Un sentiment de révolte envahit Billions Of Comrades…

Billions Of Comrades vient de publier un nouveau single. Intitulé « SCAB AALO PAM », il annonce un nouvel elpee baptisé « Trotop » qui sortira en mars 2024. Ce morceau est un exutoire destiné à combattre une police violente qui intimide, blesse et tue afin de…

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L’interaction de Ride…

Le septième elpee studio de Ride, « Interplay », sortira le 29 janvier 2024. Ce nouvel album est le troisième du quatuor d'Oxford depuis sa reformation en 2014. Ces pionniers du shoegaze, quelquefois proche du noise rock des années 90, sont davantage ensemble…

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Stéphane Reignier

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En cette fin d’année 2023, Sarah Jeanne Ziegler revient avec « Le Ciel n’en finit pas », un nouvel Ep de six titres écrits en français qui combine la chanson et le folk tout en se servant de sonorités pop plus contemporaines.

Une voix suave et singulière, un répertoire pop-folk hybride aussi sensible que puissant : c’est ainsi que Sarah Jeanne Ziegler nous invite à voyager entre la France et le Canada.

La musique de Sarah Jeanne Ziegler est en effet un cocon d’influences nord-américaines (les singer-songwriters Léonard Cohen, Bob Dylan, Joan Baez, Lhasa…) et françaises (Serge Gainsbourg, Françoise Hardy). Le tout avec une touche d’inspiration cinématographique, due à son implication dans la musique à l’image.

Depuis dix ans, Sarah Jeanne Ziegler se produit sur de nombreuses scènes nationales pour présenter ses projets : un premier Ep « Novembre » (2011), puis son second « L’Echappée » (2015), et enfin l’album live « Session Acoustique » (2020), enregistré au Studio Tropicalia aux côtés de la violoniste Mathilde Cattin.

Issu du nouvel Ep, le clip de « Janvier » est disponible

 

jeudi, 07 décembre 2023 16:25

La souffrance de Less AUTRE

Less AUTRE est un groupe réunissant cinq individus –issus du Nord de la Belgique– qui repousse sans effort les limites de la musique en proposant un son éclectique unique naviguant du rock indé mâtiné punk à la pop, mais en empruntant aussi à la new wave. C’est comme une soirée arrosée, une escapade nocturne avec une foule d’invités musiciens parmi lesquels The Cure, Morphine, Jack White, Jacques Dutronc, Indochine, Arno, Talking Heads et Patrick Coutin pour ne citer que ceux-là.

L’histoire de Less AUTRE commence en 2019, lorsque le leader Peter Fias prend la décision courageuse de plaquer son emploi et de poursuivre son vieux rêve de monter son groupe de rock. Il dépoussière sa guitare et commence à écrire des chansons. Il cherche et trouve des pairs : Raf Hermans (clavier, guitare, chœurs), Mattia Swinnen (batterie), Dirk Demeyer (basse) et Steven Grandjean (saxophone, clarinette, percussions). Ensemble, ils se lancent dans une série de performances live qui font rapidement le buzz dans le secteur.

En 2021, ils travaillent d’arrache-pied sur leur premier Ep qui recèle une compo comme « Pauvre de moi », une adaptation frappante de « Oh Me » de Meat Puppets, devenue célèbre dans le monde dans sa version Unplugged de Nirvana. Pour la petite histoire, le chanteur des Meat Puppets, Curt Kirkwood, a été tellement impressionné par « Pauvre de moi » qu’il a demandé à Less Autre de les accompagner lors d’une tournée européenne qui s’est déeroulée à l’automne 2022. Dommage collatéral à la crise sanitaire, la tournée est reportée jusqu’à nouvel ordre.

« Pauvre de moi » est à voir et écouter ici

lundi, 16 octobre 2023 18:43

A.M.O.U.R

Il se conjugue au passé, au présent ou au futur. Généralement imparfait, protéiforme, souvent couvert d’aspérités, il règne chez les hommes et les femmes depuis que la terre est terre. Il est partout et nulle part à la fois. Cupide, insidieux ou encore salvateur, il peut se révéler un allié de premier choix, mais peut également détruire, menant même jusqu’à la mort. De quoi s’agit-il ? De l’Amour évidemment, titre du dernier opus de Calogero.

