Yes SIHR !

Après quelques concerts / projections improvisés en duo, au Caire et à Beyrouth, pour les rencontres d’Arles, le centre photographique de Lille ou la revue belge Halogénure, Dargent et Oberland s’associent aux francs-tireurs Elieh et Halal pour un manifeste…

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Tout le plaisir est pour THUS LOVE…

Le second elpee de THUS LOVE, « All Pleasure », paraîtra ce 1er novembre 2024. En attendant il a partagé son premier single « Birthday Song », une compo glam grungy qui ouvre une nouvelle ère avec une certaine audace. Le chanteur/guitariste Echo Mars raconte…

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Ty Segall - Sjock 2024
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Pierre Vangilbergen

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jeudi, 26 février 2015 22:42

Steve Vai, le live d'une tournée mythique

Le 3 avril prochain sortira ‘Stillness in Motion – Vai live in L.A’, album du mythique guitariste, compositeur et producteur Steve Vai, à l’occasion d’un concert donné le 12 octobre 2012 au Club Nokia de Los Angeles.

Disponible version 2CD et 2DVD, ce nouvel opus contient  en outre ‘The Space Between the Notes’, un documentaire comprenant un peu plus de trois heures d’images inédites on et off stage. Ce show est le 49ème d’une tournée de 253 représentations à travers 52 pays, de 2012 à 2014 !

 

 

 

 

Disque 1

1. Intro/Racing the World
2. Velorum
3. Band Intros
4. Building the Church
5. Tender Surrender
6. Gravity Storm
7. Weeping China Doll
8. John the Revelator
9. The Moon and I
10. The Animal
11. Whispering a Prayer


Disque 2

1. The Audience Is Listening
2. Rescue Me or Bury Me
3. Sisters
4. Treasure Island
5. Salamanders In the Sun
6. Pusa Road
7. Frank
8. The Ultra Zone (CD Version)
9. Build Me a Song L.A.
10. For The Love of God
11. Taurus Bulba

 

jeudi, 26 février 2015 18:09

Cold Was The Ground

Si vous aimez les atmosphères sombres, le bon vieux rock qui pue des pieds et se fond dans le son bluesy, je vous invite à écouter ce « Cold Was the Ground », dernier album de The Midnight Ghost Train. Fermez les yeux, imaginez-vous roulant de nuit au milieu des plaines du Texas. Il fait chaud et humide, l’esprit embrumé tant par l’ivresse d’un bon whisky que par la liquidation en bonne et due forme d’une famille de bons petits Américains. Digne d’un cynique Tarantino ou d’un Rob Zombie déjanté.

« Along The Chasm », en guise d’introduction oppressante, est rapidement rejointe par des guitares rondes et ronronnantes qui ne cesseront de vous accompagner tout le long de la route. « Cold was the Ground », c’est du Stoner qui fait du bien par où il passe, mixé à la chaleur de transitions propres au Blues. Issu de Topeka, capitale du Kansas aux Etats-Unis, ce trio arpente les scènes depuis bientôt huit ans et publie donc son troisième opus studio. Les riffs ronds de « Gladstone » nous entraînent directement au cœur de l’album et plantent le décor roots et brumeux, où les riffs et la voix grave et rocailleuse de Steve Moss, vocaliste/bassiste du groupe, s’entrechoquent. Un contraste où le rugueux vient côtoyer le soyeux, afin d’élaborer une matière aux multiples reliefs. Comme tout bon Stoner, les morceaux profitent d’une alternance entre un rock endiablé rapidement exécuté et un étirement en longueur de certains passages afin de profiter de la couleur de chaque note, le tout dans un mouvement hypnotique nous entraînant dans un au-delà planant. « BC Trucker », single de l’album, déboule par un solo de batterie rapidement rejoint, en arrière-plan, par une basse aux accents réminiscents d’un ZZ Top, mais exécutés plus rapidement, et un riff bénéficiant d’un break bien placé, pour s’installer confortablement et rester en tête jusqu’à la fin du morceau. Ce dernier profite d’ailleurs d’un clip vidéo assez déjanté, où les trois gars du Kansas se retrouvent à jouer au milieu des champs, accompagnés d’un homme coiffé d’un masque de cochon et tournoyant en Quad autour d’eux. On y retrouve ensuite une bande d’enfants, habillés tels des Amish, quittant la ville et armés d’outils agricoles, rejoignant le band afin de faire la fête ensemble. Le clip se termine par un plan où brûle tranquillement l’homme-cochon sur une chaise en osier. What else ? Telle une parenthèse, « One Last Shelter », privé de tout apport vocal, démarre comme un morceau de Mötorhead pour ensuite se fondre en un intermède teinté de blues, avant d’être repris par une guitare frénétique pour finalement aboutir dans une sauce rock’n’rollesque bien épaisse. Mention spéciale à « The Little Sparrow », morceau intimiste susurré au micro, narrant l’histoire d’un homme hanté par sa musique en pleine nuit, l’empêchant de fermer l’œil happé par les songes. Peut-être un vieux fantôme, quand on sait que le père du frontmen s’est éteint il y a cinq ans, en lui laissant pour derniers mots : ‘Peu importe les raisons, ne cesse jamais de jouer de la musique. Vas-y toujours aussi fort que tu peux’. Une dernière volonté qui revêt tant de l’énergie à puiser que du fardeau à porter.

