Recorders vogue d’un océan à l’autre…

6 ans après avoir gravé son dernier opus, « Coast to Coast », Gordon Delacroix et ses Recorders sont de retour plus en forme que jamais. Après une pause en solo via le projet OKAMY, le chanteur et compositeur bruxellois a pris le temps de composer une dizaine…

Et de 9 pour Tinariwen…

Le nouvel elpee de Tinariwen paraîtra ce 19 mai 2023. Intitulé « Amatssou », il s‘agira…

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Dan San installé confortablement

Sept ans après "Shelter", Dan San signe son grand retour en publiant "Grand Salon" qui sortira le 28 avril prochain ! Grâce au premier single « Hard Days Are Gone » (le clip est disponible ici) , les grands représentants de la scène indie belge réussissent de…

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Bernard Dagnies

Bernard Dagnies

dim. 16/04 |
Mourning [A] BLKstar

dim. 23/04 | EN VENTE DÈS 16/02
DMA'S

jeu. 27/04 |
Fake Label Night
Feat. Simon, GIJS, Uberdope, Alois & VLB

ven. 05/05 |
Hendrik Lasure + Ameel Brecht

jeu. 25/05 |
Nile On waX ft. Catherine Graindorge

dim. 04/06 |
Arsenal - Extra Concert

sam. 10/06 | EN VENTE DÈS 17/02
Triggerfinger

jeu. 07/09 | EN VENTE DÈS 16/02
Squid

http://www.abconcerts.be

 

Biga*Ranx (FRA.), Blaiz Fayah (FRA.), Stand High Patrol (FRA.), Zola (FRA.), DI-MEH (CHE.), Khali (FRA.), M Huncho (GBR.), Prince Waly (FRA.) et Tetra Hydro K (FRA.) sont venus s’ajouter à la programmation.

http://www.doufestival.eu

 

Couleur café 2023 : de nouveaux noms (update 15/02/2023)

Ayra Starr, Naza, Kanka, TAYC, Joe Yorke & Eeyun Purkins, King Shiloh, Joey Bada$$ et Atili sont venus s‘ajouter à la programmation.

Pour rappel l’édition 2023 du festival Couleur Café se déroulera du 23 au 25 juin.

http://www.couleurcafe.be

S10, Selah Sue et Ellie Goulding sont venus s’ajouter à la programmation. L’affiche est donc complète.

https://www.werchterboutique.be/fr/

Bien que fondé en 2012, Crows n’a publié son deuxième opus, « Beware believers » (NDR : pour lire ou relire la chronique, c’est ici

) qu’en août de l’an dernier. Un album qui faisait suite à « Silver tongues », paru en 2019. Le quatuor londonien s’inscrit dans la nouvelle mouvance du rock britannique, à l’instar de The Murder Capital, IDLES, Fontaines DC, Shame et TV Priest. En outre, il jouit d’une solide réputation ‘live’, en Grande-Bretagne. Il se produisait au club de l’Aéronef, ce samedi 11 févier. Plus ou moins 250 personnes pour accueillir le band ! La salle est donc bien remplie.

C’est la formation australienne Clamm qui assure le supporting act. Ce trio power punk avait accordé un set particulièrement brillant lors de son passage au festival Leffingeleuren, en 2022. En outre, sur disque, quoique sauvage, (deux albums à son actif, « Beseech me » en 2021 et « Care » en 2002), sa musique tient la route. Depuis, la formation a subi quelques modifications de line up. La bassiste, Maisie Everett, a cédé le relais à Stella Rennex, pour se concentrer pleinement sur son groupe, Belair Lip Bombs. Mais cette dernière ne participe pas à la tournée européenne. Elle est remplacée par un autre musicien. Enfin, le drummer, Miles Harding, n’a pas fait le déplacement, non plus. C’est Alan Jones, le bassiste de la première heure, qui siège derrière les fûts.

