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Bernard Dagnies

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jeudi, 27 septembre 2007 12:56

L'autobiographie imaginaire

Okkervil River nous vient de New Hampshire. Fondée à la fin des 90’s, cette formation est drivée par Will Sheff. Il en est le compositeur, le chanteur et le guitariste. Leur cinquième album vient de paraître. Il s’intitule « The stage names » et fait suite à « Black sheep boy », un disque qui avait reçu une excellente critique de toute la presse. Plus pop, le dernier opus n’en est pas pour autant moins intéressant. D’autant que ses textes sont toujours aussi inspirés, à la limite de l’autobiographie. Will nous en explique la raison…

« L’autobiographie ? Je l’adapte. J’y inclus de la fiction. Ce qui est intéressant dans cette démarche c’est ce qu’elle te procure. Beaucoup d’autobiographies se complaisent dans l’apitoiement ou à la complainte. Par contre, si tu lui apportes de l’imaginaire, tu enrichis ton récit. Et cette pratique devient une opportunité. L’opportunité de te sublimer. On arrive ainsi finalement à une autobiographie factice. Depuis l’album ‘Back sheep boy’, je parviens à écrire comme je le souhaite. C’était alors la première fois. Et lorsque nous avons commencé à enregistrer ce nouvel album, j’avais la sensation de pouvoir m’adapter. En très peu de temps je me suis senti pousser des ailes, parce que j’étais dans mon trip. » Tout au long de cet opus, on rencontre des références au cinéma, au théâtre et à la littérature. Mais finalement, Sheff, c’est un réalisateur de film, un poète ou un musicien ? « Je suis musicien. Je n’ai pas envie de devenir réalisateur de film. Oui, il est vrai que j’ai effectué une tentative dans cet univers, mais c’était un challenge. Ce n’est pas ce que je recherchais. Au départ, j’étais même intimidé. Pourquoi ? Parce qu’il faut de l’argent. Et beaucoup de temps. Et pour arriver à un résultat, des années de travail sont nécessaires. Ce job exige trop de dépense d’énergie et entraîne si peu de satisfaction. Finalement musicien me convient mieux. Ce qui n’empêche pas que je sois tombé sous le charme du cinéma. Mais ma préoccupation première, c’est d’écrire des chansons… Ce nouvel album, je le voulais différent. Lui conférer une tonalité moderne. Et le meilleur moyen d’atteindre ce but était de le plonger dans le monde du divertissement. C'est-à-dire la TV, le cinéma et en particulier les films d’horreur, les chansons pop qu’on entend à la radio. Tout en le rendant intemporel. Archaïque. Comme dans l’univers du conte… » On en vient enfin à la littérature. Ainsi Sheff aurait vécu son enfance comme un solitaire entouré de davantage de livres que d’amis. Il confesse. « J’ai dit ça moi ? Probablement que c’est vrai. Je me sens souvent proche des écrivains qui sont partis dans l’autre monde. C’est émouvant. J’ai toujours eu ce sentiment de partage et de proximité avec eux. Mais finalement, tu te sens bien auprès des personnes que tu ne connais pas. D’ailleurs, lorsque tu as l’opportunité de rencontrer des personnes que tu admires, tu es souvent déçu. A cause de la différence entre l’image que tu projettes et la réalité. Mais tu peux aussi rencontrer des êtres humains malheureux, perturbés. Il y a quelque chose de touchant, de bouleversant et de triste de se dire qu’on est plus proche d’auteurs et d’écrivains et de films que de la réalité présente. C’est ce sentiment de proximité (film, auteur, etc.) que je voulais introduire dans mon album… » Mais qui est la principale source d’inspiration de ses lyrics ? Henry Miller ? « Pas la principale. En fait, je partage chez Miller, et beaucoup de monde pense la même chose, son aptitude à brosser un portrait susceptible d’embrasser toutes les facettes de la société. Depuis le beau jusqu’au laid. Il les dépeint avec un caractère joyeux. Dans la laideur, il trouve quelque chose de beau. Il existe un espace de langage surréaliste, flamboyant, dans ces descriptions. Les émotions qu’il recherche sont destinées à ouvrir l’esprit. Que tu sois intelligent, stupide, beau ou sale. Et tout ça dans l’allégresse. Entre la beauté et la laideur, il existe quelque chose de commun. J’aime ce manque de rigueur, cette absence de structure, ce désordre… » Et pourtant, certaines compos de Will sont devenues des prédictions. Il s’explique : « Il est vrai que j’ai écrit des chansons à propos d’événements qui se sont déroulés par la suite. En quelque sorte, j’ai anticipé sur le futur. Et pour pimenter le tout d’un peu d’humour, j’ai annoncé à mes potes que j’allais consacrer une compo à ma future notoriété. Donc, c’est devenu une plaisanterie entre nous. Mais cette situation est quand même curieuse. Tu projettes un événement dans ton esprit, alors qu’il n’existe pas. Et puis il se produit. C’est très excitant pour moi… »

