Yes SIHR !

Après quelques concerts / projections improvisés en duo, au Caire et à Beyrouth, pour les rencontres d’Arles, le centre photographique de Lille ou la revue belge Halogénure, Dargent et Oberland s’associent aux francs-tireurs Elieh et Halal pour un manifeste…

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L’humanisme angoissant de Franz Ferdinand…

Franz Ferdinand sortira son nouvel opus studio, « The Human Fear », ce vendredi 10 janvier 2025. Enregistrées aux studios AYR en Écosse, les 11 chansons de « The Human Fear » font allusion à des peurs humaines profondément ancrées et qu’en les surmontant et…

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Rori - 02/08/2024
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samedi, 21 décembre 2019 15:55

Starring

Le deuxième album de The Tiny se déguste sans modération. Mais il convient d’entrer dans cet univers enchanté à pas feutrés. Cachées derrière un buisson, nos oreilles se délectent de cette étrange apparition. Les Suédois se posent là, à trois. Le violon sous le menton, Leo Svensson suit les mesures édictées par la contrebasse de Johan Berthling. Excentrique et fragile, le timbre de la belle Ellekari Larsson atteint des cimes lyriques tandis que résonnent les notes de son piano. A l’image d’une Kate Bush scandinave, la Suédoise plonge ses paroles dans un bain théâtral et sensuel. L’auditeur devient alors le confident de ses déboires sentimentaux. Déroutante, sa voix se fait aussi l’écho du halo folklorique de Joanna Newsom. Ces références entendues, le royaume de The Tiny s’éclaire. Les pleurs célèbrent un état de béatitude permanent. Timides et effarouchés, les refrains restent discrets. Profitant d’une envolée mélodique, ils se laissent soudain apprécier. « My Mother », « Know Your Demons » et « Everything Is Free » révèlent alors toutes leurs subtilités harmoniques. Le monde minuscule de The Tiny est donc meublé de grandeurs. Peut-être irritante pour les non-initiés, la tessiture d’Ellekari serpente au beau milieu des sentiments humains. Entre tristesse et désespoir, le trio a puisé son inspiration. Accompagné d’Ed Harcourt sur « Sorry », The Tiny s’excuse. Oui, mais de quoi ? D’exalter nos émotions ? De toucher aux faiblesses de la passion ? Rien de grave, en somme. Mais attention : le romantisme a ses limites…

mardi, 09 septembre 2008 18:58

Hector Zazou nous a quittés…

Hector Zazou nous a quittés le 8 septembre 2008 à Paris, dans sa soixantième année, à la veille de la parution d'un nouvel album enregistré en Inde (« In The House Of Mirrors »). Explorateur fasciné des musiques du monde, pionnier des expérimentations électroniques, amoureux des voix féminines et des quatuors à cordes, arrangeur délicat et amateur d'ambiances rock étranges, Hector Zazou n'a cessé de surprendre à chaque nouvel album, naviguant entre les genres pour créer les mélanges les plus subtils. En témoigne une discographie riche d'albums originaux et souvent précurseurs, tels que « Barricades 3 » (1976, avec Joseph Racaille), « Noir et Blanc » (l'album qui posa les bases de la fusion afro-électronique, enregistré en 1983, en compagnie du chanteur congolais Bony Bikaye), « Les Nouvelles Polyphonies Corses » (lauréat d'une Victoire de la Musique en 1992), « Sahara Blue » (1992, avec John Cale, Bill Laswell, Khaled...), « Chansons des Mers Froides » (1994, avec Björk, Suzanne Vega, Siouxsie), « Lights In The Dark » (1998, avec Brendan Perry, Ryuichi Sakamoto, Peter Gabriel) et une quinzaine d'autres, qui lui ont conféré une place de premier rang sur la scène internationale.

Réalisateur sollicité, il a entre autres travaillé avec les chanteuses Yungchen Lhamo (Tibet), Sevara Nazarkhan (Ouzbékistan) et Laurence Revey (Suisse) ainsi que le flûtiste galicien Carlos Nuñez ou le groupe italien PGR.

