Les ravissements de Maud Lübeck

En mars 2023, Maud Lübeck est invitée par Ghislaine Gouby, directrice des Scènes du Golfe à Vannes, pour une carte blanche lors du festival ‘Les Émancipéés’. Cette année-là, pour la première fois, se déroulent ‘Les ravissements’, quatre rencontres animées par…

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L’amour étrange de Coilguns…

Coilguns sortira son nouvel elpee, « Odd Love », ce 22 novembre 2024. En attendant, le combo suisse dévoile un nouveau clip / single, « Generic Skincare », véritable hymne post hardcore et pièce centrale du prochain album qui devrait plaire aux fans de…

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Bernard Dagnies

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Le deuxième album des Raconteurs sera dans les bacs ce 25 mars. Il s’intitule “Consolers Of The Lonely”. Pour la circonstance, Jack White, Brendan Benson, Patrick Keeler, Dean Fertina et Jack Lawrence ont reçu, lors des sessions d’enregistrement, le concours de toute une série d’invités notoires…

Tracklisting

1. Consoler Of The Lonely

2. Salute Your Solution

3. You Don't Understand Me

4. Old Enough

5. The Switch And The Spur

6. Hold Up

7. Top Yourself

8. Many Shades Of Black

9. Five On The Five

10. Attention

11. Pull This Blanket Off

12. Rich Kid Blues

13. These Stones Will Shout

14. Carolina Drama

 
Pour plus d’infos : http://www.theraconteurs.com

 

 

vendredi, 21 mars 2008 13:55

Dave Fridmann derrière MGMT

Le premier opus de MGMT paraîtra ce 31 mars. Intitulé "Oracular Spectacular", il a bénéficié du concours de Dave Fridmann, le producteur des Flaming Lips et de Mercury Rev, à la mise en forme. Fatalement, on s’attend de la part de ce duo américain à une musique psychédélique. D’ailleurs le groupe décrit le nom ‘MGMT’ comme “an enigmatic and prophetic collection of hallucinatory sounds and hook-riddled pop tones for the new millennium.”

Au mois de mars, le groupe a entamé une tournée des clubs en Europe. Ils seront de retour cet été sur les festivals et dans d'autres clubs.

Tracklisting :

1. Time To Pretend    

2. Weekend Wars    

3. Youth    

4. Electric Feel    

5. Kids    

6. 4th Dimensional Transition    

7. Pieces Of What    

8. Of Moons Birds And Monsters    

9. Handshake    

10. Future Reflections    

11. Electric Feel   

Videoclips MGMT: http://www.youtube.com/user/mgmtmusic

Et pour voir le concert mega d' MGMT du 6 mars au Paradiso à Amsterdam : http://www.fabchannel.com/mgmt_concert

 
Pour plus d’infos : http://www.whoismgmt.net

 

 

« We Sing, We Dance, We Steal Things », c’est le titre du troisième opus de Jason Mraz qui sortira le 20 mai prochain. Le disque a été produit par Martin Terefe, personnage qui a bossé sur les albums de KT Tunstall, Ron Sexsmith et James Morrison. Le premier morceau extrait de cet elpee s’intitule « I’m yours », une compo déjà sortie sous forme de démo, mais qui a bénéficié d’une remasterisation.

Tracklisting:

1. Make it Mine

2. I’m Yours

3. Lucky ft. Colbie Caillat

4. Butterfly

5. Live High

6. Love for a Child

7. Details In Fabric ft. James Morrison

8. Coyotes

9. Only Human

10. The Dynamo of Volition

11. If It Kills Me

12. A Beautiful Mess

 
Pour regarder le clip de « I'm Yours »

http://fr.youtube.com/watch?v=QedgzsjouXU

 

 

vendredi, 21 mars 2008 13:55

The Charlatans à la croisée des chemins

10ème album studio pour les Charlatans. Intitulé « You Cross My Path », il paraîtra ce 12 mai. Le disque a été enregistré en Californie (Los Angeles), en Irlande et dans leur propre studio, sis quelque part dans le Cheshire, en Angleterre. Il a été mixé par Alan Moulder et est déjà téléchargeable gratuitement via radio XFM ( http://www.xfm.co.uk/news/2008/download-charlatans-new-album-for-free )

Tracklisting

1) Oh! Vanity

2) Bad Days

3) Mis-takes

4) The Misbegotten

5) A Day For Letting Go

6) You Cross My Path

7) Missing Beats (Of A Generation)