Fan de Rock bien gras, d’ambiance un peu crado et de western-spaghetti, ne manquez pas cet elpee qui devrait vous faire passer un bon moment. Pas question ici de se prendre la tête et de se poser un tas questions futiles, il suffit de se laisser aller afin d’être emporté dans le monde parallèle et barré de The Midnight Ghost Train. Une traversée nocturne en vieille Cadillac au milieu de nulle part.

The Midnight Ghost Train se produira ra le 10 mars prochain au Bunker (Bruxelles)

 

dimanche, 22 février 2015 00:00

Zakk Wylde, en Maître de cérémonie…

De grosses pointures de l’univers du Metal étaient attendues ce dimanche soir, à l’Ancienne Belgique. Drivé par son légendaire chanteur/guitariste Zakk Wylde, Black Label Society est originaire de Los Angeles. Un combo bien gras et incontournable du heavy metal de ces vingt dernières années. Ce soir, il va une nouvelle fois libérer toute sa puissance. Deux trios accompagnent cette formation, lors de cette tournée européenne : Black Tusk et Crobot. Le premier pratique un Sludge/Thrash pêchu, et le second un Heavy Metal teinté de Blues. Une soirée flairant bon le Rock’n’Roll dopé aux stéroïdes.

Cheveux longs, barbe, jeans, vestes à patchs ou Perfectos ornés de badges métalliques, tel est le dress-code implicite du public qui patiente devant l’Ancienne Belgique, attendant impatiemment l’ouverture des portes. Le show n’est pas annoncé sold out, mais il ne devrait pas en être loin. Rapide crochet par le stand merchandising, où les t-shirts à l’effigie de Black Label Society partent comment des petits pains. La fierté de porter hautes les couleurs du band passe apparemment au-dessus du prix élevé du chandail.

Direction ensuite vers le théâtre des opérations, où Crobot a pour mission de démarrer les hostilités placées sous le signe du Heavy. Première constatation : difficile de croire que le trio n’est actif que depuis 2011, tant il occupe bien la scène. Le ton est donné dès le premier morceau « Legend of the Spaceborne Killer ». Le son est lourd, groovy. La voix claire et hypnotique. Les guitares sont rondes. Jake Figueroa, le bassiste, ressemble quelque peu à  Hendrix. Mais il est surtout emporté par la musique et semble vivre intensément chaque note qu’il arrache à l’aide de ses quatre cordes. Une symbiose partagée par le guitariste Chris Bishop, s’achevant même à terre en fin de set, alors qu’il gratte frénétiquement son instrument. Pointe d’acclamation dans l’auditoire, lors de « The Necromancer », où Brandon Yeagley, vocaliste du band, débute énergiquement ce morceau à l’harmonica. C’est frais, c’est naturel, ça donne le sourire et c’est rock’n’roll à souhait. Que demander de mieux pour débuter la soirée ? (Voir photos ici)