Quelques chansons de son denier album ont suscité la controverse. Tout d’abord ‘Plus ones’, un fragment au cours duquel Will utilise des titres de chansons célèbres écrites notamment par les Commodores, REM, Paul Simon, ? & The Mysterians et les Zombies. « Pas tellement une controverse, mais disons qu’elle a fait couler pas mal d’encre. En fait, il s’agit d’une chanson radicalement différente de ce qu’on avait pu faire jusqu’alors. Nous voulions réaliser une compo à la fois amusante et légère. Qui tranche avec tout ce qu’on avait pu concocter dans le passé. Un peu idiote même. Ce n’est pas de l’humour très subtil, mais il a le mérite de faire rire. Tu sais Dylan avait ouvert la voie sur ses albums ‘Blonde on Blonde’ et ‘The Basement tapes’. Ce sont des albums bourrés d’humour mais qui dissimulent un message. Et un gag peut aussi cacher une idée très sérieuse… » A l’instar de ‘John Allyn Smith Sails’. La formation y pastiche ‘Sloop John B’, un traditionnel immortalisé par les Beach Boys mais aussi les Byrds de Roger McGuinn. Et Will y a intégré des textes du poète américain John Allyn Smith. La version est tellement sinistre, qu’elle en devient hilarante (NDR : évidemment, pour percevoir ce type d’humour, il faut bien comprendre la langue de Shakespeare). « Tiens c’est curieux, la plupart des journalistes me parlent des Beach Boys et peu de Roger McGuinn. C’est une chanson célèbre. Au départ, je n’avais pas l’intention de la reprendre. Mais j’ai changé d’avis. Parce que c’est comme si je pénétrais dans une pièce et que je rencontrais quelqu’un que je n’attendais pas. C’est ce qui s’est produit pour ‘John Allyn Smith Sails’. Et j’entre dans la chanson. Ce sont deux compos qui s’entremêlent et finissent par fusionner… »

Les arrangements opérés sur ‘The stage names’ sont assez riches. Parfois tapissés de cordes et même de cuivres. Un peu comme chez Calexico et Arcade Fire. Will ne partage pas cet avis : « Je connais trop peu ces groupes. J’apprécie Calexico, mais si leurs cuivres sont stimulants,  ils appartiennent à l’univers des mariachis. En ce qui concerne Aracade Fire, enfin de ce que j’ai pu en écouter, nous n’évoluons pas du tout dans le même registre. J’ai parfois l’impression que la formation canadienne superpose tout. Elle amoncèle une quantité d’ingrédients de haute qualité, mais sans en soigner les arrangements. Et à la longue, ça devient ennuyeux. Je n’aime pas trop cette technique. Et leur ‘Neon bible’ m’a fortement déçu. Dans ce domaine, je préfère Scott Walker à Arcade Fire… » A ce jour, Will a pu réaliser ses rêves. D’une part, il a échangé un duo avec Daniel Johnston sur ‘Don’t fall in love’. Et puis il a joué en première partie de Lou Reed, un des artistes qui constitue une de ses influences majeures. Il a même pu le rencontrer. « Oui, c’était absolument génial de pouvoir parler avec lui. C’est un type extraordinaire. J’adore sa manière d’écrire, son œuvre. Il est difficile de parler de choses qui nous rendent heureux, parce que vous ne pouvez qu’utiliser des termes dithyrambiques… » Par contre, il ne faut pas lui parler d’alt country. C’est un sujet qui fâche. « J’aime la musique country, mais aussi la soul et le rock’n roll. En fait, je joue de la guitare acoustique, et il y a neuf ans, lorsque tu jouais de la sèche, de la steel ou du banjo, les médias te collaient cette étiquette. Le pire, c’est qu’à cette époque, ce mouvement alt country était détestable. Aussi je refuse d’y être associé. Je n’ai jamais rien eu à voir avec cette scène. Je ne suis pas allergique à la country, je l’apprécie même beaucoup, mais Okkervil River ne joue pas de la country… »

