François Staal revient sur l’île de Bréhat…

François Staal retourne aux sources de son enfance à travers son nouveau clip consacré à « Bréhat (Enez Vriad) », extrait de son dernier album « L'Humaine Beauté ». Il part en tournée de 17 concerts en Bretagne, dont 15 seront accordés sur l’Ile de Bréhat, du…

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Bernard Dagnies

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mardi, 23 octobre 2007 22:42

Comicopera

Pour enregistrer son douzième opus solo, Robert Wyatt a reçu la collaboration de quelques pointures et notamment Brian Eno, Paul Weller et Phil Manzanera. Sans oublier son épouse Alfie Benge, qui se réserve également les lyrics de plusieurs plages. Et puis du saxophoniste Gilad Atzmon, la tromboniste Annie Whitehead ainsi que le violoncelliste Aaron Stavi. Un album que Bob a produit et dont les sessions d’enregistrement se sont déroulées chez lui à Louth, mais également dans les studios Gallery de l’ex-guitariste de Roxy Music.

Vu la liste des invités, on se doute que Wyatt en est revenu à une forme plus prog. Prog jazz atmosphérique, bien évidemment ; et la structure de cet opus, découpé en trois actes, rappelle inévitablement la forme du concept album. Trois parties sous-titrées « Lost in noise », « The here an the now » et « Away with the fairies ». La première se révèle plus classique pour Waytt, dans l’esprit de « Rock Bottom » et de « Ruth is stranger than Richard », même si les cuivres sont beaucoup plus présents, Robert jouant de plus en plus de la trompette. La poésie y est davantage mise en évidence, également. Celle de son épouse, bien sûr. Wyatt y reprend également le « Stay tuned » d’Anja Garbarek. Un morceau remarquable d’intimisme et de profondeur qui baigne dans un climat mélancolique, presque sinistre. Et les quatre autres titres de ce premier acte sont de la même trempe. La voix de l’ex-Soft Machine, parfois rejointe par celle d’une invitée (Karen Mantler ? Monica Vasconcelos ?), épousant très souvent l’instrumentation éthérée, intense, très cuivrée, sculptée dans le soft jazz.

La deuxième est partagée entre expérimentation sonore et textes à l’engagement spirituel, politique ou social. Wyatt y condamne l’intervention en Irak sur l’intense « Out of the blue », un fragment électro-psychédélique au cours duquel la voix de Brian Eno est particulièrement triturée. Il enveloppe sa rage dans l’introspectif et faussement allègre « A beautiful war » et blâme l’incompétence du gouvernement britannique en matière d’urbanisme sur « A beautiful peace ». Mais nous propose aussi un concert de casseroles à résonnance cubaine sur l’insolite « On the town square » ou encore trempe « Serious », dont le swing très excitant est entretenu par Paul Weller, invité à bien syncoper ses accords de guitare. Reste « Mob rule » » qui s’inscrit davantage dans l’esprit du premier volet.

Pour la troisième partie, il a décidé de ne plus chanter dans la langue de Shakespeare. C’est sa manière de contester l’omnipotence de certains de ses compatriotes. Passons sous silence l’anecdotique « Pastafari », recherche pure sur les sonorités d’un vibraphone, et la minute trente-huit de « Fragment », dont une bonne moitié est consacrée au passage d’une bande à l’envers (NDR : à une certaine époque, cette forme d’avant-gardisme était à la mode), pour épingler « Cancion de Julieta », une plage envoûtante, énigmatique, hypnotique de 7’30, chantée en espagnol. Et sur un poème de Garcia Lorca. Le solennel (ces arrangements de cordes pincés et cet orgue d’église !) et bouleversant « Del mondo », chanté en italien. Et le final « Hasta siempre comandante », dont le climat jazz atmosphérique est tourmenté par des accès répétés de rythmes cubains, avant de succomber au charme de ces percus latino.

