La rébellion de Jewly…

Auteure-compositrice engagée, Jewly est investie d’une mission : celle qui la pousse à écrire pour ouvrir les consciences et les libérer grâce à des vibrations rock salvatrices pour les uns ou salutaires pour les autres. « Rébellion » est un concept album…

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Lorsque Komodor rencontre Moundrag…

Komodrag & The Mounodor est le fruit de la rencontre entre les formations bretonnes, Komodor et Moundrag. Le premier contact s’est produit lors d’un set de Komodor. Les deux membres de Moundrag décident de rejoindre le groupe sur scène, à la fin de leur live,…

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Redouane Sbaï

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mardi, 26 février 2008 16:23

Le retour de Filter

Filter, formation métal menée par Richard Patrick, fait son grand retour, six ans après le très moyen « The Amalgamut ». Le nouveau single, « Soldiers Of Misfortune », est dès à présent écoutable sur le MySpace du groupe. L’album, « Anthem For The Dead » est prévu dans les bacs pour mai.

 

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/filter1

mardi, 26 février 2008 16:23

Scarlett ne veut pas grandir

Le premier album de Scarlett Johansson s’intitulera « I Don’t Want To Grow Up ». Il devrait être dans les bacs le 20 mai et bénéficiera de la collaboration vocale de David Bowie sur deux titres.

Tracklist :

Fawn
Town With No Cheer
Falling Down
Anywhere I Lay My Head
Fannin' Street
Song for Jo
Green Grass
I Wish I Was in New Orleans
I Don't Want to Grow Up
No One Knows I'm Gone
Who Are You?

mardi, 26 février 2008 16:23

Zu Patton Annule

La première européenne de Zu Patton, née de la collaboration entre Mike Patton et le Zu Quartet et qui devait avoir lieu au VK ce 5 mars, est tout simplement annulée.

mardi, 26 février 2008 16:23

Bye Bye Unkle & Dead 60s

C’en est fini pour Unkle et The Dead 60s. Suite au flop relatif de leurs dernières plaques respectives, les deux formations ont décidé de mettre un terme à leur courte carrière. Unkle avait publié son 3e ouvrage, « War Stories » en juillet dernier et le mois suivant paraissait « Time To Take Sides », deuxième essai de The Dead 60s.

mardi, 12 février 2008 01:00

The Very Best Of

« The Very Best Of » de Diana Krall retrace une carrière longue de 15 ans et des poussières en 15 morceaux. Bien que la chanteuse et pianiste jazz originaire de Colombie britannique fasse un carton aux States, elle ne rencontre qu’un succès très relatif en Europe. Un désintérêt qui s’explique peut-être par le fait que la jeune femme, à l’instar de bien d’autres artistes jazz commercial, se contente de picorer dans l’assiette des autres au lieu de prendre l’initiative de concocter un plat original. Théorie prouvée par Norah Jones et autres Katie Melua, qui aujourd’hui récoltent tranquillement le fruit d’un vrai labeur.

Ce best of recèle donc 15 classiques du genre, réinterprétés avec cœur par la donzelle. La collection compte « The Look Of Love », « I’ve Got You Under My Skin », « ‘S Wonderful », « Fly me To the Moon » et autres titres inoubliables dont les interprétations originales se suffisent largement à elles-mêmes. Bien que l’ensemble soit très pro, hyper bien produit et joliment interprété, « The Very Best Of Diana Krall » n’en reste pas moins un disque de jazz de salon qui s’écoute d’une oreille inattentive. Dispensable…

mardi, 05 février 2008 19:49

Yesterday Is No Tomorrow

Subtilement intitulé « Yes », le premier ouvrage des Danois de Oh No Ono est du genre difficile à cerner. Vacillant constamment du trop bon à l’insupportable, ce quintet est de ceux que l’on n’arrive ni à détester ni à réellement apprécier.

S’ouvrant sur « The Strawberry Festival », une courte et séduisante intro au piano, « Yes » change entièrement la donne dès les premières notes de « The Shock Of The Real ». Un second morceau au son très 80’s et plus que probablement influencé, comme le reste de la plaque, par Devo, Talking Heads ou XTC. Des influences qui seraient somme toute respectables si la voix haut perchée d’Aske Zidore n’évoquait pas irrémédiablement la pop bubble-gum de Mika.

