Ces garçons-là ont grandi ensemble, ils ont partagé leurs joies, leurs peines, ressenti ensemble la solitude urbaine, vécu les mêmes désillusions.
Ces garçons-là erraient seuls au milieu de la ville lorsqu’ils ont compris cette urgence commune de se livrer, ce besoin (immédiat) de rendre enfin cette brutalité enfouie, ce désir sourd qui les avait réunis là.
Il fallait alors écrire vite, ne plus sombrer dans la torpeur, ne plus réfléchir, afin que les mots, les notes, les écrits soient instinctifs et en prise directe avec le cœur, là, au plus près de l’émotion, au plus profond de leurs envies.
« Ces garçons-là » (disponible ici ) étaient leur histoire à écrire.