A peine le temps d’aller chercher une bière afin de prolonger ce moment de bonne humeur que le deuxième trio, Black Tusk, investit les lieux. Le backflag du groupe est hissé en arrière-plan, mais il est partiellement occulté par l’abondance de fumée. Parcourue de faisceaux de lumière rouges, l’ambiance est apocalyptique. Autant le démarrage de Crobot s’était opéré en douceur, autant Black Tusk enclenche directement la troisième vitesse. Assez justement, le trio se targue de faire du ‘Swamp Metal’, autrement dit du Metal des marais. Une métaphore bien trouvée pour cette ambiance lourde et sale entretenue par ces Américains qui nous viennent de Géorgie. Un rouleau compresseur où, telle une hydre à trois têtes, chacun des musiciens hurle au micro tout en grattant ou en martelant ses fûts. La dextérité de Jamie May, batteur du band, est à ce titre vraiment impressionnante. Parvenir à maintenir le rythme tout en chantant de la sorte requiert un savoir-faire remarquable. Musicalement, on ne peut pas louper que Black Tusk évolue dans le Sludge Metal, mais sur lequel vient se greffer la voix typiquement thrash d’Andrew Fidler (NDR : évoquant parfois celle de Kreator), offrant à l’ensemble une sonorité originale et captivante. Un set intense d’une demi-heure, où les Américains n’oublieront pas d’insérer « Bring me Darkness » dans leur setlist –demandant à l’occasion au public de crier avec eux ‘Six, Six, Six’ en guise d’intro– ou encore « Truth Untold », dernier single-vidéo issu de leur long playing « Tend No Wounds ». Black Tusk revient en Belgique dans le cadre de l’Ieper Hardcore Fest qui se déroulera les 14, 15 et 16 août prochains. (Voir photos )

La température est à présent à point pour accueillir Black Label Society. La salle est plongée dans le rouge et un large drapeau à l’effigie du combo est déployé, cachant désormais l’entièreté de la scène. De quoi instaurer une tension pour la demi-heure à venir, en attendant le band. Cinq minutes avant l’heure H, les spots s’éteignent et un mashup de « Whole Lotta Love » de Led Zeppelin et « War Pigs » de Black Sabbath envahit l’espace, pour laisser ensuite place à un déchaînement de sirènes, annonciatrices du futur déferlement musical. Les premières notes de « The Beginning... At Last » retentissent. Le drapé tombe, la foule crie tel un seul homme, laissant enfin apparaître l’immense Zakk Wylde. Et encore, le mot est faible. Tel l’archétype du Viking, l’ancien guitariste d’Ozzy Osbourne, aux cheveux blonds aussi longs que la barbe, est planté comme un roc à l’avant du podium, ses doigts parcourant le manche de sa guitare. Vêtu d’un t-shirt de la tournée et d’une veste en jean patchée à l’image du quatuor, le géant à la musculature plus que développée fait face à un micro au pied orné d’un chapelet, de grosses chaînes et de crânes. Deux toiles tendues floquées de leur logo sont disposées à gauche et à droite de l’estrade. Un mur d’enceintes Marshall est disposé en arrière-plan, de part et d’autre de la batterie de Jeff Fabb. Derrière lui est accroché un backflag, frappé d’une grande croix sur laquelle figure le nom de la formation.

