Yes SIHR !

Après quelques concerts / projections improvisés en duo, au Caire et à Beyrouth, pour les rencontres d’Arles, le centre photographique de Lille ou la revue belge Halogénure, Dargent et Oberland s’associent aux francs-tireurs Elieh et Halal pour un manifeste…

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Lorsque Komodor rencontre Moundrag…

Komodrag & The Mounodor est le fruit de la rencontre entre les formations bretonnes, Komodor et Moundrag. Le premier contact s’est produit lors d’un set de Komodor. Les deux membres de Moundrag décident de rejoindre le groupe sur scène, à la fin de leur live,…

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Bernard Dagnies

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Bjorn Eriksson (Maxon Blewitt, Admiral Freebee, Ex-Zita Swoon) and Nathalie Delcroix (Lais, Admiral Freebee, Prima Donkey) ont monté un nouveau projet : The Partchesz. Un projet destiné à mélanger la country, l’humour et l’électronique sombre. Les sessions d’enregistrement de leur album se sont déroulées aux studios  Erikssons studio. Eponyme, il paraîtra le 27 août.

En ‘live’, le duo se produit en compagnie de Peter Pask (Maxon Blewitt, The Go Find), Tim Coenen (The Go Find, New Galaxy Orchestre, Roadhouse Lebra), et le père d’Eriksson, Karl Eriksson.

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/thepartchesz

 

mardi, 14 août 2007 10:44

Richard Hawley : un nouvel album

Le nouvel opus de Richard Hawley paraîtra le 20 août. Intitulé Lady’s Bridge, il a été enregistré entre janvier et juin de cette année.

Tracklisting :

Valentine

Roll River Roll

Serious

Tonight The Streets Are Ours

Lady Solitude

Dark Road

The Sea Calls

Lady’s Bridge

I’m Looking For Someone To Find Me

Our Darkness

The Sun Refused To Shine

En attendant, il vous est loisible de découvrir le premier single, "Tonight, The Streets Are Ours", sur  http://www.youtube.com/watch?v=5eBkrs4YpzI

Pour plus d’infos : www.richardhawley.co.uk

 

mardi, 14 août 2007 10:43

Eddie Vedder en solo!

Le 18 septembre paraîtra la bande sonore du film adapté du livre de Jon Krakauer, "Into The Wild". A la demande du réalisateur, Eddie Vedder (Pearl Jam) a composé la musique du long métrage.

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/trailerpark

mardi, 14 août 2007 10:42

Un album solo pour Kevin Drew !

Kevin Drew, un des leaders de Broken Social Scene, a enregistré un album solo. Sa sortie est prévue pour le 17 septembre. Il s’intitule "Broken Social Scene presents …"

Kevin Drew (fondateur du groupe) a écrit tout les morceaux de ce premier projet, il est accompagné par les autres membres de Broken Social Scene et quelques 'special guests' dont sa copine Feist.

Pour chaque nouvel album, ce sera un autre membre de Broken Social Scene qui écrira les morceaux.

 

mardi, 14 août 2007 10:42

Frank Black : un nouvel album

Charles Thompson est de retour ! Son nouvel album, « Bluefinger » paraîtra le 3 septembre.

Tracklisting

1. captain pasty

2. threshold apprehension

3. test pilot blues

4. lolita

5. tight black rubber

6. angels come to comfort you

7. your mouth into mine

8. discotheque 36

9. you can't break a heart and have it

10. she took all the money

11. bluefinger

Pour plus d’infos : http://www.frankblack.net

Devendra Banhart a révélé le titre de son futur et cinquième album: 'Smokey Rolls Down Thunder Canyon'. IL pafraîtra le 24 septembre.

Certaines de ses chansons peuvent déjà être écoutées sur MySpace : http://www.myspace.com/devendrabanhart

Tracklisting

1. Cristobal

2. So Long Old Bean

3. Samba Vexillographica
 
4. Seahorse
 
5. Bad Girl
 
6. Seaside
 
7. Shabop Shalom
 
8. Tonada Yanomaminista
 
9. Rosa
 
10. Saved
 
11. Lover
 
12. Carmencita
 
13. The Other Woman
 
14. Freely
 
15. Remember
 
16. My Dearest Friend


 

 

 


 

 

 

"Places Like This", le nouvel opus d’Architecture In Helsinki est sorti.

