Manu Chao célèbre l’autre…

Manu Chao, l'icône de la scène musicale mondiale, revient sur le devant de la scène en sortant un nouveau single baptisé "Viva tu". Après plusieurs années d'absence médiatique volontaire, l’artiste nous offre un avant-goût de son prochain opus tant attendu.…

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Pour la première fois le Botanique et le festival Esperanzah! s’associent au CNCD-11.11.11 pour organiser une soirée concert à l’occasion du lancement de l’Opération 11.11.11, le vendredi 7 novembre à 20h00 au Cirque Royal.

S’y produira Rokia Traoré celle qui avait déjà fait vibrer les cœurs en offrant un concert exceptionnel à l’Abbaye de Floreffe, en août dernier. A la fois délicate et intense, gorgée de nostalgie ou d'une espérance vigoureuse, la voix de Rokia Traoré voyage dans l'univers onirique d'une artiste qui a crée son propre style dans un pays parmi les plus riches d'Afrique en matière musicale, le Mali. Avec son dernier album « Tchamantché » qu’elle a présenté le 14 juin dernier au Botanique, elle a réussi un parfait mélange entre blues, sonorités africaines et plus généralement musique occidentale. Sa personnalité à part et sa musique puissante ont fait d’elle une artiste de premier plan, loin des clichés sur l’Afrique de l’Ouest.

En lever de rideau, l’auteur-compositeur Sierra Léonais Bai Kamara Jr viendra bercer les spectateurs de ses rythmes soul, jazz, funk et rythm’n blues dans des compositions à la fois très modernes et très proches des racines africaines.

Ce 7 novembre, Rokia Traoré et Bai Kamara Jr chanteront pour la mondialisation du  travail décent et donneront le coup d’envoi officiel de l’Opération 11.11.11 qui aura lieu du 6 au 16 novembre. Les bénéfices de cette soirée seront intégralement versés à l’Opération 11.11.11 qui finance chaque année une soixantaine de projets de développement en Afrique, en Amérique latine et en Asie.

(suivant communiqué de presse)

Réservations : 02 218 37 32 ou sur http://www.botanique.be
Prévente : 23 et 26 Euros
Bota’Carte : 20 et 23 Euros

samedi, 04 octobre 2008 20:47

26 miles et 385 yards pour Malibu Stacy

Le deuxième album de Malibu Stacy est dans les bacs depuis ce 19 septembre. Cette fois, les Malibu Stacy se sont envolés pour Brooklyn pour l’enregistrement, direction le Headgear Studio avec Scott Norton (Au Revoir Simone, TV on the Radio, Coco Rosie) aux commandes. Les mixes ont eux été confiés à Mike Major, basé en Floride et responsable des premiers faits d’armes de At the Drive In et Sparta et ensuite, le tout a été masterisé à New York au Sterling Sounds par Steve Fallone (the Strokes).

(suivant communiqué de presse)

Tracklisting :

1) Hotel de police 
2) I was Spartacus 
3) Ladies can't drive 
4) Bonadonna 
5) Join the Glenwood Army 
6) Flashdance 
7) Troublemakers 
8) Maria 
9) Older Bolders (and stuff like that ) 
10) Duck and cover 
11) Black shoes 
12) White teeth

Pour plus d’infos : http://www.malibustacy.com et http://www.myspace.com/malibustacyband

 

  

L’auteur-compositeur-interprète Baloji reçoit le prix Rapsat-Lelièvre 2008 pour son magnifique album « Hôtel Impala », un heureux mélange de slam, de hip hop et de soul. L’artiste belge recevra officiellement son prix dans le cadre du Festival Coup de cœur francophone à Montréal le 10 novembre 2008. Le public québécois pourra visiter l’Hôtel Impala sur scène puisque Baloji sera en spectacle le 13 novembre au Cabaret du Musée Juste pour rire à Montréal.

Le prix Rapsat-Lelièvre est attribué chaque année par un jury international composé de spécialistes de la chanson issus de la Communauté française de Belgique et du Québec. Le prix consiste en une bourse de 5.000 $ Can (quelque 3.800 euros) attribuée à l'auteur-interprète. Une aide de 7.500 euros sera en outre octroyée par le CGRI au producteur du disque afin d'en assurer la diffusion sur le marché québécois.

« Hôtel Impala » est le premier album solo de l’ex-membre du groupe liégeois Starflam. Le rappeur d’origine congolaise livre ici, avec audace et pudeur, un album autobiographique qui frappe par son parcours éclaté. Sur fond de hip-hop, de soul, de reggae et d’afro-beat, il parle d’exil éternel mais aussi de ses racines. Ce n’est donc pas un hasard si l’album porte le nom de l’hôtel dirigé par son père durant son enfance. Maniant admirablement la langue française, Baloji raconte des histoires qui interpellent et s’entrechoquent : il sait ponctuer les mots pour faire rythmer une poésie urbaine.

