 seront accordés sur l’Ile de Bréhat, du…

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Découvertes

The Flow

One thing

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Fruit d'un mélange de funk, d'acid et de jazz, la musique de Flow nous replonge dans les années 70. Les musiciens sont des virtuoses. Hormis le sax, Ben Constable, le fondateur, joue pratiquement de tous les instruments. Il ne se charge pas non plus des parties vocales. Franchement, ce groupe mériterait de figurer à l'affiche des festivals d'été...

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No Hay Banda

Sunday Everyday!!!!

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Gros coup de cœur pour ce groupe bordelais responsable de cette démo trois titres. No Hay Banda pratique une musique pop/rock très anglo-saxonne, rythmée et gorgée de réminiscences sixties. Mais la formation ne se contente pas de puiser dans le passé de l’Albion, injectant de multiples bruitages de type vaudou dans sa solution sonore. Histoire de nous entraîner au sein d’un univers féérico-psychédélique qui n´est pas sans nous rappeler un certain Dionysos. Bref, ce groupe complètement barré parvient en un minimum de temps à libérer une énorme bouffée de créativité. Tout en nous donnant l’envie de danser. Et là-dessus, je vais appuyer une nouvelle fois sur la touche ‘play’…



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Kéréon

Mi ombre - mi lumière

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Né il y a trois ans, Kéréon a forgé sa réputation sur les planches : plus de quatre-vingt scènes à ce jour. Excusez du peu ! « Mi ombre - mi lumière » constitue donc son premier elpee. Un disque découpé en 10 fragments. Son crédo ? Un pop/rock bourré de punch. A cause des guitares électriques puissantes, des drums hyper speedés et du chant énergique. Malheureusement, les mélodies évoluent trop souvent dans un registre très (trop) proche de Kyo. Le morceau maître semble même avoir été calqué sur « Je cours », tube du groupe préféré des ados. L´opus recèle cependant quelques ballades (« Je dis non », « Gravé dans ma mémoire » et « Je m´demande encore »), un exercice de style au cours duquel le timbre vocal du chanteur ressemble étrangement à celui de Jean-Jacques Goldman. Et si au fil de l’écoute d’autres influences transparaissent (NDR : notamment celles de Nek et de Calogero), il faut reconnaître que « Mi ombre - mi lumière » souffre de deux problèmes majeurs. Tout d’abord, l´impression de déjà entendu. Ensuite, la bonne compréhension des textes. En cause : l’articulation insuffisante du chanteur. A travailler, c’est une certitude. Tout comme leur style. Que ces six jeunes Alsaciens ont intérêt à se forger. Le plus personnel possible. C’est ce prix que Kéréon devra payer pour sortir de l’anonymat…



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Fastonic

Démo

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Formé en 2004, Fastonic est un groupe originaire de la région de Liège. Un quintet responsable d’un pop/rock aux guitares cinglantes, inspiré, entre autres, par Placebo, The Cure, The Pixies et Grandaddy. A l´écoute de leur deuxième démo, ces influences sont indéniables. « Senseless things » et « Too far from stars », les deux premiers titres de ce cd, pourraient même faire partie du répertoire du groupe de Brian Molko, bien que le timbre du chanteur de Fastonic (Jeff) soit moins distinct. Quant au dernier morceau, intitulé « Floods of wine », il est le moins réussi. Sa mélodie n´est pas d´une grande originalité et la voix revêt un aspect criard qui n´est pas des plus agréables. Néanmoins, dans l´ensemble, la musique proposée sur cette démo est d´assez bonne facture. Attendons de les voir sur scène et d´entendre davantage de titres pour pouvoir se faire une idée un peu plus précise de leur potentiel…



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Sofy Major

Ep

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Où l’on apprend que derrière les cris il y a un message. Sofy Major dévoile son premier EP qui se veut porte-drapeau. Armé de bonne volonté, d’autogestion (DIY) et d’esprit punk, le groupe pourfend de ses riffs, nos sacro-saintes valeurs capitalistes (shame on us !). Bon ben c’est bien beau tout ça, très humaniste, mais pas très neuf. Presque tous les groupes de hard-core noisy ont la même démarche sociale. Cette motivation à revendiquer justice, liberté, équité. Malheureusement les paroles hurlées à pleins poumons rendent incompréhensible cette bonne volonté et les saturations lancinantes fatigueront vite les profanes du genre. La déduction évidente de tout ce tralala est que : soit vous êtes des habitués de ce genre de message et de musique, et si vous n’avez toujours pas changé d’esprit, c’est peine perdue ; soit vous n’êtes pas habitués et je vous souhaite bonne chance pour le branlage intellectuel qui vous attend. Il ne faut pas nier, malgré tout, une bonne composition de la part du groupe, tout à fait honnêtement, ils peuvent se mesurer aux autres artistes humanistes, qui sévissent eux aussi sur la scène hard-core, sans aucune gêne. Petit clin d’œil : même si le groupe considère que ‘les médias alimentent la misère’, c’est quand même bien sympa une petite chronique. Non ?

