Dorian Sorriaux croit au changement…

Guitariste-chanteur dans l’univers du psyché/folk, Dorian Sorriaux a sévi comme guitariste au sein du groupe suédois Blues Pills. Il s’émancipe en explorant de nouveaux univers musicaux, et notamment à travers un folk plus acoustique et des textes plus…

logo_musiczine

Une petite souris dans le Corridor…

Corridor sortira son nouvel elpee, « Mimi », le 26 avril 2024. Réunissant 8 plages, il recèlera des pièces maîtresses telles que "Jump Cut", "Mon Argent" et "Mourir Demain". Il a été masterisé par Heba Kadry Mastering, à Brooklyn. Toutes les chansons de «…

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Enter Shikari - Ancienne ...
mass_hysteria_ab_04
Taï

Taï

Complémentairement à la sortie de leur nouveau single, « AM/FM », !!! vient de poster sa nouvelle vidéo. Réalisée sous la houlette de Black Dice, elle est disponible sur Fader et YouTube. Quant à l’album sa parution est toujours prévue pour ce 23 août.

http://www.thefader.com/2010/07/06/video-premiere-amfm/
http://www.youtube.com/watch?v=LO_AofgXHFU
http://www.chkchkchk.net/

 

samedi, 17 juillet 2010 18:51

Seyfu allume la mèche

Le nouveau single de Sefyu, « Allumeur de Mèche », a été dévoilé le 12 juillet. Il est issu de l’album « Oui, Je Le Suis », dont la sortie est prévue pour fin septembre 2010. Le clip sera également bientôt disponible…

En attendant vous pouvez découvrir le teaser sur le lien suivant :

http://www.dailymotion.com/video/xduogk_sefyu-allumeur-de-meche-teaser_music

 

mardi, 13 juillet 2010 02:00

LP4

Choisir un patronyme qui claque comme celui de Ratatat suggère davantage des beats saturés façon Boys Noize que de l’électro dansante influencée tant par le rock, les musiques du monde ou le hip-hop. Ratatat, c’est d’un duo new-yorkais, réunissant le guitariste Mike Stroud et le mixeur et producteur Evan Mast. Au fil des albums, le tandem élargit sa base de fans. Et ce nouvel elpee ne devrait pas déroger à la règle. « LP4 » clôture un cycle entamé en 2008, lors de la session d’enregistrement de « LP3 », accomplie dans les studios Old Soul à New-York. Ce qui n’a pas empêché la paire de consacrer son temps libre au très lucratif hobby du remix. Une opération couronnée de succès qui leur a permis de revisiter des morceaux des stars du hip-hop US comme ceux de Kid Cudi (dont l’imparable single « Pursuit of Happiness »), Jay-Z ou Kanye West.

Sur le très réussi « LP4 » l’évolution est très subtile. Les compos sont cependant plus étranges et aventureuses que sur les précédents long playings. Mike et Evan osent, par exemple, enrichir le magnifique « Drugs », de cordes. Une compo pourtant taillée dans le rock. Mais surtout un hit potentiel, toutes guitares dehors. « Bob Gandhi » et « Mahalo » baignent dans une certaine forme d’exotisme. Le premier morceau varie constamment les atmosphères et permet à ces sorciers de l’électro de laisser libre cours à leur imagination. Le second trempe au cœur d’une certaine quiétude. Hip-hop shoegaze pour « Billar », beats bossa nova chez « Party With Children » et guitares stellaires tout au long de « Sunblocks » complètent ce tableau particulièrement riche. Les interludes spoken word ne sont pas superflus. Et pour cause, ils sont soit samplés du film ‘Stoszek’ de Werner Herzog –lorsque le personnage principal évoque ses claviers– et d’une interview de l’ancienne star de cinéma Linda Manz, réalisée par Evan Mast himself (elle a entre autres joué dans le très beau film ‘Days of Heaven’ de Terrence Mallick).