A 62 balais Wyatt est toujours aussi intrigant, touchant, amusant, audacieux et provocateur. Et il n’est pas prêt de retourner sa veste. « Comicopera » en est, une nouvelle fois, une belle démonstration.

mardi, 23 octobre 2007 22:38

Magic

Cinq ans que l’E Street Band n’avait plus enregistré en compagnie du boss. Aussi on pouvait s’attendre à un album très rock et énergique comme seul Springsteen est capable de nous fourguer. Ce n’est pas tout à fait ce qu’il nous a concocté. En fait, passé le premier titre, « Radio nowhere », plutôt enlevé et bien cadencé, l’opus fait la part belle à la pop mélodique hyper léchée. S’il n’y avait l’instrumentation luxuriante et les accès de saxophone, plusieurs compos auraient même pu figurer au répertoire de REM. On a même droit à des arrangements de cordes fastueux sur l’apaisant « Your own worst enemy » et à une chanson réminiscente du New Mersey Sound. Celui d’Icicle Works, très exactement, sur « Girls in their summer clothes » ; Bruce empruntant même les inflexions de Ian McNabb. Surprenant ! Heureusement, le reste de l’opus redresse la barque. Tout d’abord « Gypsy biker » et « Long walk home », deux plages sculptées dans un rock bien carré et hymnique ; voire « Last to die », malgré les arrangements symphoniques assez envahissants. Parcouru par un harmonica et élégamment balayé par une section de cordes, « I’ll work for your love » mêle habilement instrumentation électrique et acoustique. Une très belle chanson aux accents dylanesques. Tout comme le titre maître, une ballade émouvante privilégiant guitare sèche, mandoline et violon. Ainsi qu’un bonus track, au cours duquel Springsteen se fend d’un titre folk épuré, limité à la voix, au piano et à la sèche. Le spectre du Zim n’est pas loin. A moins que ce ne soit celui de Pete Seeger. Il ne faut pas oublier que l’an dernier, Bruce avait consacré l’intégralité d’un album à des reprises de l’activiste new-yorkais. Et aussi bien Bob que Bruce vouent une grande admiration à Seeger, tout en demeurant très engagés dans les domaines écologique, sociologique et politique. « Magic » n’échappe pas à la règle et notamment le bouleversant « Devil’s arcade ». Bruce dit tout le bien qu’il pense des pertes subies par les Etats-Unis en Irak. Construit en crescendo, ce morceau imprimé sur un tempo new wave oscille entre minimalisme et maximalisme. Bref, à 58 ans le boss a encore de beaux restes. Mais à mon humble, avis en choisissant Brendan O’Brien (Pearl Jam, Aerosmith, Red Hot) pour le produire, il n’a pas fait le bon choix.

I-tunes:

http://phobos.apple.com/WebObjects/MZStore.woa/wa/viewAlbum?id=263087969&s=143446

MSN-music:

http://sib1.od2.com/common/product/Product.aspx?shop=40&associd=5&catno=OD2DI6208931

 

 

 

lundi, 31 décembre 2001 01:00

How I long to feel that summer in my heart

Les douze titres qui figurent sur le 7ème album studio de cet ensemble gallois ont été enregistrés à la même époque que ceux du superbe mini elpee, " The blue trees ". Pastorale, rafraîchissante, mais beaucoup moins minimaliste que sur ce précédent opus, la musique des Gorky's explore, encore et toujours, la nature douce-amère de la nostalgie. La différence majeure entre les deux œuvres procède des arrangements. Toujours aussi soignés, n'ayez crainte. Mais beaucoup plus riches, ils flirtent parfois avec le symphonisme ou le jazz cuivré. Cependant, la formation opère cette mise en forme avec tellement de subtilité, qu'on a parfois l'impression que leur matière grise est déchirée entre le psychédélisme sinusoïdal des Fab Four, alors sous l'influence de " Lucy in the sky with diamonds ", et le folk de Stackridge (NDR : un ensemble né au cours de seventies, réputé pour son style à la fois pastoral, médiéval et humoristique). Plusieurs titres de cet elpee épousent cependant une forme plus pop, plus contagieuse. Et la présence de Norman Blake ainsi que de Teflon Monkey des Fannies, n'y est pas étrangère. Bref, empreint de délicatesse, de quiétude et de mélancolie douce, " How I long to feel that summer in my heart " nous entraîne au fond d'un jardin secret. Un espace magique peuplé de fées qui nous envoûtent de leurs charmes…

 

 

 

 

mardi, 23 octobre 2007 22:17

Eleven continents

“Eleven continents” constitue le premier opus né de la rencontre entre Ryan Francesconi et Lili De La Mora. Le premier cité est un musicien réputé dans le domaine de l’électronique. En quatre années, il a réalisé trois elpees. La seconde est chanteuse. Elle milite au sein de The Year Zero, une formation californienne. De Los Angeles, très exactement. Elle possède une superbe voix. Délicate, douce, éthérée, angélique et sensuelle. Proche d’une Miki Berenyi. Le second a mis ses laptops et ses synthés au placard. Il s’est concentré sur la basse, le piano Rhodes et la guitare. Acoustique surtout. Il la joue en picking. Le duo a reçu le concours de quelques collaborateurs. Joanna Newsom, tout d’abord. A la harpe. La chanteuse Fabiola Sanchez, ensuite. Dont le timbre est aussi fragile que celui de Lili. Curieux, parce qu’au sein de Familiar Trees, c’est Ken Negrete qui se charge des vocaux. Il est aussi de la partie. Au piano. Les autres guests se partageant violoncelle, trompette, flûte, alto et percussions.

