A la vision de la pochette de son deuxième mini album, on se demande ce qui a bien pu passer par la tête d’Eric Maïolino pour qu’il adopte la pose du gamin photographié sur « Boy » de U2… On pensait que Nancy Marano (voir archives) avait gagné le prix de la plus hideuse pochette de l’année, mais il vient d’être largement détrôné par ce professeur de mathématique, musicien à ses heures. Maïolino semble, en effet, être très influencé par les gros vendeurs de variété française, comme Obispo et Goldman. Il ne faut donc pas s’attendre à être surpris par ces 7 chansons qui oscillent entre ballades compassées et funk propre sur soi. « Des clichés » chante-t-il d’ailleurs à la fin de la plaque. Oui mon vieux, des clichés, beaucoup trop !