Mike et Evan sont sans doute de doux rêveurs. Qu’importe ! D’abord ils sont nés bien avant Justice, Digistalism et consorts. Et puis, dans la jungle de l’électro, Ratatat est devenu une valeur incontournable. Une chose est sure « LP4 » est digne digne du Daft Punk de la grande époque. Idéal pour les festivals !

mardi, 13 juillet 2010 02:00

I Liked You Better When You Had No Heart

Butch Walker est une véritable bête de somme ; car bien que menant une carrière solo, il est surtout connu pour ses nombreux travaux de production opérés auprès du gratin hollywoodien. Avant de faire son trou à Los Angeles, le natif de Géorgie officiait de plus au sein du groupe de métal SouthGang. Il a ensuit sévi comme guitariste chez les mythiques Marvelous 3, mais aussi The Floyds. Si ces patronymes ne vous disent rien, prenez néanmoins le temps de jeter un œil sur la liste des artistes pour le compte desquels il a ensuite signé des hits à la pelle : Avril Lavigne, Sevendust, Hot Hot Heat, Pete Yorn, Fall Out Boy, Weezer, The Donnas, Lindsay Lohan, Katy Perry, Plastiscines et Pink ! Certains l’auront d’ailleurs vu aux côtés de cette dernière lors de son invraisemblable show, accordé au Main Square Festival d’Arras, début juillet. Véritable star de la production en Californie, il est donc impliqué dans une multitude de projets et possède ses entrées dans le tout Hollywood ; il loue d’ailleurs la maison de Flea des Red Hot Chili Peppers, à Malibu !

Et en dehors de ces considérations hollywoodiennes me direz-vous ? Butch Walker a entamé son aventure individuelle en 2002 et « I Liked You Better When You Had No Heart » constitue son 5ème album. Si ses trois premiers elpees puisaient tantôt dans l’emo 90’s, le glam ou la pop, son quatrième, paru en 2007, « Sycamore Meadows, rendait un hommage à Tom Petty. Un disque sculpté dans le folk introspectif. Loin de Katy Perry et consorts, Butch Walker propose, sur ce nouvel opus, des morceaux entraînants et inspirés. Au menu : country rock, pop (« She Likes Hair Bands » et « House of Cards ») et ballades folk (« Trash Day » et « Stripped Down Version »). Des compos parfaitement arrangées, bien entendu (cordes, chœurs, wah-wah, échos, cloches ou sifflements), qu’il interprète d’une voix claire et maîtrisée. Bouleversant, « Don’t You Think Someone Should Take You Home » est même susceptible de vous arracher une larme… Un disque varié, agréable à écouter, qui devrait servir de référence au rock mainstream et fun. Comme quoi le succès ne pourrit pas nécessairement tout ce qu’il touche, et n’implique pas forcément la compromission…

mardi, 13 juillet 2010 02:00

A Train Bound for Glory

Pete Molinari est le fruit d’un véritable melting-pot humain. Issu d’une famille italo-égyptienne d’origine maltaise, il est né dans le Kent anglais ! En outre, il pratique du blues/roots. Dès son plus jeune âge, alors que ses amis ne juraient que par Nirvana, Oasis et autres stars des 90’s, Pete se régalait à l’écoute des vinyles de Billie Holiday, John Coltrane, Leadbelly ou encore Bob Dylan. ‘Pendant que mes frères jouaient au foot dehors, je contemplais avec admiration la collection de mes vieux parents’ affirme-t-il. Et c’est peu dire que son écriture s’en ressent! Lors d’un séjour prolongé aux Etats-Unis (2 ans !), c’est décidé, Pete marchera sur les traces de Jack Kerouac et Woody Guthrie. Il se produit donc à Greenwich Village, comme ses idoles, en y jouant des compositions plus américaines que celles des Américains. Ses pérégrinations, vont le conduire, sans surprise, à Nashville, San Fransisco ou encore la Nouvelle-Orléans… Ce qui va lui permettre de rencontrer du monde. Et puis de se produire en première partie de Dan Auerbach des Black Keys ainsi que de Richard Hawley.

Produit à Nashville par Adam Landry, « A Train Bound For Glory » constitue son 3ème elpee. Si vous aimez la musique des mythes mentionnés dans le premier paragraphe, vous risquez fort d’apprécier celle d’‘old’ Pete… Même si parfois, elle peut glisser vers la parodie. L’application de Pete est telle qu’il en perd toute originalité. Et on finit par s’ennuyer ferme. C’est comme lorsqu’on visite un très beau musée ; la reconstitution est authentique mais impossible de faire revivre l’atmosphère de l’époque, même si elle est hantée par l’âge d’or de la musique yankee. « A Train Bound To Glory » rappelle constamment les Zim, Roy Orbison ou Tim Hardin … On aimerait que Pete s’émancipe quelque peu de ses racines. Qu’il les sublime même. A l’instar de « What a Day, What a Night, What a Girl », une sublime ballade subtilement enrichie de cordes, démontrant ainsi qu’il est capable de se créer son propre univers sonore…

lundi, 12 juillet 2010 13:40

La Jamaïque endeuillée

Le parrain du Dancehall, Sugar Minott (Lincoln Barrington Minott), est décédé samedi soir en Jamaïque, suite à une défaillance cardiaque. Le leader des African Brothers avait à peine 54 ans...