Les arrangements sont complexes. Les compos introspectives, visionnaires et élégiaques. Comme si une brise rafraîchissante balayait avec grâce, sensibilité et élégance les douze fragments de cette œuvre aux tonalités chatoyantes et argentines. « Eleven continents » devrait plaire aux mélomanes qui ne jurent que par Cocteau Twins, Hammock, The Innocence Mission et bien sûr les Familiar Trees.

 

 

La grande salle de la Maison de la Culture était presque pleine pour accueillir An Pierlé et son White Velvet. Pas vraiment un endroit adapté pour un concert de pop ou de rock, vu sa configuration en gradins et ses chaises (davantage destinée aux spectacles de théâtre, de cinéma ou de variétés et surtout de musique classique), mais finalement jugé très confortable par la majorité du public présent au cours de soirée, un public constitué pour la majorité de trentenaires, de quadragénaires et même de quinquas. En avril 2002, l’artiste s’était produite dans la petite salle devant un parterre réunissant essentiellement des jeunes. Depuis, elle a quand même commis un opus en compagnie d’un orchestre symphonique ("Live Jet set with Orchestra") et l’an dernier, « An Pierlé & White Velvet ». Il était donc fort intéressant de la revoir, sous un nouvel angle…

En première partie, Allan Muller s’est fendu d’un set d’une demi-heure. Muller n’est pas un néophyte, puisqu’en 1994, il militait chez Metal Molly, une formation belge responsable de trois albums. En 2003, il a également transité par Satellite City, un groupe dont les deux elpees sont passés inaperçus. Il a sorti, en mars dernier, un opus solo intitulé « Resting My Case ». Allan chante en s’accompagnant d’une gratte acoustique électrifiée. Il possède une belle voix dont les inflexions peuvent rappeler Mark Eitzel, mais en plus optimiste. Il entame son concert par la cover d’« Accident will happens » d’Elvis Costello, et embraie par plusieurs compos de son opus solo. C’est sympa, c’est frais, mais trente minutes suffisent amplement. A revoir dans un local de plus petite taille. Un club ou un bar, par exemple…

Cinq minutes plus tard, An Pielé et son White Velvet montent sur les planches sous les applaudissements. An est vêtue d’une robe noire signée Sonia Rykiel. Ample mais mi-courte. De couleur noire. Elle est d’ailleurs tout de noir vêtue, y compris les collants. Elle se dirige immédiatement vers son piano sis à gauche de la scène et s’assied sur son traditionnel ballon ergonomique transparent. Les musiciens sont disposés de manière assez curieuse. En escalier. De droite à gauche, Koen Gisen le guitariste et pilier du groupe (c’est également le compagnon d’An). Au même niveau, le drummer. Il a une très longue chevelure qui lui couvre la quasi-intégralité du dos. Face à lui : un minimum de toms et une cymbale. Dans ses mains deux baguettes. Il joue debout. Un peu plus haut, le bassiste ; épisodiquement, il redescend s’asseoir pour jouer du violoncelle. On monte encore d’un cran où se cache presque Tom Wolf, préposé au laptop, à la sèche et aux backing vocaux. Un des deux musiciens de tournée. Le second, Dominique Vantomme trônant à sa droite derrière ses claviers, lorsqu’il ne vient pas remplacer Pierlé aux ivoires –après avoir pris soin de remplacer le ballon par un tabouret– lorsqu’An se consacre exclusivement au micro. Et manifestement si elle arrache une dose phénoménale de sensibilité de son piano, Dominique est un surdoué.