Tout un remue-ménage qui explique, sans aucun doute, le manque de cohésion de l’ensemble. Les titres sont courts et écrasants. Finalement, seul Jack Summers, le chanteur/guitariste tente de tracer le fil rouge d’une expression sonore monocorde, assourdissante et dont les mélodies devaient certainement se cacher sous un mur de bruit. 45’ de set, c’était même beaucoup trop long pour nos pauvres portugaises…

Pour les photos, c’est

Place ensuite à Crows. Un quatuor réunissant le batteur Sam Lister, le guitariste (NDR : barbu et une veste en jeans sur le dos), Steve Gossard, le bassiste Jith Amarasinghe (NDR : il a un petit air à la Jamel Debbouze) et le chanteur James Cox. Qui se sert de deux microphones : un ordinaire et un astatique. Tantôt séparément, tantôt ensemble. Et quand il tient leurs supports en main, on a l’impression qu’il se prépare à s’élancer sur une piste de ski…

Le concert s’ouvre par « Silver tongues », le titre maître du premier long playing. Lancinante, imprimée sur un tempo tribal dans l’esprit des Cramps, cette compo est abrasée par le delay et le fuzz dispensés par la gratte de Steve. James Cox descend dans le public pendant le plus punk « Garden of England », un morceau au cours duquel, sa voix est particulièrement réverbérée. Manifestement, son charisme a de quoi impressionner. Régulièrement, il balbutie quelques mots en français, du style ‘Ça va ?’. Dès « Wednesday’s child », martelé d’une frappe sèche par Sam, le public commence à déménager au sein des premiers rangs. La ligne de basse devient caoutchouteuse tout au long de l’hypnotique « Slowly separate », et le spectre de la bande à feu Lux Interior se remet à planer. « Only time » emprunte le rythme d’un convoi ferroviaire lancé à toute allure. « Closer still » s’avère plus lourd et puissant. Le guitariste ôte sa veste avant que le band n’attaque le fiévreux « Healing ». Puis, Crows nous réserve une toute nouvelle compo, qui évolue sur un mid tempo. « The Itch » alterne passages plus calmes et périodes explosives. C’est alors que Cox emprunte certaines intonations à Mark Burgess (The Chameleons). Et pour le spectateur, difficile de se détourner les yeux de ce showman.

Point d’orgue du set, le syncopé « Room 156 » est carrément hanté par le « What we all want » de Gang of Four, un morceau que pilote le drumming martial et percutant de Sam. La foule devant le podium est de plus en plus houleuse. Et un intrépide se lance dans le crowdsurfing. Un tempo similaire contamine le tout aussi fameux « Hang me high », un titre que le gratteur charge de fuzz. La ligne de basse rebondissante conduit l’hymnique et parfois psychédélique, « SNAX ». D’abord rock’n’roll, « Chain of being » adopte progressivement un rythme infernal soutenu par les accords de basse indus et traversé d’éclats de sixcordes spatiaux.

Le rappel, « Pray », sera attaqué dans la foulée. Ce single décapant date de 2015 ; et particulièrement sauvage, il ressuscite les Stooges cuvée 1970 (« Fun house » et tout particulièrement son « Down in the street »).

Entre post punk, funk blanc, psychédélisme et garage, Crows a accordé, ce soir, un superbe concert !

Pour les photos, c’est ici

(Organisation : Aéronef)

Photos Ludovic Vandenweghe

 

samedi, 11 février 2023 15:57

Peter Gabriel lunaire…

La deuxième pleine lune de 2023 s'est déroulée en ce début de semaine, l'occasion donc pour Peter Gabriel de publier un nouvel extrait de son futur album "i/o", intitulé "The Court (Dark-Side Mix)". Pour ce titre, Peter a été inspiré par le travail de NAMATI, dont la mission est de fournir aux gens du monde entier un accès à la justice qu'ils ne peuvent pas se permettre. ‘J'ai eu l'idée du refrain 'the court will rise', qui est devenu une forme libre, un texte impressionniste lié à la justice, mais il y a un sentiment d'urgence. Une grande partie de la vie est une lutte entre l'ordre et le chaos et, d'une certaine manière, la justice ou le système juridique est quelque chose que nous imposons pour essayer d'apporter un élément d'ordre au chaos. On en abuse souvent, c'est souvent injuste et discriminatoire, mais en même temps, c'est probablement un élément essentiel d'une société civilisée’. Le titre est accompagné d'une image de couverture représentant l'œuvre ‘The Burning of Lifting the Curse, 2022’ de l'artiste et sculpteur Tim Shaw.