Will n’est pas toujours satisfait de sa voix. Pourtant, parfois, ses inflexions peuvent rappeler Robert Plant. Surtout lors des ballades. Mais n’a-t-il jamais pensé à partager un duo avec une voix féminine ? « J’adore le Led Zeppelin et cette comparaison me flatte. Tu sais, notre musique a quelque chose de rock classique (NDR : il aime Dylan, Leonard Cohen et Joni Mitchell, entre autres). Ce quatuor mythique n’est pas une influence, mais il est vrai que nos compos les plus paisibles peuvent rappeler le climat d’un ‘Going to California’… Maintenant, ma voix n’est pas très puissante ni accessible, pas comme celle de Bono ; et c’est peut-être un problème. Une faiblesse. Donc on s’est cassé la tête pour qu’elle puisse s’intégrer dans notre musique. Pour que le groupe l’accepte. Mais quelque part cette faiblesse est une force en soi… En ce qui concerne un duo avec une artiste féminine, c’est une idée qui me plait beaucoup. C’est une formule élégante et romantique. Mais par convention, mon entourage me déconseille vivement de la concrétiser. Donc je vais m’y risquer, parce que si l’idée est ringarde, c’est un défi à relever… »

Merci à Vincent Devos.

mardi, 25 septembre 2007 20:39

The stage names

Chez Okkervil River et Shearwater on retrouve Will Sheff et Jonathan Meiburg. Seule différence au sein du premier groupe Jonathan est le boss et du second, Will. Deux projets forts intéressants au sein desquels le second rôle n’empiète jamais sur les prérogatives du leader et constitue le complément idéal. L’an dernier, Shearwater avait commis « Palo Santo ». Aujourd’hui, Okkervil nous propose son cinquième opus. Un disque dont le mixing a été confié au fidèle Brian Beattie et à Jim Eno, le drummer de Spoon. En 2005, le précédent elpee, « Black sheep boy » avait reçu une excellente critique de toute la presse. Et il devrait en être de même pour ce nouvel album, même s’il ne repousse plus les limites du folk punk mélancolique et impétueux pour embrasser une expression plus pop. Ce qui n’empêche pas les lyrics de se révéler toujours aussi torturés, acerbes et désabusés. Mais surtout très susceptibles de susciter la controverse. Comme la perte d’identité, le sacrifice, la folie, etc. Si le timbre vocal de Will semble camper un hybride entre Will Johnson (Centro Matic) et Win Butler (Arcade Fire), ses inflexions me rappellent curieusement celles de Robert Plant. Surtout sur les compos les plus douces et mélancoliques. A l’instar de « A girl in port » de « Title track » (drôle de nom pour le tire d’une chanson ») et surtout du délicat et intimiste « Savannah smiles », plage balayée de cordes atmosphériques et teintées d’accords particulièrement séduisants de xylophone. Des arrangements de cordes et parfois même des cuivres sont parsemés judicieusement tout au long de cet opus. Des cuivres plus Cake que Calexico sur le guilleret et ‘motownesque’ « A hand to take hold of the scene ». Et si l’instrumentation est très riche, la guitare et le piano tracent manifestement la ligne de conduite des mélodies. Les six cordes sont même percutantes sur le single contagieux « Our life is not a movie or maybe », abrasives ou déchiquetées tout au long de l’intense « Unless it’s kicks » et rythmiques dans l’esprit de Ron Wood des Stones lors de l’entraînant « You can’t hold the hand of a rock and roll man », même si en fin de parcours les cordes épousent des sonorités davantage ‘crazyhorsiennes’. Et les accords de piano le plus souvent plaqués par Jonathan Meiburg, transcendent littéralement ces mélodies. Deux morceaux curieux quand même. Tout d’abord « Plus ones », un fragment cours duquel Will utilise des titres de chansons célèbres écrites notamment par les Commodores, REM, Paul Simon, ? & The Mysterians et les Zombies. Et puis en final, un « John Allyn Smith sails » au cours duquel la formation pastiche le traditionnel « Sloop John B » immortalisé par les Beach Boys et les Byrds de Roger McGuinn. Et je ne vous en dirai pas plus, vous renvoyant à l’interview que Will Sheff nous a accordée.