Le jury international, lui décerne ce prix pour la cohérence de la réalisation, la richesse des arrangements –notamment l’intégration des cuivres– et le naturel avec lequel il livre des textes percutants. Une mention spéciale a aussi été faite pour le savant mariage de la langue française et des différents styles musicaux dont celui avec le rythm’n’blues qui est particulièrement réussi.

Le prix Rapsat-Lelièvre a été décerné pour la première fois en 1984 à la suite d’une entente de coopération entre le Gouvernement du Québec et celui de la Communauté française de Belgique. Il est administré conjointement par le ministère des Relations internationales, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec et le Commissariat général aux relations internationales de la Communauté française de Belgique.

Le « Prix Rapsat-Lelièvre », du nom des grands artistes que furent dans leurs pays respectifs Sylvain Lelièvre et Pierre Rapsat, vise à encourager le développement et la promotion de la langue française, à stimuler la production et la diffusion de disques francophones, à faire connaître leur production aux communautés du Québec et de Wallonie-Bruxelles et à favoriser les échanges entre le Québec et Wallonie-Bruxelles dans le domaine de la création chantée. Le prix est remis chaque année, en alternance, aux artistes québécois, dans le cadre des FrancoFolies de Spa et aux artistes de Wallonie-Bruxelles au « Coup de cœur francophone » de Montréal. L’année dernière, Pierre Lapointe a reçu cet hommage pour La Forêt des mal-aimés et en 2006, Jeronimo l’a mérité pour son album 12 h 33.

(suivant communiqué de presse)

Informations sur le prix Rapsat-Lelièvre : http://www.prixrapsatlelievre.org

Informations sur l'artiste : http://www.baloji.com

 

 

mardi, 30 septembre 2008 18:52

Décès du musicien et auteur Marc Moulin

Le compositeur belge Marc Moulin est décédé, vendredi 26 septembre 2008, à l’âge de 66 ans, des suites d’un cancer. Afin de respecter ses dernières volontés, ses funérailles se sont tenues mardi dans la plus stricte intimité. Ainsi s’en va discrètement un homme dont on retiendra l’élégance et l’humilité. Sa dernière œuvre aura été la production du récent album de son ami Philip Catherine, « Guitars II ».

Né à Bruxelles, des écrivains Léo et Jeannine Moulin, Marc, formé à l’académie d’Ixelles, commence sa carrière comme pianiste de jazz, tout en suivant des études de sciences politiques et de sciences économiques. Philip Catherine, dont il produit le premier disque à l’instigation de Sacha Distel (« Streams », paru en 1972) l’incite à passer au piano électrique. En 1971, Moulin fonde le groupe de fusion (jazz-rock) Placebo qui enregistrera trois albums. En 1975, paraît son premier album solo, « Sam Suffy ».

Parallèlement à cette activité musicale, Marc Moulin entre à la RTB (radio-télévision publique belge), à la demande de Benoît Quersin. Ses goûts musicaux originaux autant que sa passion pour le son font qu’il va rapidement marquer de son empreinte des émissions radios comme Cap de nuit, Dimanche Musique, King Kong, Radio Crocodile, et surtout, de 1978 à 1986, Radio Cité, sur la bande FM.

Cette notoriété coïncidera avec la formation du trio électronique à la fois pop et avant-gardiste, Telex, en compagnie de Dan Lacksman et Michel Moers. Leur tube « Moskow Diskow » fera danser la planète entière. En même temps toujours, il participera, avec l’auteur Jacques Duvall au lancement de la carrière de Lio. En 1980, Telex représente la Belgique  au concours Eurovision de la chanson.

En 1986, Telex et Radio Cité coupent le son. Commence alors, pour le compositeur et producteur, une nouvelle aventure en compagnie d’Alain Chamfort. Ils feront quatre albums ensemble. Marc Moulin est un producteur de plus en plus recherché. Ainsi son nom a-t-il également été associé à des disques de Julos Beaucarne, Les Tueurs de la Lune de Miel, Aksak Maboul, Jacques Duvall, Alec Mansion, Kid Montana, Viktor Lazlo, The Bowling Balls, etc.

En 2001, Marc fera un retour fracassant à la musique, en publiant sur le prestigieux label Blue Note ce qui deviendra une trilogie mêlant soul, jazz et musique électronique (« Top secret », « Entertainment » et « I am you ») qui lui vaudra 3 disques d'or en Belgique et un succès exceptionnel dans le monde entier .

Marc Moulin a également réalisé de nombreuses musiques pour la télévision, le cinéma et le théâtre avant de se laisser tenter par l’écriture d’un essai (« La surenchère (l’horreur médiatique) » en 1997) et de chroniques pamphlétaires hebdomadaires (« Humoeurs ») dans le magazine « Télémoustique », dix ans durant.