La première chanson nous plonge dans une atmosphère jazzyfiante, languissante, proche même d’un Robert Wyatt, s’il n’y avait les chœurs très mâles en fin de parcours. Pour « Good year », les claviers se font vintage alors qu’An chante avec un peu de reverb dans la voix. Une voix superbe, ample, sensuelle, dont le timbre peut osciller de Kate Bush à Tori Amos en passant par Hope Sandoval et Tanya Donnelly (NDR : à moins que ce ne soit Kristin Hersh). Les compos oscillent entre morceaux empreints de quiétude, d’intimisme (lorsqu’elle s’assied sur le bord du podium), parfois même dramatiques (« It’s got to be me » surtout !) et titres plus pêchus. Tout en y manifestant tantôt de l’émotion, de l’énergie, du charme ou de l’humour. Beaucoup d’humour même, notamment lorsqu’elle propose comme remède à nos problèmes de sexualité ou de kilos superflus d’acheter son cd à l’issue du spectacle. Ou lors du rappel, lorsqu’à l’instar d’une Liza Minnelli, elle passe la main ou le pied derrière le rideau, avant de réapparaître hilare. Mais revenons-en au contenu du show. On épinglera ainsi un « How does it feel », au cours duquel claviers atmosphériques et riffs de guitares ‘reverb’ tissent une trame presque floydienne circa « Echoes ». Sans oublier ce morceau assez insolite partagé entre An et Peter. Ce dernier joue sur le dossier d’une chaise pendant qu’An chante en s’accompagnant aux ivoires. Elle taxera même ce passage de numéro de cirque. « Jupiter », moment choisi par An pour siffloter. Le légèrement reggae « Tower » qui se mue lors du final en chaos organisé, presque psychédélique. L’accordéon, elle ne l’empoignera que pour interpréter « Not the end ». On ne l’entend presque pas, mais à cet instant sa longue silhouette et son piano à bretelles se déploient comme un éventail. Le charleston « Any time you live ». Elle en profite alors pour se livrer à quelques petits pas de claquettes. Et puis deux nouvelles chansons. En final, elle demande au public de se lever pour faire un peu la fête. Et, enfin, survolté il acclame et participe en frappant généreusement dans les mains à sa reprise du « C’est comme ça » des Rita Mitsuko. Elle arpente alors toute la largeur du podium, en tournoyant sur elle-même.

Les applaudissements sont nourris et après avoir passé le pied, puis la main derrière le rideau, An revient s’installer derrière son piano. Au grand complet son team la suit comme son ombre. Et ils se lancent dans une remarquable version du « It’s a shame » de Talk Talk. La formation s’éclipse, mais le public en demande encore. Ce sera une adaptation en français du « Anytime you leave ». Nouvelle ovation et remerciements de l’équipe qui bras-dessus, bras-dessous vient saluer une dernière fois le public. Pas de « Sing song Sally » dans le tracklisting de ce set, mais une chouette soirée au cours de laquelle tout le monde s’en est retourné ravi. Une chose est sûre, en ‘live’, bien soutenue par son Velours Blanc, An Pierlé prend une toute autre dimension, sans pour autant attraper la grosse tête. Et cela méritait d’être souligné.

vendredi, 19 octobre 2007 20:10

Justin Timberlake prolifique!

Justin Timberlake a décidé de rééditer son album « FutureSex/LoveSounds » dans une édition Deluxe, qui contiendra en plus un DVD de tous ses clips (« SexyBack », « What Goes Around ... Comes Around », « My Love », et « LoveStoned/I Think She Knows »), ainsi que des plages inédites dont une nouvelle version d’« Until The End Of Times » impliquant Beyonce. Il paraîtra ce 20 novembre. Dans la foulée, soit une semaine plus tard, un double-DVD intitulé « FutureSex/LoveShow », retraçant les deux heures trente de concert qu’il a accordées en août dernier au Madison Square Garden, le tout enrichi d’interviews et autres surprises, devrait être dans les bacs...

Pour plus d’infos : http://www.justintimberlake.com

vendredi, 19 octobre 2007 20:10

Ben Ricour en image…

Le deuxième album de Ben Ricour paraîtra le 26 octobre. Intitulé « Ton image », il a été coréalisé par Patrice Renson et Olivier Lude. Ben a accordé une interview à Musiczine qui sera publiée la veille de la sortie de cet opus.

Tracklisting :

1.Amoureux/Amoureux

2.L'heure d'Hiver

3.Tu Es Attendue

4.Aimez-vous La Chanson?

5.Mammifère

6.Cinq Minutes

7.1/4 de Sang

8.Scuse Moi

9.Ton Image

11.Sors de L'Ombre

12.Alors, T'es Là...