De par son manque de cohérence et substance, « Yes » est l’un de ces disques anecdotiques recelant quelques petits tubes instantanés taillés pour les ondes FM (« Victim Of The Modern Age », « Practical Money Skills For Life », « Ba Ba Baba Ba Ba Well Anyway »…) et engendrés par une bande de copains dont seul l’entourage suivra la (courte?) carrière à la loupe…

mardi, 29 janvier 2008 01:00

Ultra Payloaded

Satellite Party, le nouveau projet de Perry Farrell est de ceux dont on se passerait sans trop en souffrir. Entouré de nombreuses guests tels que Peter Hook, Flea, John Frusciante ou encore Fergie (?!) et Nuno Bettencourt ex-Extreme (?!?!), le Satellite Party de Farrell distille une pop banale destinées essentiellement aux radios universitaires, comme en témoignent les ultra-chiants « Kinky », « Insanity Rains », ou encore « Only Love, Let’s Celebrate ». Ce morceau retrace par ailleurs les pires instants du classique de Rare Earth, « I Just Want To Celebrate », et illustrerait d’ailleurs à merveille l’une de ces ‘frat parties’ animée par des jeunes cons complètement bourrés et autres donzelles, nichons à l’air en signe de rébellion.

L’ex Porno For Pyros et Jane’s Addiction s’amuse également à réveiller les morts, empruntant d’abord la plume de Jim Morrison sur le titre « Ultra-Payloaded Satellite Party », reprise partielle du « Touch Me » des Doors, avant de sampler ensuite sa voix sur l’atroce « Woman On The Window ». Absurde et abscons, ce premier essai anecdotique de Satellite Party n’a de cohérence que sa pochette, aussi affreuse que le contenu. Un essai digne d’un fond de placard poussiéreux. Farrell ne serait-il plus aujourd’hui qu’un pseudo-visionnaire ?

MSN: http://sib1.od2.com/common/product/ProductList.aspx?shop=40&associd=4&rmsartistid=319029

I-tunes: http://phobos.apple.com/WebObjects/MZStore.woa/wa/viewAlbum?id=264727699&s=143446

vendredi, 01 février 2008 13:24

Non, ce concert n’est pas pour le vieil homme

A l’occasion de la sortie de leur cinquième recueil, « Chase This Light », Jimmy Eat World effectuait ce 28 janvier un passage-éclair à l’Ancienne Belgique. En plus ou moins 1h15, les précurseurs de l’émo à la sauce pop ont exposé à leur public belge un set en dents de scie, à l’image de leur dernier ouvrage.

Légèrement à la bourre, nous n’avons pu savourer que quelques minutes de la prestation de Sparkadia, formation indie-pop originaire d’Australie. Ceux-ci remplaçaient au pied levé Saves The Day, groupe pop sans grand intérêt dont la décision de ne pas se produire sur la scène de l’AB aura ravi nos oreilles. Ces dernières ont donc pu se délecter des mélodies sympathiques de Sparkadia, notamment un joli « Northen Light » final.

Petite pause, le temps de constater que Jimmy Eat World est parvenu à renouveler son public. Il réunit désormais majoritairement de jeunes ados, probablement accros à l’émo-pop indigeste à la Plain White T’s et autres Fall Out Boy. Il n’aura d’ailleurs fallu que quelques notes de « Big Casino », en ouverture du set, pour ravir tous ceux qui s’étaient promis, ce soir-là, de s’essayer au crowd-surfing pour la première fois de leur vie.

Les Arizoniens ont beau avoir renouveler leurs aficionados, on ne peut malheureusement pas en dire autant de leur son. En effet, ce soir, on ne trouvera satisfaction que dans les vieux morceaux tels que les survoltés « Gets It Faster », « Pain » ou « Desintegration ». S’adressant principalement à son nouvel auditoire, les compositions récentes tirées de « Chase This Light », comme « Always Be », « Carry You » et « Big Casino » manquent affreusement de substance, autant en ‘live’ que sur disque. Ils n’apportent donc rien de bien neuf à la discographie du quatuor. Au bout de 1h15 de show, Jimmy Eat World remballe ses instruments, laissant derrière lui une bande d’ados survoltée et, d’autre part, une impression de trop peu. Il y en a eu certes pour tous les goûts (« Sweetness », « The Middle », « 23 », « Crush »), mais l’absence, lors de ce concert, de morceaux extraits de « Static Prevail » ou des excellents singles « Bleed American », « Lucky Denver Mint » et « A Praise Chorus » a cruellement fait défaut à l’ensemble. Très légère déception, mais déception quand même...