« Funeral Bell », tiré de l’opus « The Blessed Hellride », est de suite enchaîné. A ceux qui en douteraient encore, Black Label Society est avant tout le groupe de Zakk Wylde. Les artistes qui l’accompagnent sont plutôt appelés à se faire discret. Preuve en est l’étonnement non feint par Dario Lorina, lorsque le colosse l’appelle durant le set à le rejoindre à l’avant du podium afin de jouer côte à côte. Posté tout le long du spectacle sur la gauche de l’estrade, John DeServio, quant à lui, va quand même s’illustrer en arborant une basse aux cordes de nos couleurs nationales, noire jaune rouge. Le nouvel album, « Catacombs of the Black Vatican », est particulièrement mis en exergue. Un tiers des morceaux, exécutés ce soir, sont issus de cet opus, parmi lesquels « Heart of Darkness », « My Dying Time » et « Damn the Flood ».

Malgré son insubmersible apparence, Zakk laisse néanmoins parfois apparaître quelques signes de défaillance. Un certain nombre de petits flacons sont disposés à l’avant de la batterie ; et il vient fréquemment s’y abreuver. Pareille pour cette mystérieuse tasse au contenu fréquemment renouvelé tout au long du show. Sa mémoire n’est peut-être également plus ce qu’elle était, le frontman se référant à un pense-bête sur lequel figurent les lyrics, remplacé à chaque morceau. Ce qui n’enlève rien à ses aptitudes instrumentales exceptionnelles, déployées entre autre lors de ce solo de plusieurs minutes, majestueux selon certains, interminable selon d’autres, accordé en milieu de parcours.

La scène est ensuite une fois de plus plongée dans l’obscurité et un piano est installé sur la gauche de la scène. Dario Lorina abandonne sa guitare et s’installe derrière le clavier, afin d’entamer un émouvant « Angel of Mercy ». Les briquets s’allument dans la salle, les poings levés se transforment en va-et-vient de la main au rythme mélodique du morceau. Dans le public, certaines s’étreignent, d’autres s’embrassent. Juste à côté de moi, un fils, alors près des barrières à l’avant de la fosse, rejoint son père et le prend dans ses bras. Des larmes se mettent à couler sur les joues du père, visiblement ému. Outre son côté tout en muscle, Zakk Wylde possède en effet cette magie de pouvoir composer des ballades qui vous transpercent l’âme. Zakk et Dario permutent ensuite de place alors qu’« In This River » poursuit cette séquence ‘émotion’ de la soirée. Devenu un des classiques du groupe, ce morceau s’est transformé au fil du temps en hommage à Dimebag Darrell, ex-guitariste de Pantera assassiné en 2004, en plein show. Après un peu plus d’une heure de concert, Black Label Society entame sa dernière partie par le titre maître de « The Blessed Hellride » et « Concrete Jungle » issu de l’opus « Shot to Hell ».

Une prestation exceptionnelle, haute en couleurs et en émotions, qui se terminera en apothéose par leur tube « Stillborn ». Une fois de plus, Black Label Society n’a pas failli à son statut de groupe d’exception, ne manquant pas de nous mettre un fameux coup de botte au derrière tout en polissant son blason d’icône du Heavy Metal. Respect! (Voir photos ici)

Setlist : The Beginning... At Last, Funeral Bell, Bleed for Me, Heart of Darkness, Suicide Messiah, My Dying Time, Damn the Flood, Guitar Solo, Godspeed Hell Bound, Angel of Mercy, In This River, The Blessed Hellride, Concrete Jungle, Stillborn

(Organisation : Ancienne Belgique)


 

 

vendredi, 20 février 2015 13:34

Tony Iommi, à deux doigts de la gloire

Tony Iommi, guitariste de Black Sabbath et véritable père du Heavy Metal, a fêté hier ses 66 printemps. Mais saviez-vous que l’artiste est… partiellement amputé au niveau des doigts ?
 
En effet, alors qu’il travaillait étant jeune à l’usine, une presse hydraulique s’est abattue sur sa main droite, emportant avec elle une partie de deux de ses doigts. C’est ce que l’artiste raconte dans une interview pour VH1, illustrée par l’artiste anglais Paul Blow et animée par Kee Koo (voir ci-dessous). Alors que cet accident aurait pu tuer dans l’œuf ce talent musical, Iommi redoublera d’efforts et se constituera des prothèses maisons en plastique, s’adaptant petit à petit et créant son propre jeu de guitare, devenu légendaire... 
 