Musicien respecté par ses pairs, il a collaboré aux œuvres de Jon Hassell, Manu Dibango, John Cale, Harold Budd, Brian Eno, Peter Buck, Bill Rieflin, Nils Petter Molvaer, Laurie Anderson, Lisa Germano, David Sylvian, Jane Birkin, Lisa Gerrard, Asia Argento,...

(Suivant communiqué de presse)

dimanche, 07 septembre 2008 13:28

Un ‘Tribute’ consacré à Cure.

Plusieurs groupes ont été influencés dans leur carrière musicale par The Cure et aujourd’hui certains d’entre eux leur rendent hommage. Fall Out Boy, AFI ou encore My Chemical Romance notamment ont remixé exclusivement les derniers singles extraits du nouvel album studio du groupe mythique pour cet EP spécial  « Hypnagogic States », qui sortira le 12 septembre et dont voici le tracklisting :

“The Only One” - remixé par 30 Seconds to Mars
“Freakshow” - remixé par Jade Puget (AFI)
“Sleep When I’m Dead”-  remixé par Gerard Way (My Chemical Romance) et Julien-K
“The Perfect Boy” - remixé par Pete Wentz et Patrick Stump (Fall Out Boy)
"Exploding Head Syndrome" (les 4 singles) remixés par 65 Days Of Static

Toutes les royalties cet EP seront versées à la Croix Rouge Internationale.

Pour plus d’infos : http://www.thecure.com

Le nouvel opus quant à lui est prévu pour le 13 octobre.

(d’après communiqué de presse)

mardi, 19 août 2008 22:17

The First Chapters

Au cours des années 90, le label londonien XL sortait une série de compilations intitulée “Chapters”, réunissant les meilleurs bidouilleurs de l’underground. Mais en vinyle ! La boîte a donc décidé de remasteriser ces disques, avant de les proposer sous le format du compact disc. Jusqu’ici, rien d’extraordinaire à signaler. En fait, l’originalité procède du digipack. Outre l’ouverture plutôt singulière du grand X, symbole de l’écurie, on retrouve à l’intérieur une série de cartes collectors, destinée à décrire chacun des artistes, impliqués sur ce premier volume. Bonne nouvelle, ceux qui nous ont illuminés de leurs empreintes magiques, sont tous présents ! Depuis SL2 à The Prodigy, en passant par Liquid. Et la liste des magiciens des platines est loin d’être exhaustive. Même si les sonorités semblent parfois surannées, elles restent toutefois très dansantes. Ainsi les beats puissants assénés par The Prodigy sur “Charly” ou les effluves ensoleillées qui baignent le “On A Ragga Tip” de SL2 nous rappellent que l’histoire de l’électro a bien été marquée par cette génération. Un grand bravo donc à XL, pour avoir réussi un tel travail graphique tout en étant parvenu à nous replonger au sein d’une musique ô combien speedante et attachante…

 

Accompagnée notamment de M, Vanessa Paradis est donc occupée de terminer sa tournée qui l’a emmenée sur les routes de la France et de la Belgique au cours des derniers mois. 30 concerts ‘sold out’ dont 3 Zéniths et un Bercy à Paris constituent les points d’orgue d’un périple qui a également enchanté les festivals. A la rentrée, le 15 septembre précisément, sortiront donc le DVD et le CD du « Divinidylle Tour », témoignages d’une tournée exceptionnelle et d’une belle aventure artistique.

En attendant, voici le clip de « Les Piles » interprété en duo ave M en ‘live’, un des temps forts de leur tournée « Divinidylle Tour ».
http://fr.youtube.com/watch?v=qLGjKiaPSVo
http://www.dailymotion.com/vanessa_paradis/video/x64wr8_vanessa-paradis-m-les-piles_music

 

Et puis celui d’« Il y a », nouveau single écrit et composé par Gaëtan Roussel (Louise Attaque, Tarmac, Alain Bashung...) et réalisé par Johnny Depp :
http://www.alloclips.com/video/Vanessa_Paradis/Il_y_a

(d’après communiqué de presse)