Musiczine avait consacré , fin 2008, une excellente critique de non album "New day" : http://www.musiczine.net/fr/chroniques/sugar-minott/new-day/

 

jeudi, 30 août 2018 13:59

‘Inland’ en Islande

Leif Vollebekk publiera son premier album le 6 septembre prochain. Intitulé « Inland », il sera découpé en une dizaine de ballades inspirées par son séjour en Islande. Tramés essentiellement sur la guitare acoustique, les morceaux seront néanmoins enrichis d’un zeste de piano, d’harmonica et de batterie. L’artiste canadien décrit son « Inland » en ces termes : ‘C’est comme si Neil Young voulait ressembler à un croisement entre Dylan et les Stones. Comme si Hank Williams rencontrait Sigur Ros’.

http://www.myspace.com/leifvollebekk
http://www.southernsouls.ca/leifvollebekk2.html

 

mercredi, 07 juillet 2010 19:36

Je rêvais de ‘L’Autre Monde’.

Deux morceaux inédits de M83 figureront sur la BO du film "L'Autre Monde", réalisé par Gilles Marchand ("Qui a tué Bambi"), coécrit avec Dominik Moll ("Harry, un ami qui vous veut du bien", "Lemming"), un long métrage mettant en scène Louise Bourgoin, Grégoire Leprince-Ringuet et Melvil Poupaud.

Le film a été présenté en sélection officielle au dernier Festival de Cannes (hors compétition).

La musique originale a été composée par Anthony Gonzalez (M83) et Emmanuel d'Orlando, arrangeur de musiques de films et de "La Ritournelle" de Sébastien Tellier.

http://www.naivenews.com/newmedia/PopFR/m83.html

 

mercredi, 07 juillet 2010 19:36

Un quart de siècle plus tard

Le second elpee solo de John Fogerty, le leader du mythique Creedence Clearwater Revival, « Centerfield », date déjà de 1985. Et pour célébrer cet anniversaire, une version remasterisée sera publiée ce 19 juillet. Elle inclura plusieurs bonus tracks.

Tracklisting

1. The Old Man Down The Road
2. Rock And Roll Girls
3. Big Train (From Memphis)
4. I Saw It On T.V.
5. Mr. Greed
6. Searchlight
7. Centerfield
8. I Can’t Help Myself
9. Vanz Kant Danz
10. My Toot Toot (Sidney Simien) Bonus Audio Tracks (B sides)
11. I Confess (T. Vann-N. Nathan) Bonus Audio Tracks (B sides)

http://www.johnfogerty.com/tour.aspx

 

mardi, 06 juillet 2010 02:00

Behave Yourself (Ep)

Cold War Kids s’est fendu de cet Ep, début au début de l’année. Il précède la sortie d’un nouvel opus qui devrait paraître d’ici quelques semaines. Le fantastique gang californien méritait donc qu’on s’attarde sur la sortie de ce disque. Et pour cause, le soul/punk dispensé sur les 4 plages de ce « Behave Yourself » est toujours aussi convainquant. Ces compos avaient été enregistrées pendant les sessions de « Loyalty to Loyalty ». Elles avaient été écartées. Avant d’être récupérées pour figurer sur cet Ep. ‘Elles sont restées sur le côté un moment, ont été oubliées, mais doucement ont commencé à refaire surface et, peu à peu, insisté pour raconter leur propre histoire’ justifie Nathan Willett, le leader du groupe.

Il aurait vraiment été dommage de se priver de titres aussi indispensables qu’« Audience » ou « Sermons ». On reconnaît immédiatement le timbre de voix très expressif de Nathan Willett. Mais aussi ses interventions au piano. Le leader des ‘Enfants de la guerre froide’ peut cependant compter sur un backing group toujours aussi soudé et solide. Et l’émotion libérée par les compos prend aux tripes instantanément.

Après avoir écouté ces 4 plages, on imagine facilement que leur troisième long playing sera de la même trempe que les deux premiers (« Robbers & Cowards » et « Loyalty to Loyalty »).  Une chose est sûre, ces Californiens nous rassurent et démontrent que leur musique est toujours aussi ténébreuse, flamboyante et tourmentée…