8) My Name Is Despair

9) Bird / Reprise

10) This Is The End

 
Pour plus d’infos : http://www.thecharlatans.net et http://www.myspace.com/thecharlatans

 

 

jeudi, 20 mars 2008 20:21

Tempête en mer…

Club destiné aux concerts de musique actuelle, le 4AD est situé à Diksmuide, au cœur d'un quartier tranquille de la ville. Des bunkers ont été transformés en locaux de répétition et la salle de concert bénéficie d’une insonorisation hors norme ainsi que d’un matos ultra-performant. Si bien que lorsqu’on se trouve dans le café attenant à la salle ou à l’extérieur de l’immeuble, on n’entend pas le moindre bruit. Le complexe est superbe, design et convivial et la salle peut accueillir trois cent personnes dont cent sur un balcon où la visibilité est parfaite.

En entrant dans la salle, les musiciens d’American Music Club sont encore occupés de régler leur soundcheck. Quelques minutes plus tard, Mark Eitzel descend du podium et laisse le soin à ses trois autres comparses de régler leurs balances. En le croisant, il me reconnaît et nous nous saluons. Je lui demande des nouvelles de sa tournée, et il me répond être assez fatigué ; d’autant plus que la route qui l’a conduit jusque Diksmuide était assez longue et pénible. Plus de sept cent bornes perturbées par un temps exécrable lors du trajet opéré entre Geislingen, en Allemagne, et son point de chute. De quoi effectivement être épuisés.

Lisa Papineau a accompagné AMC, pour plusieurs dates de la tournée. Comme supporting act. Pour la circonstance, elle s’appuie sur deux musiciens français : Thomas Huiban et Matthieu LeSenechal. Des multi-instrumentistes, même si le premier se consacre davantage à la guitare et le second aux drums, quand ils ne s’appliquent pas aux claviers. Lisa Papineau ? Je confesse très mal connaître cette artiste. Et même pas du tout. Jusqu’à ce soir. En outre, en consultant sa bio, je me suis senti quelque peu embarrassé. Et pour cause, elle a posé sa voix sur des albums de Dan The Automator, Beck, Money Mark (le claviériste des Beastie Boys), les Rentals, Tim Commerford (le bassiste de Rage Against The Machine), Adrian Terrazas -González (flutiste/saxophoniste/clarinettiste/percussionniste chez Mars Volta), Air, M83 ou encore Scenario Rock. Elle a en outre, sévi chez Big Sir et Pet. Et vient d’enregistrer son deuxième opus solo, un disque pour lequel elle a reçu le concours de Matthieu Boogaerts et… de Mark Eitzel. Enfin, elle est également impliquée dans l’univers du cinéma, puisqu’elle a coproduit le film « Teason Island », un long métrage récompensé par un ‘Award’.

Première constatation, lorsque le trio monte sur les planches : ce ne sont pas des seconds couteaux. Et pour cause… Les deux ‘frenchies’ sont d’excellents instrumentistes et assurent les backing vocaux sans le moindre complexe. Lisa se charge circonstanciellement de claviers. Ou plus exactement, elle les poignarde ( ?!?!?) en enfonçant profondément et frénétiquement ses doigt dans les touches de ses synthés. Physiquement, elle affiche encore moins de formes que Jane Birkin (NDR : pourtant, certaines photos diffusées sur le net, lui conféraient des charmes bien féminins…) Filiforme ou anorexique, elle me fait penser à un fil de fer qui se cambre, convulse et vibre dès que les émotions gagnent en intensité. Des émotions qui émanent de son timbre de voix absolument remarquable. Un timbre bluesy, torturé, ample et bouleversant. On comprend mieux ainsi toutes les sollicitations antérieures, dont elle a fait l’objet. Quant à la musique, elle évolue au sein d’un cocktail de trip hop, de jazz, d’électro et de lounge. Des influences? A tout hasard : Massive Attack, Stereolab, 10 000 Maniacs voire Everything But The Girl. Et vers la fin du set, Mark Eitzel vient partager un duo en compagnie de Lisa, une chanson au cours de laquelle leurs timbres se conjuguent à merveille. 30 minutes pour convaincre : pari réussi !