Réalisé dans son propre studio habilement baptisé Ronipiri (référence au nom de ses enfants Romy, Nina, Pio et Rita), on retrouve à la plume de ce neuvième album, ses fidèles compagnons, Paul École, Bruno Guglielmi, Pierre Riess et même Dominique A. Mais pas que puisque quatre des chansons sont signées Marie Poulain, une jeune artiste rencontrée par le fruit du plus grand hasard et avec qui il interprètera « Le hall des départs ».

Alors qu’il y a trois ans, le chanteur produisait « Centre-ville », un disque plaintif dans lequel il s’exprimait (sans trop de conviction) sur la pandémie et de la façon dont il vivait les confinements, Calo exporte aujourd’hui sa propre vision du sentiment amoureux sous un angle nettement plus positif et détaché faisant de l’intime un acte politique dont il se hisse comme un fervent défenseur.

Si le postulat de départ a tout pour plaire, le résultat global est assez décevant. Alors que le chanteur nous avait habitués jadis par la qualité de ses compositions, notamment à travers l’ultra réussi « Les feux d’artifice », l’elpee souffre d’un trop grand éclectisme de styles, parfois carrément même carrément antagonistes, oscillant du funky « Donne », au rock « Cache-cache » en passant par les sonorités des années 80 à travers « La nuit n’est jamais noire », auquel participe Gaëtan Roussel. De quoi donner le tournis !

Hormis quelques trop rares belles chansons comme « Dénouement heureux » ou lors du duo précité, le disque s’enlise dans une suite de titres mielleux, mal torchés et qui manquent de relief pour qu’ils s’inscrivent dans la durée et restent gravés sur l’autel du panthéon.

« A.M.O.U.R » se survole, plutôt qu’il ne s’écoute, alors que la promesse d’un disque réussi se dessinait pourtant, compte tenu du travail de production et de la trame thématique. Mais, le franco-italien a préféré la zone de confort en privilégiant un volet purement commercial et en se servant d’artifices musicaux peu crédibles.

Ainsi, Calogero enfonce le clou lorsqu’il dénonce les chiffres de l’industrie musicale au détriment de l’audace et la création artistique tout au long de « Faire une chanson », alors que lui-même emprunte cette direction…

samedi, 07 octobre 2023 15:24

Les collines sablonneuses de Toro y Moi…

Toro y Moi a sorti son nouvel Ep, « Sandhills », ce 25 août 2023. Steve Daniels lui a consacré un court-métrage.

Cet Ep et ce film marquent un retour aux sources pour Toro y Moi, car le projet le ramène dans le Sud et explore sa relation avec la Caroline du Sud. Le film qui l’accompagne donne vie à la perspective autobiographique de ce retour.

La productrice Katherine Perry était la professeure de photographie de Chaz Bear au lycée, le réalisateur Steve Daniels - accessoirement mari de Katherine Perry - a travaillé en compagnie de Bear sur une vidéo pour son groupe de lycée, et l'équipe de football présentée dans le film est composée des membres réels de l'équipe de football de son lycée d'origine.

Au-delà de ses thèmes lyriques, Sandhills marque aussi un retour sonore pour Chaz Bear. Après avoir été un pionnier du son connu sous le nom de chillwave à la fin des années 2000, il a ensuite manié la pop, le disco, le psyché, le yacht rock, l'ambient et plus encore dans ses différents projets (Toro y Moi, Les Sins et Plum) au cours de ces 10 dernières années. Le nouvel Ep le voit explorer l'Americana d'une manière qu'il n'avait que suggérée jusqu’à présent, un genre approprié pour analyser son éducation dans le Sud.