On lui doit également la création et l’animation, avec Jacques Mercier, des fameux jeux radiophoniques « Le Jeu des dictionnaires » et « La semaine infernale », pour la RTBF, ainsi que l’écriture de quatre pièces de théâtre montées au Théâtre de la Toison d’Or et au Théâtre Le Public. En janvier 2007 paraissait, sous la plume de Thierry Coljon, sa biographie, « Les neuf vies de Marc Moulin ».

Ainsi s’en va sur la pointe des pieds un grand esprit à la fois drôle et raffiné, touche-à-tout de génie, qui prit plaisir à assouvir toutes ses curiosités, tout en veillant toujours à faire partager au plus grand nombre sa passion pour les arts et la culture populaire.

(suivant communiqué de presse)

 

Un nouveau label vient de naître à Bruxelles : Spank Me More Records. Pour l’instant, il a signé trois formations : Pentark (post rock), iCu (solo Bass) et code314 (hip-hop instrumentale/dubstep). On suppose que d’autres artistes vont suivre. D’autant plus qu’il a décidé d’embrasser pour philosophie la rencontre entre les genres et les musiciens tout en proposant un catalogue à la fois éclectique et explosif. La première sortie aura lieu en novembre. Il s'agit du premier album de Pentark, "Ha ha ha !", un trio rock orienté Punk / Noise. Cette sortie ainsi que le lancement du label donneront lieu à une Release party le 22 novembre au Recyclart à Bruxelles, soirée co-organisée par le V.K. ! Outre les artistes du label, le groupe néozélandais Autistic Daughters, signé sur le label Kranky Records, se produira en tête d'affiche.

Pour plus d’infos : http://www.spankmemore.com

 

jeudi, 18 septembre 2008 14:04

Un ‘live’ pour Tiken Jah Fakoly

En l’espace d’une décennie, Tiken Jah Fakoly a réinventé ce souffle bouillonnant de l’artiste profondément militant. Engagé corps et âme dans la lutte contre l’injustice, la corruption et l’abus de pouvoir, il s’est armé d’un reggae explosif pour devenir le porte-parole des opprimés et pointer du doigt les politiciens. Après 8 albums (dont 5 sortis en France), pour la première fois, il nous propose un elpee ‘Live’, un disque immortalisé au Zénith de Paris, ponctuant sa dernière tournée sold-out. Il paraîtra ce 23 septembre.

(d’après communiqué de presse)

Pour plus d’infos : http://www.tikenjah.net et http://www.myspace.com/tikenjah

jeudi, 18 septembre 2008 14:02

Les roses noires de The Rasmus

Après s’être accordé un repos sabbatique de trois ans, le groupe finlandais The Rasmus vient de refaire surface en enregistrant un nouvel album. Il paraîtra ce 26 septembre. Contrairement à ce que son titre « Black Roses » laisse sous-entendre, les morceaux de ce nouvel album reflètent légèreté et fraîcheur. Le lieu de l’enregistrement y est sans doute pour quelque chose; l’album a en effet vu le jour sous le soleil grec. Un grand nom a également participé à la réalisation de cet album, à savoir Desmond Child, un personnage qui a travaillé notamment sur le premier single « Livin’ In A World Without You ». On lui doit également « Poison d’Alice Cooper » et « I Was Made For Loving You » de Kiss. Les amateurs de bonne musique des années ’80 et de glam rock savent ce qui les attend!

(d’après communiqué de presse)

Tracklisting

1. Livin' In A World Without You 
2. Ten Black Roses 
3. Ghost Of Love 
4. Justify 
5. Your Forgiveness 
6. Run To You 
7. You Got It Wrong 
8. Lost And Lonely 
9. The Fight 
10. Dangerous Kind 
11. Live Forever 

12. Yesterday You Threw Away Tomorrow 

Pour plus d’infos : http://www.therasmus.com et http://www.myspace.com/therasmus

 

 

jeudi, 18 septembre 2008 14:01

Le centre d’activité de Tahiti 80

Sur « Activity center », le groupe s’est autoproduit, à l’aise et allègre dans son propre studio à Rouen. ‘On a enregistré des pop song plus directes, on s’est débarrassés de notre habitude de truffer nos chansons de contrepoints et d’harmonies complexes, on a cherché à se mettre d’abord au service de la mélodie.’ Histoire de trouver, une fois de plus, une fraîcheur d’être.