Finalement, il n’y avait qu’une centaine de personnes pour assister au concert d’American Music Club. Dont le line up a donc changé. En fait, la section rythmique. Elle est aujourd’hui constituée de Steve Didelot aux drums et de Sean Hoffman à la basse. C’est ce dernier qui campe au beau milieu de la scène. Coiffé d’une casquette de pêcheur baltique, Vudi se poste à gauche. Et Mark à droite. Costard marron, chapeau bien vissé sur la tête, barbe de loup de mer, il est paré pour affronter un gros grain déboulant du large…

Le quatuor ouvre les hostilités par « All my love », un extrait du dernier elpee, « The golden age ». Plusieurs compos (« Windows of the world », « All the lost souls welcome you to San Francisco » et « I know that’s not really you ») alimenteront leur repertoire. Une setlist au sein de laquelle on remarquera également la présence de ‘classiques’ comme “Home”, “Wish the world away”, “The revolving door”, le très rock’n roll “Hello Amsterdam”, “Western sky”, “Blue and grey shirt” et en final un fantastique et terriblement électrique “Johnny Mathis’ feet”, issu du meilleur album d’AMC paru à ce jour, « Mercury ». Et si Mark troque de temps à autre sa six cordes contre une sèche, les versions sont beaucoup plus percutantes et même chargées de feedback. Faut dire que les rafales tempétueuses, tourbillonnantes, distordues, croustillantes, dispensées par Vudi y sont sans doute pour quelque chose. A cet instant, on a l’impression de lutter contre des bourrasques orageuses aussi vivifiantes que sauvages. Le timbre vocal d’Eitzel oscille entre le falsetto et le baryton âpre, trempé dans le whiskey. Mais quand il chante, le monde semble s’arrêter. Entre les morceaux, Mark plaisante avec le public. Il allie gestuelle et mimiques théâtrales. Derrière ses drums, Steve privilégie la caisse claire alors que Sean apporte une légère touche jazzyfiante aux compos. Parfois aussi, on a l’impression d’être bercé au sein d’un cocon de mélancolie douce et enchanteresse. Et pourtant, les lyrics de Mark sont rarement optimistes. Souvent grinçants, ténébreux, caustiques. Mais surtout signés de sa plume : une des plus belles qui soit encore de ce monde, aux States.

En rappel Mark et Vudi viennent interpréter « Jesus’hands » en acoustique. Une version confessionnelle, introvertie, dramatique. Et de revenir une seconde fois, toujours sous la même formule, avant de prendre congé de l’audience. Il est 23h30. Le temps a passé trop vite. Dehors, la pluie a cessé de tomber et le vent s’est calmé.

Organisation 4AD

 

jeudi, 20 mars 2008 20:20

Hey Lisa!

Club destiné aux concerts de musique actuelle, le 4AD est situé à Diksmuide, au cœur d'un quartier tranquille de la ville. Des bunkers ont été transformés en locaux de répétition et la salle de concert bénéficie d’une insonorisation hors norme ainsi que d’un matos ultra-performant. Si bien que lorsqu’on se trouve dans le café attenant à la salle ou à l’extérieur de l’immeuble, on n’entend pas le moindre bruit. Le complexe est superbe, design et convivial et la salle peut accueillir trois cent personnes dont cent sur un balcon où la visibilité est parfaite.

En entrant dans la salle, les musiciens d’American Music Club sont encore occupés de régler leur soundcheck. Quelques minutes plus tard, Mark Eitzel descend du podium et laisse le soin à ses trois autres comparses de régler leurs balances. En le croisant, il me reconnaît et nous nous saluons. Je lui demande des nouvelles de sa tournée, et il me répond être assez fatigué ; d’autant plus que la route qui l’a conduit jusque Diksmuide était assez longue et pénible. Plus de sept cent bornes perturbées par un temps exécrable lors du trajet opéré entre Geislingen, en Allemagne, et son point de chute. De quoi effectivement être épuisés.