Sandhills marque un nouveau chapitre dans l'évolution sonore continue de Bear, présentant un Toro y Moi qui se réinvente à chaque nouvelle œuvre. C'est en quelque sorte un retour à ses racines après avoir collaboré avec certaines des plus grandes figures de la pop, comme Flume, Blood Orange ou encore Tyler, The Creator.

Toro y Moi est désormais une icône de l'indie-pop mondialement reconnue. Mais ses touches de banjo et son émerveillement candide démontrent que l'on ne se débarrasse jamais complètement de ces blues d'adolescent. On peut simplement, si on a de la chance, développer de meilleurs mécanismes pour les gérer.

Le court métrage consacré à « Sandhills » est à découvrir ici

 

 

samedi, 07 octobre 2023 15:22

La fidélité de Marie Warnant…

"Je te garde" est un titre écrit et composé par l'artiste bruxelloise Marie Warnant. Il est issu de son dernier opus, « Pisang Orange », sorti en mars 2023. Elle y invite la chanteuse Maya Safar pour un duo authentique.

Un piano, deux voix, quelques arrangements rythmiques et mélodiques, une histoire intemporelle et universelle. Entre force et douceur, espoir et mélancolie, la chanson se veut évocatrice du deuil, de l'amour inconditionnel, de libération, de liens infinis.

Le clip, réalisé par Joakeem Carmans, dans le cadre d'un mémoire sur le rêve au cinéma, sert ici le récit dans un no man's land teinté d'onirisme, où les deux personnages, incarnés par les chanteuses, se rejoignent peu à peu parmi le mirage scellant à la fois leur union et leurs retrouvailles par la force de la vie et de l'illusion.

En quête spirituelle, Marie arpente les dunes et la mer de la Côte Belge, avec pour seul but d’ensevelir les cendres de l’être le plus cher à son cœur dans les eaux du Nord. Lors de ce périple initiatique, en recherche de paix et de liberté, elle croise celle tant espérée. Du mirage au miracle, par la force du visible et de l'invisible, les deux complices mènent leurs retrouvailles illusoires…

Le clip consacré à « Je te garde » de Marie Warnant feat. Maya Safar est à voir et écouter ici

 

 

samedi, 07 octobre 2023 15:21

Et de 45 pour Van Morrison…

Van Morrison sortira son 45ème album studio, "Accentuate the Positive", ce 3 novembre 2023.

En mars dernier, Sir George Ivan Morrison OBE (NDR : c’est son vrai nom) réitérait son amour pour le genre skiffle en gravant l’elpee "Moving On Skiffle".

Cette fois-ci, l'artiste irlandais rend hommage au blues et au rock'n'roll qu'il écoutait dans sa jeunesse en publiant "Accentuate The Positive".

"Shakin' All Over", une reprise de Johnny Kidd & The Pirates, le premier single, est en écoute

 

 

samedi, 07 octobre 2023 15:20

Les reflets de Grand Corps Malade…

Grand Corps Malade revient avec un nouveau single « Retiens les Rêves », extrait du nouvel album « Reflets ».

Dans cette chanson, Grand Corps Malade nous décrit cette époque magique qui passe trop vite, quand les enfants grandissent. Cette envie de retenir tous ces petits moments anodins et pourtant si précieux.

Si ces moments parents/enfants sont ici évoqués, il en est de même pour tous types de relations que nous vivons quotidiennement. Cette envie de vouloir retenir le temps, d'avoir ce sentiment de rêver.

Le clip « Retiens les rêves », réalisé par Jeremi Durand, nous transporte ainsi dans des instants de vie simple que partagent des adolescents, des amis, des membres d'une famille...

Au départ, l'idée traversait l'esprit de Grand Corps Malade d'intituler l'album "Portraits" au pluriel. Il envisageait que chaque chanson représente le portrait d'une personne, d'une chose ou d'un lieu spécifique. Cependant, au fil du temps, cette notion a évolué́, aboutissant finalement au choix du titre "Reflets".