Tracklisting :

1. Red Turned White 

2. Heart It Races 

3. Hold Music 

4. Feather in a Baseball Cap 

5. Underwater 

6. Like It or Not 

7. Debbie 

8. Lazy 

9. Nothing's Wrong 

10. Same Old Innocence

La video du premier single 'Heart it races' est accessible : http://del.interoute.com/?id=56a0ae92-3815-4437-9a57-23b381ba566f&delivery=stream

 
Pour plus d’infos : http://architectureinhelsinki.com

 

 

“Like Love Lust & The open halls of the soul” constitue le troisième album de Jesse Sykes & The Sweet Hereafter, une formation au sein de laquelle on retrouve l’ancien guitariste de Whiskeytown, Phil Wanscher. Ce qui n’a pas empêché la chanteuse de faire appel à toute une panoplie de collaborateurs, dont le chanteur/compositeur/guitariste scandinave Nicolai Dunger, le claviériste de jazz Wayne Horvitz et le violoniste/compositeur avant-gardiste Eyvind Kang. Et de confier la production à Martine Tucker ( Decemberists, The Long Winters ), Martin Feveyear ( Mark Lanegan, Kings of Leon ) et même pour un titre à Randall Dunn ( Kinski, SunnO))) ). Basiquement alt country, cet opus embrasse une foultitude de styles musicaux différents. Et la richesse de l’instrumentation y est sans doute pour quelque chose. Balayés de soupirs célestes, « Spectral beings » épouse un profil sophistiqué et psychédélique digne de Love. Parce que les arrangements de cuivres et de cordes sont légion sur un peu plus de la moitié des compos. La guitare peut même atteindre l’intensité électrique d’un Crazy Horse, sur l’excellent « LLL », dont le rythme est pourtant calqué sur une valse. Une constante : la voix de Jesse. Tour à tour veloutée, râpeuse, douce-amère, confidente, elle traduit parfaitement la fragilité des émotions humaines, qu’elle épanche à travers ses lyrics. Hormis le plus allègre et presque dansant « You might walk away », la plupart des chansons évoluent sur un tempo particulièrement lent. Un peu comme chez Cowboy Junkies. Et dans le registre, le remarquable « How will we know ? » baigne au sein d’un climat fiévreux digne du « If I Could Only Remember My Name » de David Crosby. Alors que tout au long du douloureux « The air is thin » le murmure poussiéreux de Sykes finit par rejoindre un chœur presque gospel. Sans oublier « Aftermath », une ballade cuivrée qui glisse un orteil dans le jazz. Dans un autre style, « I like the sound » réverbère le son des la pop de la fin des sixties, et en particulier celui des Mamas & The Papas. Et si le reste opte résolument pour une formule nettement plus country/folk, ce n’est jamais sans saveur, ni sans surprise. A l’instar du sensuel et languissant « Hard not to believe ». Un bien bel album !

lundi, 06 août 2007 21:54

All of yesterday tomorrow

Le label indépendant RROOP a décidé de consacrer une compilation à la formation Amp. Une excellente initiative à mettre à leur actif. D’ailleurs ce label n’en est pas à son coup d’essai. Dans le passé, il s’est ainsi intéressé à Yellow 6. E de nouveaux projets sont pour l’instant à l’étude. Partagé en trois disques, ce superbe coffret recèle la bagatelle de 38 morceaux dont 10 figuraient sur « Passé présent », un vinyle datant de 1998 qui réunissait des singles de la formation, des versions alternatives de morceaux déjà parus, des inédits, des démos, des plages exclusivement gravées sur compilation, des flip sides et des raretés. Sans oublier une cover de Silver Apples et une autre de Spacemen 3. Les plages ne respectent pas l’ordre chronologique, mais les explications fournies par les notes de la pochette sont suffisamment précises pour s’y retrouver. On apprendra ainsi que Richard Amp a créé le projet en 1990. Il est le seul membre fondateur encore présent au sein du line up. La chanteuse Karine Charff y milite depuis 1994. Vingt-sept collaborateurs ont transité par le ou collaboré au groupe à des époques différentes. En quinze années d’existence, ce n’est donc pas trop surprenant. Parmi les plus notoires on retiendra les participations de Dave Pearce (Flying Sauce Attack), Matt Elliott (Third Eye Foundation) et Robert Hampton (Main).