Les prochaines dates de concert :

22 juillet : Nimes (30), Festival de Nîmes
23 juillet : Lyon (69), Les Nuits de Fourvière
24 juillet : Carcassonne (11), Festival de la Cité
26 juillet : Nyon (Suisse), Paléo Festival

Pour plus d’infos : http://www.vanessaparadis.fr

 

samedi, 19 juillet 2008 14:32

In The Interim

Jet Black Crayon est une formation née en 1999. Tommy Guerrero venait de convaincre deux complices susceptibles de partager les mêmes perspectives musicales, de tenter l’aventure d’un groupe. Depuis, il faut reconnaître que le projet est en constant développement, et qu’il a acquis une fameuse réputation dans le monde de la découverte musicale.

« In The Interim » constitue une nouvelle étape dans leur exploration musicale. Pour y parvenir, le trio de San Francisco a reçu la collaboration de différents compositeurs. Des réalisateurs de films. L’univers sonore de « In The Interim » est troublant, atmosphérique, mélancolique. Alimenté par quelques beats cérébraux, des cordes de guitares douces, des rythmes drum’n bass et un piano aux accords profonds, le disque audio passe néanmoins trop vite pour pouvoir être apprécié à sa juste valeur. Faut dire que 26 minutes, c’est un peu court. Par contre, le Dvd prend une toute autre dimension. Ce magnifique voyage dans le monde audiovisuel propose une série de sept courts métrages mis en musique par le combo. Et il faut reconnaître que l’association entre l’image et le son est une parfaite réussite. Le trio yankee s’est d’ailleurs investi totalement pour atteindre son objectif. Et apparemment, l’‘Art Concept’, c’est vraiment son truc. D’ailleurs, on se demande si le projet ne risque pas de récolter davantage de succès dans le cadre d’une exposition d’art contemporain que lors d’un concert…

jeudi, 26 juin 2008 17:57

Dick Rivers intemporel ?

Le nouvel album de Dick Rivers est dans les bacs depuis ce 16 juin. Ecrit par Joseph d’Anvers, il a été enregistré dans les studios RAK à Londres et s’intitule « L’homme sans âge ».

Bacon & Quarmby, les producteurs (Finlay Quaye, Tiken Jah Fakoly, Primal Scream, Richard Hawley, Del Amitri…) apportent aussi leur talent de musiciens aux côtés de Marc Sherridan aux guitares (du groupe de Richard Hawley), de Larry Ciancia à la batterie (du groupe de Ray Lamontagne) et de Joseph d’Anvers qui accompagne ses chansons jusqu’au bout les éclairant d’un trait d’harmonica ou d’une harmonie vocale.

« L’homme sans âge » marque aussi par la volonté et l’envie de Dick Rivers qui, après plusieurs décennies de collaborations artistiques (de Gérard Manset à Benjamin Biolay, de Jimmy Page à –M-, de Chris Spedding à Mickaël Furnon…), revient toujours au bonheur des rencontres.

Aujourd’hui c’est Kevin Bacon, Jonathan Quarmby et Joseph d’Anvers qui nous donnent leur vision d’un artiste forcément singulier, chanteur étrangement méconnu ou mal connu, souvent là ou on ne l’attend plus.

(d’après communiqué de presse)

Pour voir le clip de « L’Homme sans âge »

http://fr.youtube.com/watch?v=k2ZrkmoRYlk
http://www.wat.tv/video/dick-rivers-homme-sans-age-oa7h_iedf_.html
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafY3XO.html

Tracklisting

1. Mauvais Joueur 
2. Je Vis Sur une Ile 
3. Anna/Grammes 
4. Chanson des Adieux 
5. Amours et Blue Jeans 
6. Ode a Dick 
7. Veilleur de Vie 
8. Elvis Avait l'Air d'Un Ange 
9. Tout Se Consume (Rien Ne Dure Vraiment) 
10. Tu Perdras 
11. Ma Doudou 
12. Nuit 
13. Ma Chanson de l'Ete 
14. Yeux Bleus (Pleurant Sous La Pluie) 