 
 
 


jeudi, 19 février 2015 14:33

Le leader d’Iron Maiden combat un cancer

Sur la Page Facebook d’Iron Maiden, véritable icône du Heavy Metal, était annoncé ce jeudi midi :

Peu de temps avant Noël, Bruce Dickinson, vocaliste d’Iron Maiden, a rendu visite à son docteur pour un check-up de routine. Ce dernier a malheureusement révélé une petite tumeur cancereuse situé au bas de sa langue. Un traitement par chimiothérapie et radiologie a toute de suite été entamé. Ce traitement a pris fin hier. Vu que la tumeur a été appréhendée dès le début, le pronostic est heureusement extrêmement bon. L’équipe médicale de Bruce a très bon espoir en une réhabilitation complète d’ici le mois de mai. Cela prendra donc encore quelques mois avant que Bruce ne revienne au mieux de sa forme. Nous vous demandons donc d’être patients pendant ce laps de temps, ainsi que de faire preuve de compréhension et de respect pour Bruce et sa famille jusqu’au mois de mai. Bruce se porte bien, compte tenu des circonstances, et l’ensemble de l’équipe reste confiante quant à sa guérison. 
mercredi, 18 février 2015 21:40

Le Slayer nouveau (bientôt) arrivé !

A l’occasion du Record Store Day, journée de promotion instaurée aux Etat-Unis par les disquaires indépendants afin d’inciter le grand public à se rendre dans leurs magasins, Slayer sortira le 18 avril prochain ‘When The Stillness Comes’. Ce nouveau morceau sera disponible en vinyle 7-inch, accompagné en face B du morceau ‘Black Magic’, issu de leur album ‘Show No Mercy’ de ’83 et enregistré en live lors du Wacken Open Air Festival de 2014. Ceux qui voudront l’acquérir ne devront pas tard, ce vinyle sera en effet limité à 5.000 exemplaires dans le monde.
 
De quoi se mettre quelque chose sous la dent en attendant le successeur de ‘World Painted Blood’, dernier album de Slayer datant de... 2009. Six longues années que les fers de lance du Thrash Metal n’ont plus rien sorti. Une absence qui, selon le groupe, devrait être comblée sous peu, le band étant dans les derniers préparatifs de son nouvel opus... 
 
Evil Invaders - n’était-ce pas là en 1985 le titre de l’album phare des Canadiens de Razor ?
 
C’est désormais également le nom de ce groupe belge branché old-school, délivrant sans concession avec leur premier album, ‘Pulses of Pleasure’, un doux mélange de speed metal avec des vocals dignes d’un Exodus et des solos de guitare fougueux ! ‘Pulses of Pleasure’, c’est un concentré d’énergie sans limites typique des années ’80, mêlé à la sophistication de cette dernière décennie. Ressortez les chaussures high-tops et les vestes en jean patchées, Evil Invaders vont faire parler d’eux !
 
En exclusivité pour Musiczine, Evil Invaders sort aujourd’hui sa toute nouvelle vidéo du titre éponyme de leur album ‘Pulses of Pleasure’ :



 
L'album ‘Pulses of Pleasure’ sortira le 27 février prochain chez Napalm Records et passera par la Belgique le 28 février (Biebob-Vosselaar), le 7 mars (De Kreun-Kortrijk) et le 5 avril (Biebob-Vosselaar, en compagnie de Majesty).
dimanche, 15 février 2015 23:41

Trente ans après, Judas fait peau neuve

Le 6 mars prochain sortira une version remasterisée par Tom Allom (ingénieur du son de notamment Genesis, Black Sabbath ou encore Def Leppard) de l’album culte ‘Defenders of the Faith’, de Judas Priest. En-dehors de cette version remise au goût du jour, ce disque de platine sera accompagné d’un live en deux cd’s du concert donné par le groupe à la Long Beach Arena (Californie), le 5 mai 1984.
 