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Siamese

Plastic Landscape Ep

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Ce nouvel EP de Siamese est découpé en cinq fragments. Cinq chansons de bonne facture. Tout est dit? Non ! C’est cependant un bon résumé de l'impression laissée par “Plastic Landscape”, à l’issue de sa première écoute. Fruit d’un mélange harmonieux de pop, de rock et de new wave, l'atmosphère de « Plastic Landscape » vous enveloppe et peut vous paraître familière. Les tons mélancoliques mais chaleureux de l’expression sonore véhiculent des accents profonds (la voix de Sébastien y est pour beaucoup). Elle est travaillée, cela se sent. Le quatuor formé par Sébastien (chant et guitares), François-Xavier (guitares et claviers), Xavier (basse) et Benoît (batterie) est allé puiser son inspiration dans une exploration introspective ne laissant pas de place à l'extravagance. Et on ressent cette impression d'austérité tout au long du disque. Bref, si les morceaux sont musicalement aboutis, ils ne surprennent guère. On en gardera donc une impression de professionnalisme... et de déjà entendu.

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Mr-Spartako

Démo

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Le hip hop bruxellois se porte bien et Mr-Spartako en est une preuve supplémentaire. C’est la raison pour laquelle on prend la peine de parler de cette démo confectionnée l’an dernier. Six titres qui ont permis à la formation de se produire au festival de Dour mais aussi dans plusieurs endroits alternatifs de la capitale comme le Magasin 4. On tutoie ici un abstract hip hop qui rappelle les défunts Antipop Consortium. A l’instar de ses collègues new-yorkais, Mr-Spartako dévoile son penchant pour les sonorités électro accidentées (« Gravier ») et le jazz mélancolique (le superbe instrumental « Lupus Dei »). L’inventivité musicale sert parfaitement des paroles enfumées qui baignent dans un spleen urbain. Mais les gaillards ne crachent pas sur quelques touches salvatrices d’humour, ce qui est toujours bon signe. Chaudement conseillé!

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Hold The Line

Hold The Line (ep)

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Ce trio parisien ne s’est pas trop foulé pour concocter cet Ep. Son ‘powerful rock’ est même affligeant. Parce que brouillon et dénué d’harmonie. Il y règne parfois une telle cacophonie, qu’on n’a parfois l’impression de ne plus distinguer les instruments. C’est peut-être le but ? Et lorsqu’on arrive à enfin les discerner, une voix détonante vient gâcher le peu de lumière qu’on avait cru entrevoir…

Se farcir cet Ep, c’est comme être forcé d’assister à une épreuve de « Star Academy » ; et même se voir imposer une attention toute particulière à accorder aux prestations pathétiques de ces jeunes benêts d’académiciens. Pourtant, la formation reconnaît pour influences majeures, Fu Manchu et Broken Social Scene. Des références qui auraient dû déboucher sur un résultat plus que valable. On est loin du compte. En outre, non seulement leur solution sonore est rébarbative ; mais elle est un tantinet prétentieuse. Je n’ose même pas imaginer la suite !

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Kill My Doll

Under Bloody Skies (Ep)

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Mine de rien, le groupe belge Kill My Doll fêtera en juillet prochain son quatrième anniversaire et profitera peut-être de l’occasion pour enfanter un premier véritable album ! En attendant l’heureux évènement, les amateurs de métal mâtiné de hardcore et de thrash peuvent savourer un EP cinq titres. « Under Bloody Skies » consacre en quelque sorte un parcours qui témoigne de l’engouement des cinq métalleux aux cheveux courts !

On retiendra bien évidemment la qualification de KMD pour les ½ finales du Concours Circuit en 2005, la participation à la finale lors de l’édition 2007 ; mais aussi les premières parties assurées pour des combos aussi incisifs que Aborted, Do or Die, Dagoba, Aqme ou encore, plus récemment de Black Bomb A et de L’Esprit du Clan. Le combo évolue dans la mouvance engendrée par Machine Head, Pantera et Fear Factory et s’il n’a pas inventé le fil à couper le beurre, il démontre qu’il ne manque pas de technique. Certains titres présentent parfois quelques plans accrocheurs, mais l’inspiration tend un peu à s’assécher en fin de parcours. Compréhensible, lorsqu’on n’en est qu’à son premier véritable essai…

 

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Khemeïa

Melhadenso

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Cette première livraison du combo inclassable Khemeïa apparaît comme un des albums de metal français les plus originaux depuis le dernier S.U.P. S’il évolue incontestablement dans la mouvance du metal contemporain et du post rock, le combo peut s’enorgueillir d’avoir hérité de l’esprit d’un certain Magma et de son mentor Christian Vander. D’une part en adoptant un mode d’expression hérité du Kobaïen, un langage créé pour les œuvres et par les membres de Magma. D’autre part, en mêlant à son rock métallique des éléments de jazz, mais aussi de world music voire carrément de musique ethnique. Ainsi, on ne pourra pas écouter le très aérien « Sruti » sans avoir une pensée pour Dead Can Dance. C’est en utilisant sa voix comme un instrument à part entière que Jérémie Nechstein conçoit sa musique. Empruntant des sonorités issues de la tradition de l’Inde ou du chant diaphonique de Mongolie, l’artiste donne une très large palette de couleurs à ce merveilleux tableau musical. Une brillante alchimie sonore au sein de laquelle résonne des percussions que ne dédaigneraient pas les frères Cavalera de Sepultura. L’ombre de Tool plane également sur les huit titres d’un premier opus qui ne se laissera réellement apprivoiser qu’après trois ou quatre écoutes attentives. Une marque ‘toolienne’ profondément marquée sur les excellents « Saynar Ykiah » et autre «  Wradek ». Plus que recommandable ! Nous vous conseillons vivement de visiter le Myspace de ce combo absolument atypique.

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