Setlist :

Big Casino

Sweetness

Crush

Work

Always Be

For Me, This Is Heaven

Desintegration

Gets It Faster

Let It Happen

Carry You

Blister

23

 

Your House

Hear You Me

Goodbye Sky Harbor

Pain

The Middle

 

(Organisation : Live Nation)

    

mardi, 29 janvier 2008 19:04

Every Second Counts

Il aura fallu plus d’un an à « Hey There Delilah » pour se frayer un chemin à travers les foyers européens menant vers le haut des charts. L’attente a payé pour les Plain White T’s car, aujourd’hui, impossible d’allumer sa radio sans être contraint d’imposer à nos tympans le hit de ces nouveaux Fall Out Boy(s). Les nouvelles coqueluches de ces (très) jeunes dames présentent sur leur troisième ouvrage une collection passionnément inintéressante de tubes préfabriqués à la Simple Plan.

Sachant l’Europe un peu trop à la masse, Hollywood Records aura même pensé à inclure l’énorme tube radiophonique « Hey There Delilah », ainsi que le single « Take Me Away », tous deux originellement extraits de « All That We Needed », le recueil précédent. Taillé sur mesure pour les radios collégiennes de Californie, « Every Second Counts » est parcouru de titres aux refrains certes accrocheurs (« Hate (I Really Don’t Like You)) », « Our Time Now », le très ‘Jimmy Eat World-esque’ « Friends Don’t Let Friends Dial Drunk ») mais s’adressant principalement aux teenagers. Ceux-là même pour lesquels « Every Second Counts » aura perdu tout son attrait dès le débarquement de ce que les Ricains appellent ‘the next big thing’. Plain White T’s ou l’histoire d’un succès éphémère…

Pour regardez le clip de Our Time Now

http://www.youtube.com/watch?v=sftymVyLb-Q

http://www.wat.tv/playlist/858435/video/859932/plain-white-s-our-time-now.html

http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftiG5.html

Pour regarder le clip de Hey There Delilah

http://www.youtube.com/watch?v=h_m-BjrxmgI

http://www.wat.tv/playlist/467571/video/656937/attitude-PLAIN-WHITE-T-S-HEY-THERE-DELILAH.html

 

mardi, 29 janvier 2008 19:01

Disko Partizani !

Depuis l’an dernier, la musique à tendance ‘balkanique’ ou ‘tzigane’, terme plutôt réducteur, a réellement le vent en poupe. Du moins, beaucoup plus qu’auparavant. Les projets se multiplient et les valeurs sûres s’installent confortablement dans le paysage médiatique. En Belgique, un seul coup d’œil à l’agenda 2007 et 2008 de l’AB suffit à le constater. Stefan Hantel, alias Shantel, profite du mouvement pour présenter son troisième ‘véritable’ recueil. Après la publication de deux albums sous la coupe de !K7 records, deux compilations sous l’appellation « Bucovina Club » et sa participation au projet « Electric Gypsyland » de Crammed Discs, l’Allemand (!) présente un ouvrage dans l’air du temps invitant à la fête et aux déhanchements les plus exotiques. Un peu à la manière de Basement Jaxx sur le sympathique « Hey U », extrait de l’horrible « Crazy Itch Radio ».

Shantel marie à la perfection le son des cuivres à une légère nappe d’electronica. Difficile dès lors de résister à l’envie de monter sur sa chaise pour remuer son corps dans tous les sens. De par son interprétation exécutée aussi bien en anglais, qu’en turc, grec, serbe ou roumain, « Disko Partizani ! » est un incontestable appel à la diversité. Il faut cependant être particulièrement friand du genre pour pouvoir apprécier les subtilités de cet essai qui pourrait irriter les autres par son aspect longuet. De plus, certaines des vocalises parcourant ce « Disko Partizani ! » peuvent parfois s’avérer difficilement supportables. Il s’agit donc d’un recueil s’adressant essentiellement aux fans des sonorités est-européennes et méditerranéennes, prêts à secouer du bassin durant des heures.