 

mardi, 25 septembre 2007 20:12

Back Numbers

Luna disparu, Dean Wareham et Britta Phillips ont donc décidé de continuer l’aventure en duo ou plus exactement sous la forme d’un couple (…). Un exercice de style qu’ils avaient déjà accompli en 2003, en concoctant l’album « L’Avventura » et puis un Ep, fin de la même année. A nouveau produit par Toni Visconti (Bowie, T.Rex), « Back numbers » tourne radicalement le dos aux compos électriques et tumultueuses pour embrasser un style tout en douceur, esthétisme et mélancolie, un style dominé par des synthés et des instruments semi-acoustiques. On savait Dean et Britta fascinés par les exercices de style opérés d’une part entre Gainsbourg et Brigitte Bardot ou Jane Birkin ainsi que Lee Hazlewood et Nancy Sinatra. Ce « Back numbers » s’en inspire manifestement. Surtout au niveau des voix (le timbre sensuel et éthéré de Britta, contemplatif de Dean). Elles se conjuguent la plupart du temps en superbes harmonies. Délicatement country & western, “Say goodnight” en est manifestement le plus bel exemple. En outre, le duo reprend « You turned my head around » du défunt chanteur/compositeur/producteur yankee. Lors du refrain, Britta y gémit pourtant comme Dolores O’Rioardan. L’elpee recèle d’ailleurs plusieurs covers. Souvent obscures. Claudine Longet, franchement, je n’en avais jamais entendu parler. Née à Paris le 29 janvier 1942, cette chanteuse et actrice française était très populaire aux États-Unis dans les sixties et les seventies. Dean et Britta en adaptent son « White horses », sous un format subtilement jazzyfiant. « Teen angel » de Donovan, ensuite. Et puis une version candide d’« Our love will still be there », une chanson signée Reg Presley des Troggs. Sonic Boom apporte son concours à la valse alanguie et aquatique « Wait for me ». « Me & my babies » est une autre valse lente, mais davantage intimiste. Deux compos bénéficient d’arrangements luxuriants. Symphoniques tout d’abord pour « Crystal blue R.I.P. », un morceau qui aurait pu figurer au répertoire des Bee Gees au cours des sixties. Et puis ‘philspectoresques’. Tout au long de « The sun is still sunny », une ballade qui ne manque pas de charme. Dean & Britta évoluent aujourd’hui à des années-lumière de Luna et surtout de Galaxie 500. Il faudra s’en accommoder…

 

dimanche, 23 septembre 2007 13:21

The Libertines : un best of

“The Best of the Libertines”est annoncé pour le 29 octobre.

Tracklisting:

1. Up The Bracket

2. Time For Heroes

3. Mayday

4. Don't Look Back Into The Sun

5. Tell The King

6. What Katie Did

7. Can't Stand Me Now

8. What A Waster

9. The Delaney

10. Boys In The Band

11. Death On The Stairs

12. I Get Along

13. What Became Of The Likely Lads?

Pour plus d’infos : http://www.thelibertines.org.uk

 

 

jeudi, 20 septembre 2007 16:18

Patrick Watson : le nouvel album est sorti

Le nouvel opus de Patrick Watson s’intitule « Close to paradise ». C’est son deuxième et il fait suite à « Just another ordinary day » paru en 2003.

Il se produira le 29 octobre au Depot à Louvain.

Tracklisting :

1. Close To Paradise 

2. Daydreamer 

3. Slip Into Your Skin 

4. Giver 

5. Weight Of The World 

6. Storm 

7. Mr. Tom 

8. Luscious Life 

9. Drifters 

10. Man Under The Sea 

11. Great Escape 

12. Sleeping Beauty 

13. Bright Shiny Lights 

Pour regarder la video de “Man under the sea”:

http://www.youtube.com/watch?v=PNhnuuNOoGg

Pour plus d’infos : http://www.patrickwatson.net

 

Auteur d’une prestation remarquée lors de la dernière édition des Francofolies de Spa, Saint André vient d’enregistrer son premier opus. Produit par Ian Caple (Tindersticks, Bashung, etc.), il sera dans les bacs le 2 septembre et s’intitule « Le Grand Soir ». Signé par le même label qu’Eté 67 et Saule & les Pleureurs, Saint André devrait plaire aux aficionados de Raphaël. Donc une majorité de filles. A cause de Jean-Charles Santini. Pour son physique, mais également sa voix. Pourtant, cet artiste d’origine corse est avant tout auteur, compositeur, guitariste et pianiste. Bref, un talent complet. Saint André évolue dans un registre sis à mi-chemin entre chanson française et pop, moderne et classique.

Saint André jouera en première partie d'AaRON le 26 novembre au Cirque Royal (org. Botanique) de Bruxelles. Il sera à la Boule Noire à Paris le 25 septembre et aux Musicales à Bastia le 11 octobre.