Lisa Papineau a accompagné AMC, pour plusieurs dates de la tournée. Comme supporting act. Pour la circonstance, elle s’appuie sur deux musiciens français : Thomas Huiban et Matthieu LeSenechal. Des multi-instrumentistes, même si le premier se consacre davantage à la guitare et le second aux drums, quand ils ne s’appliquent pas aux claviers. Lisa Papineau ? Je confesse très mal connaître cette artiste. Et même pas du tout. Jusqu’à ce soir. En outre, en consultant sa bio, je me suis senti quelque peu embarrassé. Et pour cause, elle a posé sa voix sur des albums de Dan The Automator, Beck, Money Mark (le claviériste des Beastie Boys), les Rentals, Tim Commerford (le bassiste de Rage Against The Machine), Adrian Terrazas -González (flutiste/saxophoniste/clarinettiste/percussionniste chez Mars Volta), Air, M83 ou encore Scenario Rock. Elle a en outre, sévi chez Big Sir et Pet. Et vient d’enregistrer son deuxième opus solo, un disque pour lequel elle a reçu le concours de Matthieu Boogaerts et… de Mark Eitzel. Enfin, elle est également impliquée dans l’univers du cinéma, puisqu’elle a coproduit le film « Teason Island », un long métrage récompensé par un ‘Award’.

Première constatation, lorsque le trio monte sur les planches : ce ne sont pas des seconds couteaux. Et pour cause… Les deux ‘frenchies’ sont d’excellents instrumentistes et assurent les backing vocaux sans le moindre complexe. Lisa se charge circonstanciellement de claviers. Ou plus exactement, elle les poignarde ( ?!?!?) en enfonçant profondément et frénétiquement ses doigt dans les touches de ses synthés. Physiquement, elle affiche encore moins de formes que Jane Birkin (NDR : pourtant, certaines photos diffusées sur le net, lui conféraient des charmes bien féminins…) Filiforme ou anorexique, elle me fait penser à un fil de fer qui se cambre, convulse et vibre dès que les émotions gagnent en intensité. Des émotions qui émanent de son timbre de voix absolument remarquable. Un timbre bluesy, torturé, ample et bouleversant. On comprend mieux ainsi toutes les sollicitations antérieures, dont elle a fait l’objet. Quant à la musique, elle évolue au sein d’un cocktail de trip hop, de jazz, d’électro et de lounge. Des influences? A tout hasard : Massive Attack, Stereolab, 10 000 Maniacs voire Everything But The Girl. Et vers la fin du set, Mark Eitzel vient partager un duo en compagnie de Lisa, une chanson au cours de laquelle leurs timbres se conjuguent à merveille. 30 minutes pour convaincre : pari réussi !

Finalement, il n’y avait qu’une centaine de personnes pour assister au concert d’American Music Club. Dont le line up a donc changé. En fait, la section rythmique. Elle est aujourd’hui constituée de Steve Didelot aux drums et de Sean Hoffman à la basse. C’est ce dernier qui campe au beau milieu de la scène. Coiffé d’une casquette de pêcheur baltique, Vudi se poste à gauche. Et Mark à droite. Costard marron, chapeau bien vissé sur la tête, barbe de loup de mer, il est paré pour affronter un gros grain déboulant du large…

Le quatuor ouvre les hostilités par « All my love », un extrait du dernier elpee, « The golden age ». Plusieurs compos (« Windows of the world », « All the lost souls welcome you to San Francisco » et « I know that’s not really you ») alimenteront leur repertoire. Une setlist au sein de laquelle on remarquera également la présence de ‘classiques’ comme “Home”, “Wish the world away”, “The revolving door”, le très rock’n roll “Hello Amsterdam”, “Western sky”, “Blue and grey shirt” et en final un fantastique et terriblement électrique “Johnny Mathis’ feet”, issu du meilleur album d’AMC paru à ce jour, « Mercury ». Et si Mark troque de temps à autre sa six cordes contre une sèche, les versions sont beaucoup plus percutantes et même chargées de feedback. Faut dire que les rafales tempétueuses, tourbillonnantes, distordues, croustillantes, dispensées par Vudi y sont sans doute pour quelque chose. A cet instant, on a l’impression de lutter contre des bourrasques orageuses aussi vivifiantes que sauvages. Le timbre vocal d’Eitzel oscille entre le falsetto et le baryton âpre, trempé dans le whiskey. Mais quand il chante, le monde semble s’arrêter. Entre les morceaux, Mark plaisante avec le public. Il allie gestuelle et mimiques théâtrales. Derrière ses drums, Steve privilégie la caisse claire alors que Sean apporte une légère touche jazzyfiante aux compos. Parfois aussi, on a l’impression d’être bercé au sein d’un cocon de mélancolie douce et enchanteresse. Et pourtant, les lyrics de Mark sont rarement optimistes. Souvent grinçants, ténébreux, caustiques. Mais surtout signés de sa plume : une des plus belles qui soit encore de ce monde, aux States.