Ça s’entend : « Activity Center » est un disque avec du grain et de l’élan, porté par un feeling ado irrésistible, truffé de tubes potentiels, comme le dansant « Unpredictable » ou le vibrant « All around ». Un mix de dream pop et de voltage rock, de Flaming Lips et de Flaming Groovies, qui sonne avant tout comme un retour aux sources. ‘On pensait beaucoup à American Graffiti et sa pop bubble gum’, confirme Xavier. ‘C’était une façon de se reconnecter à l’époque de notre adolescence où nous découvrions la musique’. Comme un retour au « Puzzle » mais avec dix ans d’expérience dans les mains et les têtes. Une innocence intacte mais dotée cette fois d’un centre de gravité assumé. Un disque jubilatoire et mûr, on vous dit.

(communiqué de presse)

Tracklisting :

1.  24 X 7 Boy 
2.  Unpredictable 
3.  All Around 
4.  Brazil 
5.  Fire Escape 
6.  One Parachute 
7.  Tune In 
8.  Dream On 
9.  White Noise
10.  Come Around 
11.  Whistle 
12.  Ear To The Ground 

Pour plus d’infos : http://www.tahiti80.com et http://www.myspace.com/tahiti80

 

 

samedi, 21 décembre 2019 15:55

Starring

Le deuxième album de The Tiny se déguste sans modération. Mais il convient d’entrer dans cet univers enchanté à pas feutrés. Cachées derrière un buisson, nos oreilles se délectent de cette étrange apparition. Les Suédois se posent là, à trois. Le violon sous le menton, Leo Svensson suit les mesures édictées par la contrebasse de Johan Berthling. Excentrique et fragile, le timbre de la belle Ellekari Larsson atteint des cimes lyriques tandis que résonnent les notes de son piano. A l’image d’une Kate Bush scandinave, la Suédoise plonge ses paroles dans un bain théâtral et sensuel. L’auditeur devient alors le confident de ses déboires sentimentaux. Déroutante, sa voix se fait aussi l’écho du halo folklorique de Joanna Newsom. Ces références entendues, le royaume de The Tiny s’éclaire. Les pleurs célèbrent un état de béatitude permanent. Timides et effarouchés, les refrains restent discrets. Profitant d’une envolée mélodique, ils se laissent soudain apprécier. « My Mother », « Know Your Demons » et « Everything Is Free » révèlent alors toutes leurs subtilités harmoniques. Le monde minuscule de The Tiny est donc meublé de grandeurs. Peut-être irritante pour les non-initiés, la tessiture d’Ellekari serpente au beau milieu des sentiments humains. Entre tristesse et désespoir, le trio a puisé son inspiration. Accompagné d’Ed Harcourt sur « Sorry », The Tiny s’excuse. Oui, mais de quoi ? D’exalter nos émotions ? De toucher aux faiblesses de la passion ? Rien de grave, en somme. Mais attention : le romantisme a ses limites…

mardi, 09 septembre 2008 18:58

Hector Zazou nous a quittés…

Hector Zazou nous a quittés le 8 septembre 2008 à Paris, dans sa soixantième année, à la veille de la parution d'un nouvel album enregistré en Inde (« In The House Of Mirrors »). Explorateur fasciné des musiques du monde, pionnier des expérimentations électroniques, amoureux des voix féminines et des quatuors à cordes, arrangeur délicat et amateur d'ambiances rock étranges, Hector Zazou n'a cessé de surprendre à chaque nouvel album, naviguant entre les genres pour créer les mélanges les plus subtils. En témoigne une discographie riche d'albums originaux et souvent précurseurs, tels que « Barricades 3 » (1976, avec Joseph Racaille), « Noir et Blanc » (l'album qui posa les bases de la fusion afro-électronique, enregistré en 1983, en compagnie du chanteur congolais Bony Bikaye), « Les Nouvelles Polyphonies Corses » (lauréat d'une Victoire de la Musique en 1992), « Sahara Blue » (1992, avec John Cale, Bill Laswell, Khaled...), « Chansons des Mers Froides » (1994, avec Björk, Suzanne Vega, Siouxsie), « Lights In The Dark » (1998, avec Brendan Perry, Ryuichi Sakamoto, Peter Gabriel) et une quinzaine d'autres, qui lui ont conféré une place de premier rang sur la scène internationale.

Réalisateur sollicité, il a entre autres travaillé avec les chanteuses Yungchen Lhamo (Tibet), Sevara Nazarkhan (Ouzbékistan) et Laurence Revey (Suisse) ainsi que le flûtiste galicien Carlos Nuñez ou le groupe italien PGR.

Musicien respecté par ses pairs, il a collaboré aux œuvres de Jon Hassell, Manu Dibango, John Cale, Harold Budd, Brian Eno, Peter Buck, Bill Rieflin, Nils Petter Molvaer, Laurie Anderson, Lisa Germano, David Sylvian, Jane Birkin, Lisa Gerrard, Asia Argento,...

(Suivant communiqué de presse)

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