Pour plus d’infos : http://www.dick-rivers.com

 

mercredi, 25 juin 2008 00:12

Honeydew

Shawn Mullins est actif sur la scène musicale depuis près de deux décennies. Baptisé du doux titre “Honeydew”, son nouvel opus le dépeint dans un style au sein duquel il excelle ; c’est à dire un mélange de folk, de rock et de country. Toutes les chansons sont d’ailleurs essentiellement tramées sur la guitare sèche et la voix du chanteur. Une structure de base sur laquelle viennent se greffer toute une série d’instruments comme des percussions, un orgue et un harmonica. Et même une guitare électrique dont la sonorité peut même rappeler celle du soliste d’Aerosmith sur “Cryin’”; mais de là à comparer les deux artistes, il y a un pas que je ne franchirai pas. Dans le style, le risque de basculer dans la monotonie est souvent flagrant. Heureusement, Shawn parvient à éviter ce piège. Il nous invite à participer à une longue balade, transitant par les montagnes, le désert, traversant rivières et forêts, sans jamais prendre le temps de reprendre son souffle. L’artiste passe de la tristesse à l’allégresse, de la country au rock, en manifestant une homogénéité surprenante.

Côté textes, Shawn dépeint, au cours des douze morceaux du dernier opus, des personnages typiquement américains. Il raconte également leurs histoires, leurs aventures, leur vécu. “The Ballad Of Kathryn Johnston” narre ainsi les péripéties d’une femme qui ne se sent plus en sécurité. Et elle s’achète un fusil. Une arme qu’elle finira par utiliser par erreur contre un policier. “Homeless Joe” nous parle d’un musicien SDF. Il vit à Atlanta et dort dans la rue. Il ne dispose pas de foyer, mais est heureux de son sort, car il compose de la belle musique. “See That Train” relate l’aventure d’un amant abandonné près d’un château d’eau par sa fiancée, alors qu’il dormait. Quant à “Fraction of a Man”, il décrit le parcours d’un représentant commercial. Avalant les kilomètres à longueur de journée, il noie sa solitude dans l’alcool.

“Honeydew” est un album de toute bonne facture. Très agréable à écouter, il se démarque de la programmation formatée proposée sur la plupart de stations radiophoniques FM. En outre, rien de tel qu’un peu de Shawn Mullins pour agrémenter des soirées entre amis, autour d’un feu de camp.

jeudi, 12 juin 2008 14:14

Chat : on en parle de plus en plus

En guise de porte dérobée pour pénétrer son monde insolite, et dans l’attente des couplets et refrains habillés de pied en cap de son premier album, Chat propose ce premier rendez-vous au coin de sa musique et du feu de ses mots, pour sortir plus vite de l’hiver.

Lorsqu’on évoque l’art de la chanson, que seul un géant comme Serge Gainsbourg pouvait qualifier de mineur, on affirme parfois un peu vite, qu’une voix, simplement accompagnée d’une guitare ou d’un piano, peut suffire pour juger de l’étendue d’un talent. L’assertion n’est pas galvaudée dans le cas de Chat dont les chansons, nées d’un souffle clair en suspension au-dessus d’un clavier d’ébène et d’ivoire, ont été inventées dans le plus simple appareil.

Pas de subterfuge, pas d’arnaque racoleuse dans ces piano-voix qui scintillent comme l’aube chère à Rimbaud. “Alice”, toute en confidences sur un oreiller d’arpèges, est celle qui fait frémir son MySpace depuis quelques semaines déjà. “Have You Ever Been (To Electric Ladyland)”, déconcertante d’aisance, est une reprise insolite et charmante du chef-d’œuvre de Jimi Hendrix que Chat noie sous une cascade de gouttelettes sablonneuses. En français dans les mots, “Harmony” fait tourbillonner comme dans une relation interdite, de celles qui font fantasmer, vibrer fort et dont on chérit le souvenir. Enfin, dans un registre de fugue aux accords impétueux, “R” est à prendre au pied de sa lettre et aux syllabes qu’à coups de griffes, Chat fait s’entrechoquer joyeusement.