Avec des morceaux devenus cultes tels que 'Freewheel Burning,' 'Jawbreaker,' 'The Sentinel,' 'Some Heads Are Gonna Roll' et 'Love Bites’, cet LP a permis à Judas Priest dans le milieu des années '80 de certifier sa place au panthéon du Heavy Metal.
 
Ne ratez pas ces icônes, ils seront le 20 juin prochain au Graspop Metal Meeting !
 
Tracklisting
 
CD 1 - 'Defenders of the Faith', remasterisé
 
1. Freewheel Burning
2. Jawbreaker
3. Rock Hard Ride Free
4. The Sentinel
5. Love Bites
6. Eat Me Alive
7. Some Heads Are Gonna Roll
8. Night Comes Down
9. Heavy Duty
10. Defenders of the Faith
 
CD 2 – Live à la Long Beach Arena (California - 5 Mai 1984)
 
1. Love Bites
2. Jawbreaker
3. Grinder
4. Metal Gods
5. Breaking the Law
6. Sinner
7. Desert Plains
8. Some Heads Are Gonna Roll
9. The Sentinel
10. Rock Hard Ride Free
 
CD 3 - Live à la Long Beach Arena (California - 5 Mai 1984)
 
1. Night Comes Down
2. The Hellion
3. Electric Eye
4. Heavy Duty
5. Defenders of the Faith
6. Freewheel Burning
7. Victim of Changes
8. The Green Manalishi (With the Two-Pronged Crown)
9. Living After Midnight
10. Hell Bent For Leather
11. You’ve Got Another Thing Coming
 
Le 24 avril prochain sortira ‘Dawn of the Nine’, douzième album d’Unleashed, officiant depuis 1989 et considérés par plus d’un comme les pères du Viking Death Metal. Le pochette de ce nouvel opus a été imaginée par Pär Olofsson, artiste également derrière l’artwork d’Immortal, Demonaz ou encore Exodus.
 
Le visuel représente la continuation de notre précédent LP, qui finissait par ‘The Great Battle of Odalheim', explique Johnny, vocaliste/bassiste du band. ‘Cette bataille a eu lieu dans les champs Uppsala, en Suède. On peut y voir les tombes des rois ainsi qu’une église bombardée en arrière-plan. L’avant-plan met en exergue le lieu de Blot (ndla : le lieu de sacrifice dans le paganisme nordique) ainsi qu’une pierre comportant le symbole runique du courage, de l’espoir en un nouveau départ’.
 
En attendant de pouvoir s’en mettre dans l’oreille, voici d’ores et déjà la playlist de ce prochain album :
 
1. A New Day Will Rise
2. They Came To Die
3. Defenders Of Midgard
4. Where Is Your God Now?
5. The Bolt Thrower
6. Let The Hammer Fly
7. Where Churches Once Burned
8. Land Of The Thousand Lakes
9. Dawn Of The Nine
10. Welcome The Son Of Thor!
 
Les Suédois de Sabaton confirmés à l’Alcatraz Festival (8 et 9 août 2015 - Kortrijk), voilà une nouvelle qui ne manquera certainement pas d’attirer une foule de metalheads fans de Power Metal, avides de puissance, de riffs accrocheurs et de compositions épiques de haut vol. Toute personne passée par la dernière édition du Graspop se souviendra de leur prestation toute en muscle et en testostérones. Largement inspirés par les premières et secondes guerres mondiales, les titres aux airs martiaux ne pourront qu’entrainer headbangings et stage divings le dimanche 9 août prochain, en guise de clôture de ce festival à l’affiche plus que prometteuse.
 
En effet, ont été déjà été confirmés pour le samedi 8 août : Nightwish, Trivium, Overkill, Queensryche, Death Angel et Armored Saint. Le dimanche, quant à lui, verra donc Sabaton en tête d’affiche, suivi d’Accept, Behemoth, Carcass, Annihilator, Powerwolf et D.A.D. Plus qu’un co-headliner et cinq autre groupes à annoncer !
 
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