Evoluant dans un style musical baptisé avant/rock/drone noise, le groupe tire et a tiré aussi bien parti de l’instrumentation conventionnelle (guitare surtout) qu’électronique. Suivant les périodes davantage vers l’une que vers l’autre. Et le résultat se révèle souvent fort intéressant. Son univers sonore kaléidoscopique lui a permis d’embrasser des styles aussi différents que le trip hop, l’ambient, l’electronica, l’électronique avantgardiste, la noisy et même la pop, des styles qui peuvent évoquer tantôt My Bloody Valentine, Terry Riley, Steve Reich, Loop, Galaxie 500, Slowdive, Portishead, Brian Eno et la liste n’est pas exhaustive. Tour à tour expérimentale ou mélodique, la musique d’Amp s’adresse d’abord à génération génétiquement modifiée. Et franchement, après avoir passé 3 heures et demie dans un labyrinthe traversé de feedback, de distorsion, de bourdonnements, de rêveries pastorales, de berceuses énigmatiques, de tempêtes aventureuses, de dissonances subtiles, de vocaux visionnaires, de pulsations et de tourbillons électriques, ce sont les circuits imprimés du cerveau qui sont modifiés. N’empêche ce box retrace de la plus belle des manières l’histoire d’un groupe devenu, au fil du temps, une véritable référence dans l’histoire de la musique pop/rock…

lundi, 06 août 2007 21:45

Part-Monster

En dix années d’existence, Piano Magic a enregistré la bagatelle de sept albums studio (on passera donc sous silence les éventuelles compiles) ; « Part-Monster » constituant le septième. Un disque qui fête le retour de la collaboratrice ponctuelle/habituelle (biffez la mention inutile) et membre de Klima, Angèle David-Guillou, dont la voix me rappelle parfois celle d’Anneli Drecker. Le solennel « Soldier song » évolue ainsi dans un registre fort proche de Bel Canto, même si les samples, sont ici remplacés par de véritables cordes acoustiques. Elle ne chante pas sur tous les morceaux, mais son timbre troublant apporte, à chacune de ses interventions, une sensibilité davantage mélancolique. Et on imagine la dose d’émotion libérée sur cet opus, lorsqu’on sait que celle de Glen Johnson est à la fois fragile et torturée. Glen est également le leader de la formation et surtout le compositeur. Souvent autobiographiques, ses lyrics n’hésitent pas à vilipender le système social et politique en Grande-Bretagne. Et au vu de son vécu, il en a des choses à raconter. Au sein du line up de Piano Magic, on recense pour l’instant trois Français et deux Britanniques. Une formule à géométrie variable qui n’influe guère sur le style du groupe, résolument focalisé vers le début des eighties. L’ombre de Sad Lovers & Giants plane ainsi sur le très atmosphérique « The king cannot be found » ; mais surtout sur le fantastique « The last engineer », une plage sculptée dans les cordes de guitare chatoyantes, éthérées, effervescentes et envoûtantes. Celle de Luna hante les contagieux « Incurable (reprise) » ainsi que le pastoral et mystérieux titre maître, même si cette chanson qui clôt l’opus privilégie les tonalités acoustiques. De Durutti Columnn, tout au long de l’instrumental épique « Great escapes ». Et même de My Blooddy Valentine lorsque « Saints preserve us » nous immerge dans sa noisy nébuleuse. Une impression qui n’est pas surprenante, lorsqu’on sait que c’est Guy Fixsen (Laika, Pixies, Moonshake, Breeders, Stereolab, Lush, Slowdive, Chapterhouse, Moose et surtout la bande à Kevin Shields pour l’album incontournable « Loveless ») qui en assure la production. Dans un registre différent, embué de trompettes aériennes, « England’s always better (as you’re pulling away) » campe un requiem douloureux et intimiste que n’aurait pas désavoué Nick Cave. La voix de Simon Rivers, le chanteur de The Bitter Spring, invité pour la circonstance, se révélant aussi profonde et abrasive que celle du crooner australien.