"The Court (Dark-Side Mix)" est en écoute ici

 

 

samedi, 11 février 2023 15:53

La miséricorde d’Immaterial Possession…

Immaterial Possession a été créé par Cooper Holmes et Madeline Polites. Originaires d'Atlanta, ils partagent une histoire commune avec la scène musicale, théâtrale et artistique underground DIY d'Atlanta. Le duo s'est installé à Athens et a rapidement élargi son line up en engageant le batteur chevronné John Spiegel, puis Jeremy Kiran Fernandes, clarinettiste, claviériste et flûtiste qui a notamment milité au sein d’Olivia Tremor Control.

« Mercy Of The Crane Folk » constitue le deuxième elpee d’Immaterial Possession. Il sortira ce 5 mai 2023.

Il s'agit d'un voyage obsédant et immersif dans la psyché intérieure de ces devins nomades ; une soirée dansante sous acide dans un monde souterrain à demi-éclairé ; un séjour salubre qui ne ressemble à rien d'autre. Empreint de douceur et de sérénité, « Mercy Of The Crane Folk » évoque un lieu folklorique fantaisiste où, sans aucun doute, le mystérieux Crane Folk prospère.

Issu de ce futur album, « To the fete » est disponible sous forme de clip

 

 

samedi, 11 février 2023 15:52

Nicholas Allbrook mise sur le 25…

Nicholas Allbrook, le chanteur du groupe australien POND, publiera son quatrième album solo, « Manganese », ce 9 juin 2023.

Depuis le début de sa carrière artistique en 2005, il a mis la communauté et la collaboration au premier plan de sa méthode artistique.

Que ce soit dans le lyrisme poignant de ses projets musicaux en solo (Ganough, Wallis ou Fatuna/Wabi-Sabi) ou dans le style de production du dernier elpee de son groupe POND, « 9 », l’auteur-compositeur et multi-instrumentiste manifeste une profonde compréhension de l'expérience humaine et de l'importance de l'art dans la société moderne.

« Manganese » nous entraînera au sein d’un paysage de merveilles psyché-pop. Cet elpee reflète les aspirations d'un musicien qui a une symphonie dans sa poche arrière, l'histoire du rock d'Oz dans son rétroviseur et l'Australie moderne en ligne de mire.

Issu de cet LP, « Jacke » est disponible sous forme de clip,

 

 

S’inscrivant dans une longue lignée d’auteurs de chansons classiques, de Scott Walker à Lee Hazlewood, Morrissey ou Pete Doherty, Caesar Spencer publiera son premier album, « Get Out Into Yourself », le 28 avril 2023.

Sur cet opus, il a décidé de rendre un hommage à la pop française. On retrouve sur le disque des invités de choix comme Jacqueline Taïeb, Jo Wedin, Jean Felzine, Gilles Tandy et Mareva Galanter.

Caesar Spencer a tout simplement décidé d'enregistrer l'album de pop de ses rêves. ‘Je voulais démontrer qu’en France, il y a une sophistication dans la créativité musicale qui n’existe nulle part ailleurs. Je prends mon univers anglo-saxon et je le déplace dans un contexte français avec tous les personnages qui vont avec. C’est à la fois étrange, et fascinant.’

Après avoir sorti un premier clip avec Jacqueline Taïeb (« Waiting for Sorrow », disponible ici, un second avec Jean Felzine et Jo Wedin (« Isn’t What Jimi said », à voir et écouter ); et il nous propose son troisième « When I Whisper In Your Ear », hommage à Serge Gainsbourg, mais également clin d’œil à l’univers musico-cinématographique d’Ennio Morricone et John Barry, qu’il interprète en compagnie de Mareva Galanter. Il est à découvrir ici

 

samedi, 11 février 2023 15:47

Les nuages tombent sur Maple Paper…

Fondé en 2022, Maple Paper est un groupe basé à Bruxelles qui puise ses influences dans le rock, le psychédélisme et la prog tout en ne négligeant pas les ambiances chill. L'improvisation est une part importante de son expérience immersive.

Ancien gagnant du concours ‘Tremplin’, sous le patronyme SPKT, le trio sortira son premier elpee, « Clouds are falling », ce 25 février 2023.

Son premier clip consacré à « Why Do People Feel Lonely ? » est toujours disponible ici. A première écoute, cette compo semble naviguer quelque part entre Pink Floyd et Mazzy Star…

La release party se déroulera ce 24 février, Villa Montald à Woluwe-Saint-Lambert (plus d’infos )

 

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