Ce titre représente pour lui une opportunité d'explorer la réflexion de la société, de capturer l'esprit d'une époque, de saisir les éléments qui nous entourent. Cette approche ouvre la porte à de nombreux thèmes traités dans l’elpee. Le regard des uns sur les autres, de notre propre reflet dans le miroir ou dans les yeux des autres.

Le clip est à voir ici

 

samedi, 07 octobre 2023 15:19

Un minimum de medocs pour Little Odetta

Little Odetta a partagé un nouveau single intitulé "No Medication". C’est le premier extrait de son prochain long playing dont la sortie est prévue au printemps 2024.

Depuis la sortie de son premier opus éponyme, paru en novembre 2021, les rockeurs de Little Odetta (basés en IDF) en ont fait du chemin et parcouru des kilomètres !

Parmi les nombreux concerts accordés, le groupe a assuré, entre autres, la 1ère partie de Wishbone Ash à Chester (UK), sur l'invitation personnelle d’Andy Powell. Il a aussi joué avec Laura Cox à La Laiterie (Strasbourg) le 23/09 !

Découvrez dès à présent, le clip du single "No Medication"

 

 

samedi, 07 octobre 2023 15:18

Un phare pour éclairer Cent Détresses…

Cent Détresses c’est l’alliance d’une voix puissante - au service de textes français bien ciselés - et d’un rock ambiant. C’est aussi une forte présence scénique qui renvoie à l'univers maritime.

Le nom du groupe fait référence au grand-père du chanteur, inventeur de la lumière de détresse placée sur les gilets de sauvetage. C’est également un hommage à son père, marin-pêcheur, sauvé en mer d’Irlande par une bouée de détresse.

Le « Cent », greffé au mot « Détresses », évoque les solitudes plurielles intérieures. À l’image des eaux paisibles qui bordent le Morbihan - lieu d’ancrage du groupe, mais aussi des tempêtes qui se forment en son large, la musique de Cent Détresses oscille entre calme et puissance.

La cohésion musicale et humaine du groupe se vit sur scène, où l’esthétique et l’exigence de précision lui confèrent un caractère unique et envoûtant. Après « Oxygène » et « Ralentir », Cent Détresses a enregistré son nouvel opus à Bruxelles sous la houlette de l’ingénieur du son, Charles de Schutter.

Celui-ci a collaboré avec des artistes comme -M-, Kyo, Angèle ou encore No one is Innocent.

L’album « Terre Amère » sonne comme un appel. Les riffs lancinants, les guitares rythmiques, associés à une puissante fusion basse-batterie, résonnent comme l’alerte d’une sirène et invitent à plonger dans l’atmosphère étonnante, voire mystérieuse de Cent Détresses.

Un premier clip extrait de l'elpee est sorti le 14 mai 2023 avec un visuel prégnant ; celui du phare de l’Île Vierge : « La Gardienne ». Il est à voir et écouter ici

 

 

samedi, 07 octobre 2023 15:17

Gami, pas à pas…

Le rock origamique marseillais est enfin de retour. Le combo publiera un nouvel Ep, ce 17/11/23. Il s’intitulera « Step By Step ». Cette œuvre marque l'ouverture du groupe vers le monde qui l'entoure en faisant toujours le pari fort de l’indépendance.

Le trio nous invite à un voyage initiatique captivant, où l'âme et le cœur de l'hypersensible Capucine Trotobas se dévoilent. On retrouve à la guitare Rémi Bernard (leader d’Avee Mana) et David Benzazon derrière les fûts, multipliant également les projets.

Après avoir gravé l’opus « Make a Path » le formation partage le clip « Kid Memorial ».

Comme un hymne à l'ambivalence de sa génération, le trio constate, inactif et résolu, à la fin de son ère, l'humain face à l'humain.

« Kid Memorial « assied le ton résolument plus rock de Gami, ancré dans sa génération. En regardant le clip, on imagine un futur très proche où la réalité virtuelle est le seul portail vers la nature et l'apaisement. Mais la protagoniste se retrouve piégée dans la matrice poursuivie par ses angoisses.

La vidéo est à découvrir ici

 

 

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