En rappel Mark et Vudi viennent interpréter « Jesus’hands » en acoustique. Une version confessionnelle, introvertie, dramatique. Et de revenir une seconde fois, toujours sous la même formule, avant de prendre congé de l’audience. Il est 23h30. Le temps a passé trop vite. Dehors, la pluie a cessé de tomber et le vent s’est calmé.

 
Organisation 4AD

 

lundi, 17 mars 2008 20:44

Un album de reprises pour Adem

C’est ce 14 mai que paraîtra le nouvel opus d’Adem. Constitué de reprises, il s’intitulera « Takes ».

01 Bedside Table - Bedhead - 7" single - 1992 (+ the end of the day (beheaded - 1996))

02 Oh My Lover - Pj Harvey - Dry - 1992

03 Slide - Lisa Germano - Slide - 1998

04 Loro - Pinback - Pinback - 1998

05 Hotellounge - dEUS - Worst Case Scenario - 1994

06 To Cure A Weakling Child + Boy/Girl Song - Aphex Twin - Richard D James - 1996

07 Tears Are In Your Eyes - Yo La Tengo - And Nothing Turned Itself Inside Out- 2000

08 Starla - Smashing Pumpkins - I am one 7" b-side - 1992. (+ Window Paine from Gish - 1991)

09 Gamera - Tortoise - Gamera 12" - 1995

10 Unravel - Bjork - Homogenic - 1997

11 Invisible Man - The Breeders - Last Splash - 1993

12 Laser Beam - LOW - Things We Lost In The Fire – 2001

 
Pour plus d’infos : http://www.adem.tv/site

 

lundi, 17 mars 2008 20:44

Un carillon pour Four Tet

Four Tet sort ce 21 avril un mini album 4 titres d’une durée de 32 minutes. On y parle de mélange entre techno, afrobeat, krautrock et jazz. Hebden a également enregistré un elpee à New York, en compagnie du drummer de jazz, Steve Reid ; un disque qui fera suite à « Tongues », paru l’an dernier.

Tracklisting

1  Ringer

2  Ribbons

3  Swimmer

4  Wing Body Wing 

 

Pour plus d’infos : http://www.fourtet.net/site/index.html

 

lundi, 17 mars 2008 20:44

De nombreuses choses pour Seun Kuti

Seun Anikulapo Kuti n’est autre que le fils de Fela Anikulapo Kuti, musicien particulièrement populaire au Nigéria et responsable de chansons engagées dénonçant les politiciens vénaux de son pays tout en stigmatisant sa junte militaire. Il a effectué ses premiers pas à l’âge de 9 ans en compagnie de son paternel ; et depuis a créé un nouveau style musical : l’Afrobeat ; un style très en vue depuis le début des seventies. Pour enregistrer « Many things », il a reçu le concours du groupe de son père : Egyt 80 ; un disque dont la sortie est prévue pour le 28 avril. En outre, Seun Kuti se produira en concert au Bataclan, ce 26 mai.

Pour regarder la vidéo de Seun Kuti :

http://www.youtube.com/watch?v=cTZsqu035bQ

http://www.dailymotion.com/jeansanteuil/video/x4opfs_seun-kuti-egypt-80-many-things-part_music

http://www.wat.tv/video/seun-kuti-and-egypt-80-many-j9wk_iedf_.html

http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftf2v.html

 

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/seunkuti

 

 

« Devils & Angels », le premier album de Mêlée, est dans les bacs depuis ce 14 mars. Le disque de ce quatuor californien a été produit par Howard Benson (Daughtry, My Chemical Romance, All American Rejects).

Voici le premier extrait ‘Built to Last’:

http://streamos.warnermusic.com/wmedia/wmbenelux/melee/builttolast/melee_-_built_to_last_-_3m45s_-_hi.wvx

Tracklisting

1) Built to last

2) Rhythm of rain

3) Frequently baby (she’s a teenage maniac)

4) For a lifetime

5) Drive away

6) Can’t hold on

7) Imitation

8) Love carries on

9) She’s gonna find me here

10) Biggest mistake

11) You got

12) Stand up

13) Bonus Track: You make my dreams

 

Pour plus d’infos : http://www.meleerocks.com et http://www.myspace.com/meleerocks