 

 

Et il sera sur scène :

 

01/11 Caen – Zénith  – En 1ere Partie De Vanessa Paradis

02/11 Rouen - Zénith  – En 1ere Partie De Vanessa Paradis

06/11 Nantes

08/11 Paris - Le Zèbre

13/11 Le Chambon Feugerolles – Festival Les Oreilles En Pointe

14/11 Paris - Zénith – En 1ere Partie De Vanessa Paradis

20/11 Chartres

24/11 Bully Les Mines – Espace François Mitterrand

06/12 Orleans – Zénith  – En 1ere Partie De Vanessa Paradis

07/12 Lille - Zénith  – En 1ere Partie De Vanessa Paradis

08/12 Montreuil – L’argo’notes

14/12 Vertou – Salle Sèvre Et Maine

En attendant, voici le lien qui vous permettra de découvrir le clip de son single « L’heure d’hiver » :

http://streamos.warnermusic.com/wmedia/wmifrance/warnermusic/ben_ricour/ton_image/video/lheuredhiver.wmv

 

Pour plus d’infos :  http://www.benricour.com et http://www.myspace.com/benricour

 

 

vendredi, 19 octobre 2007 20:02

Yael Naim : un premier album chez Tôt ou Tard

Née en 1978 à Paris, Yael a longtemps vécu à Ramat Hacharon, petite ville non loin de Tel-Aviv. D’origine tunisienne, ses parents s’y sont installés alors qu’elle n’avait que 4 ans. Après 10 années de conservatoire, elle prend goût à la pop, le jazz et le folk et revient à Paris en 2000. Paru en 2001, « In a Man’s Wom », son premier elpee, est un échec. C’est David Donatien, un type qui a notamment travaillé en compagnie de Bernard Lavilliers qui va la remettre sur rails. Et coproduire son nouvel opus éponyme dont la sortie est prévue pour ce 22 octobre.

Tracklisting :

1 Paris

2 Too long

3 New soul

4 Levater

5 Shelcha

6 Lonely

7 Far far

8 Yashanti

9 7 baboker

10 Lachlom

11 Toxic

12 Pachad

13 Endless song of happiness

Elle se produira du 23/11/07 au 8/12/07 à la Boule Noire de Paris

Pour regarder la vidéo du single « New Soul » :

http://www.totoutard.com/artistes/artistes.php?idartiste=90

On en profite pour vous informer que le site du label Tôt ou Tard a fait peau neuve. C’est l’occasion d’aller y jeter un coup d’œil : http://www.totoutard.com

 

 

vendredi, 19 octobre 2007 20:02

Murder : le syndrome de Stockholm…

Alias Jacob Bellens et Anders Mathiasen, le duo danois Murder, est passé maître dans l'art de la musique douce et mélancolique. Leur deuxième album « Stockholm Syndrome » a récolté de nombreuses nominations et critiques élogieuses dans leur pays. Une voix singulière et des références qui oscillent de Nick Drake à The Coral caractérisent cette musique sincère, sorte de compromis entre la mélancolie typiquement nordique et une americana enjouée. Ces deux hommes s'apprêtent à faire fondre la glace. (source : communiqué de presse)

Vous pouvez écouter quelques extraits sur:

http://www.myspace.com/murderdk

Ils seront en concert:

 e 31/10  4AD, Diksmuide

le 01/11  De Avonden, Petrol, Antwerpen

le 03/11  AB, Brussel

le 04/11  Maldegem

 

mercredi, 17 octobre 2007 13:49

Nada surf : une nouvelle chance…

La sortie du nouvel album de Nada Surf est prévue pour le 5 février 2008. Il s’intitulera « Lucky » et a été coproduit par la formation et John Goodmanson (Death Cab For Cutie, Blonde Redhead, Sleater-Kinney). Parmi les invités figurent Ben Gibbard de Death Cab, Ed Harcourt, John Roderick des Long Winters et le guitariste Phil Wanderscher de Jesse Sykes & the Sweet Hereafter. Il s’agit du cinquième opus du trio new-yorkais. Dans la foulée, la formation partira en tournée.

Tracklisting

01. Weightless

02. Whose Authority

03. Beautiful Beat

04. Here Goes Something

05. From Now On

06. I Like What You Say

07. Ice on the Wing

08. The Film Did Not Go 'Round

09. The Fox

10. Are You Lightning?

11. See These Bones

 

Pour plus d’infos : http://www.cityslang.com/media et http://www.nadasurf.com