Plus tard, au printemps, on citera Radiohead, Gonzales, Feist, Keren Ann, Björk, Bat For Lashes, les Doors ou le Velvet Underground pour mieux cerner la personnalité musicale de Chat, sans toutefois délimiter son territoire. Pour l’heure, on se contentera d’affirmer qu’une star est née, et pas de la dernière pluie.

L’époque n’est plus aux détours, et il faut bien appeler un chat un chat. Cette jeune artiste particulièrement prometteuse n’a pas fini de faire ronronner. De plaisir.

(d’après communiqué de presse)

Et son premier opus, « Folie douce », est prévu pour septembre.  

Pour voir la vidéo de "Harmony"
http://fr.youtube.com/watch?v=LCUbkkqlN54
http://www.wat.tv/video/chat-harmony-moux_iedf_.html
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafYVAS.html

Et celle d’"Alice" (version pinao) :
http://www.youtube.com/watch?v=JXU0Kjc4CXo
http://www.wat.tv/video/chat-alice-version-piano-k5ia_iedf_.html
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafYJQ0.html

Pour voir la reprise du "Have You ever Been (To Electric Ladyland)" de Jimi Hendrix

http://fr.youtube.com/watch?v=WYMQDPdfu-Y
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafY4ZD.html
http://www.wat.tv/video/chat-have-you-ever-been-to-p9cy_iedf_.html

 

Pour plus d’infos :  http://www.lamusiquedechat.com et http://www.myspace.com/lamusiquedechat

 

 

mercredi, 04 juin 2008 20:43

Un retour aux sources pour Honest Jon’s

Il y a deux ans, Honest Jon’s s’est rendu à Lagos en compagnie du drummer Tony Allen, pour y immortaliser ses premiers enregistrements accomplis lors de ses années passées avec Fela Kuti. Classique de l’afro-beat contemporain, “Lagos No Shaking” en est le résultat. 

Dans la foulée, le label a sollicité la participation de légendes de la culture dance comme Basic Channel de Berlin ou le père fondateur de la techno de Detroit Carl Craig, ainsi que de jeunes loups tels que les Newham Generals de Dizzee Rascal, Diplo (le producteur de MIA basé à Baltimore) ou Bonde Do Role, nouveaux venus sur la scène carioca, originaires de Rio de Janeiro.

Honest Jon’s a commissionné des enregistrements au Caire, à Saturn, Bogota et Kingston en Jamaïque, et donné naissance à de nouvelles interprétations ou une relecture complète par le pionnier du space jazz Salah Ragab, un orchestre de rue influencé par le Sun Ra’s Arkestra (Hypnotic Brass), des batteurs afro-colombiens venus du village de San Palenque De Basilio inspirés par le highlife, et un vétéran de Mystic Revelation Of Rastafari de Count Ossie.

“Sanfoka” et “Reggae Land Dub”, basés sur le style de batterie de Losun et Ise Nasa, Carl Craig, Bonde Do Role, Mark Ernestus et Moritz Von Oswald ont fourni des remixes de titres de “Lagos No Shaking”. Les Newham Generals ont rebondi sur le très percussif “Gbedu”, “Samba” est une relecture de la chanson folk “Awa Na Re”, et Salah Ragab livre ici une version originale de “Ole”. On trouve des samples de batterie du groupe Elewedu Of Agege dans “Fuji Ouija”, enregistrés durant les séances de “Lagos No Shaking” et disponibles sur des maxis Honest Jon’s.

(d’après communiqué de presse)

Tracklisting :

Hypnotic Brass Ensemble - “Sankofa”
Carl Craig - “Kilode Remix”
Bonde Do Role - “Awa Na Re Remix”
Mark Ernestus - “Mark’s Disco Dub”
Wareika Hill Sounds - “Reggae Land Dub”
Newham Generals - “Tetsuya’s Theme”
Son Palenque - “Samba”

Diplo - “Fuji Ouija”
Salah Ragab - “Ole (Cairo Remix)”
Moritz von Oswald - “Ole Remix”

 

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