Pas mal d'eau a coulé sous les ponts depuis la participation de Saint André au concours "Musique à la française" en 2005. Le groupe a donné quelques concerts remarqués dont un show-case mémorable aux Francofolies de Spa cette année. Saint André sort un premier single "Un autre que moi" qui s'installe dans les playlists de Belgique et de France (en rotation forte sur Europe 2!), tourne un clip a Montréal qui vient d'être Coup de coeur de M6 (40 passages semaine). Il sortira, ce 28 septembre sur le label 30 Février, son premier album "Le grand soir" enregistré cet hiver à Bruxelles et mixé au printemps par Ian Caple, un British que l'on retrouve derrière Tindersticks, Suede ou Tricky mais aussi derrière des albums en français comme Bashung, Autour de Lucie ou Yann Tiersen. Saint André est un groupe liégeois dont les titres sont composés par Jean-Charles Santini, un jeune corse de talent, installé à Liège, auteur compositeur, et multi instrumentiste. L'album paraîtra en France à la fin octobre sur le label Wagram. (communiqué de presse)

Pour en savoir plus, je vous invite à regarder le clip vidéo :

http://www.youtube.com/watch?v=xMhe9ZyHty4

 

 

"The world has made me the man of my dreams", nouvel opus de Meshell Ndegeocello est dans les bacs depuis le 3 septembre 2007. Il s’agit de son septième opus. Pour qu'il n'y ait aucune confusion possible, rappelons l’essentiel : Meshell est née en Allemagne, a été élevée à Washington D.C., était sous contrat à 23 ans et a reçu 9 nominations aux Grammy Awards.

Elle se produira en concert le 25 novembre 2007 à l’Elysée-Montmartre.

Tracklisting :

1. Haditha 

2. Sloganeer 

3. Evolution 

4. Virgo 

5. Lovely Lovely 

6. Elliptical 

7. Shirk 

8. Article 3 

9. Michelle Johnson 

10. Headline 

11. Solomon 

12. Relief A Stripper Classic 

Pour regarder la vidéo :

http://www.youtube.com/watch?v=y_Fh6eOsyXs

http://www.dailymotion.com/jeansanteuil/video/x32s4a_meshell-ndegeocello-the-sloganeer-p_music

http://www.wat.tv/playlist/467571/video/660397/attitude-Meshell-Ndegeocello-The-Slaganeer-Paradise.html

 

Pour plus d’infos : http://www.meshell.com

jeudi, 20 septembre 2007 16:18

Mattafix : un single pour le Darfour

Le nouveau single de Mattafix s’intitule "Living Darfour" et il entièrement dévoué à la cause du Darfour. Tous les bénéfices de ce single seront entièrement reversés à Oxfam pour le Darfour. De nombreuse personnalité ont contribué à ce projet dont Matt Damon, Desmond Tutu, Elle MacPhesron, The Black Eyed Peas et Mick Jagger. Ce dernier a d’ailleurs permis à Mattafix de réaliser le clip de "Living Darfour": 

http://www.youtube.com/watch?v=JJtvNHPWUO8

 

Le dernier opus de Daho, « Réévolution » date déjà d’il y a quatre ans. Enregistré entre Paris, Barcelone, Ibiza et Londres, il a notamment reçu le concours de son amie Edith Fambuena (Les Valentins). Ce nouveau projet devrait dévoiler une facette plus intime et introspective de l’artiste. Il devrait sortir en novembre. En attendant le titre de l’opus qui n’a pas encore été défini, Daho a sorti un single. Intitulé « L’invitation », il est disponible pour écoute sur MySpace :

http://www.myspace.com/etiennedaho

Pour plus d’infos : http://www.etiennedaho.com

jeudi, 20 septembre 2007 16:16

Dominique A : un album ‘live’

Après 15 ans de carrière, "Sur nos forces motrices" constituera le premier disque ‘live’ de Dominique A, un exercice de style qu’il avait déjà tenté, mais sans le concrétiser. Soutenu par les mêmes musiciens qui avaient participé à la confection de "L'Horizon", il a donc enfin réussi cette entreprise de concocter ce fameux ‘live’. Les titres choisis sont issus de quatre concerts différents et le résultat est finalement très proche d’un ‘best of.’ « Sur nos forces motrices » : sortie le 15 octobre.

Tracklisting :

1. L’amour

2. La Relève

3. Bowling

4. Le courage des oiseaux

5. Pour la peau

6. Exit

7. Marina Tsvétaéva

8. La mémoire neuve

9. Antonia

10. Tout sera comme avant

11. Music Hall

12. Revoir les choses

13. L’horizon

14. Le commerce de l’eau

15. Empty white blues

Pour en savoir plus : http://www.commentcertainsvivent.com