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Yes SIHR !

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La douce fantaisie de Spell Trouble…

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Stéphane Reignier

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mercredi, 31 mai 2017 01:20

Pour toujours et à jamais !

Des images sublimes dans un lieu époustouflant! Le nouveau clip de SOLDOUT pour le single "Forever" est signé par Xavier Réyé et produit par Benuts, déjà primés pour le clip de Stromae "Quand c'est".  Un esprit de fin du monde, un duel passionné. Amour et rivalité.

« The end is just a new start » chante  Charlotte sur le refrain de Forever, chanson qui donne son titre au cinquième album de Soldout. « La fin est juste un nouveau départ ».

Une formule claquant comme une déclaration de foi pour ce groupe qui ne s'est jamais reposé sur ses lauriers, a su rester en mouvement depuis ses débuts en 2004 et surgir là où on ne l'attendait pas.

L'ADN de Soldout est présent tout au long des dix chansons de Forever.

La voix de Charlotte. Le son clairement identifiable de David. Cette musique électronique qui ose se montrer à la fois mélancolique, sombre et solaire. Mais Soldout nous emmène aussi ailleurs avec Forever. Plus haut, plus loin, vers les extrêmes.

Sur Forever, tout va pour le mieux. Tout va par deux. Charlotte et David. Des machines et, pour la première fois, des instruments. De l'analogique et de l'organique. Des chansons d'amour et d'autres qui évoquent la cassure. De la pop et de l'électro. Des sonorités dans l'air du temps mais pourtant loin des modes. Des emprunts au passé sans la moindre touche de nostalgie.

«Forever est un album schizophrène», concluent Charlotte et David. Forever and ever. Pour toujours et à jamais…

Un premier extrait en écoute ici .

Le nouvel album de Bertrand Burgalat paraîtra vendredi 9 juin 2017 en Belgique : 19 titres qui mettent la barre très haut, parlent du monde tel qu'il est, avec force et subtilité.

Songwriting racé, rythmiques souples, harmonies fastueuses, voix corruptrice : le témoignage d'un orfèvre au sommet de son art.

Un album magistral qui ne ressemble à personne.

Un disque d'aujourd'hui qui résistera au temps et aux modes.

Disponible en 3 formats :

Double vinyle avec code de téléchargement HD 24 Bits, CD et numérique.

Envie de découvrir l'univers atypique de cet artiste ? Cliquez ici .

mercredi, 31 mai 2017 01:01

Un again dans la discographie du Kid !

Avec son précédent album "With Julia", on avait quitté Kid Francescoli à la fin d’une histoire.

Celle que le frenchy a entretenu avec une jeune Américaine, Julia Minkin, chanteuse rencontrée à New York et accessoirement incarnation de son rapport de fascination avec les Etats-Unis.

Avec With Julia, Kid Francescoli a validé sa reconnaissance dans l’univers pop en France et en Europe, avec plus de 70 concerts sur cette tournée et des titres playlistés sur Nova, Virgin Radio Radio et Ouï FM.

Une période prolifique puisqu’il initie au même moment le side-project Husbands qui emmène le Marseillais sur un registre plus électro-pop qui va contribuer, tout comme ses remixes pour NZCA Lines ou Fool’s Gold réalisés dans cet intervalle, à faire mûrir un peu plus ses propres productions.

En 2017, "Play Me Again" affiche un nouveau “again” dans la discographie du Kid : un album annonçant une phase inédite, à la fois familière et pleine d’imprévus...

Cette collection de chansons raconte en effet l’“après” With Julia. La love story est terminée, l’épiphanie new yorkaise a disparu mais laisse place à une nouvelle séquence personnelle et musicale. Julia n’est plus l’american lover, le fantasme fait chair, la partenaire amoureuse mais… s’est installée dans la ville de Kid Francescoli, Marseille.

Le single "Les vitrines" disponible ici .

 

samedi, 20 mai 2017 03:00

Mustii président?

Afin de célébrer son ‘Printemps 2017’, la Province de Hainaut avait mis les petits plats dans les grands : défis, dégustations, performances, gaming, bien-être... soit plus d’une soixantaine d’activités. Il y en avait pour tous les goûts !
Mais pas seulement, puisque afin de fêter dignement cette sympathique manifestation, Mustii se produisait sous le dôme multifonctionnel et avant-gardiste du Lotto Mons Expo.
Des consignes avaient été stipulées quelques jours au préalable. Sous peine de se voir refuser l’entrée, il fallait être présent suffisamment tôt. Les organisateurs craignaient un sold out.
Faut dire que Mustii commence à se tailler une solide réputation dans l’univers musical noir-jaune-rouge…

Call me Lia assure le supporting act. Une très jolie surprise ! Ce quintet est mené tambour battant par la toute frêle Alice Spapen et son comparse Arthur Bochner.

L’histoire de ces chevilles ouvrières est d’une banalité exemplaire. Une rencontre au célèbre ‘Jazz Studio’ d’Anvers, une complicité musicale qui s’amorce, un amour de la musique et une amitié naissance. Les ingrédients sont réunis !

Très vite, le duo cherche à se diversifier et propose un spectre musical plus large, davantage structuré et coloré. Il recrute trois autres jeunes musiciens, encore élèves au Conservatoire Royal de Bruxelles : Louise Andri (claviers), Victor Goldschmidt (batterie) et Pierre Louis Barthélémy (basse).

La formation –dont les musicos sont originaires de Bruxelles et du Brabant Wallon– prend véritablement son envol, suite à sa participation en 2015, au concours ‘L’Envol des Cités’. Elle est finaliste. Ce qui lui permet de signer chez Rox Records, un label distribué par Moonzoo music.

Sucrée, sa pop emprunte parfois des accents rock et se teinte circonstanciellement de tonalités jazzyfiantes ou funkysantes. Cosy, feutré même, l’univers sonore est plutôt proche d’un Black Lilys.

Les refrains sont envoûtants et entêtants. Les riffs de guitares sont faussement nonchalants dans la progression rythmique. Sans oublier cette vocalise ensorcelante qui annonce chaudement le printemps. Une tessiture susceptible de faire frémir de bonheur !

Les voix masculine et féminine se conjuguent à merveille ! Elles convient le spectateur à une cérémonie très agréable, pleine de réminiscences qui nous ravissent.

D’une trentaine de minutes cette prestation a certes marqué les esprits, mais elle laissera comme un goût de trop peu.

Les applaudissements –hautement mérités– fusent de toute part. Les lumières tamisées s’éteignent doucement et la salle sort de sa pénombre.

Il faut attendre 22h30 avant que Mustii ne montre le bout de son nez. Il s’excuse d’avoir une demi-heure de retard. Faut dire qu’il était programmé à l’affiche d’un autre festival, quelques heures plus tôt.

Si habituellement, il est couvert d’un ersatz de peignoir à capuche de style ‘Boxer’, acheté aux fripes, il arbore une tenue un poil plus conventionnelle ce soir : soit un survêtement en toile de lin de couleur noire et des fringues en cuir.

Histoire de théâtraliser un peu plus l’évènement encore, les musicos qui l’accompagnent ont suivi le même rituel.

Thomas Mustin, à l’état-civil, s’est essentiellement illustré en publiant « The Golden Age » et « Feed Me », deux titres matraqués sur les ondes radiophoniques.

Jeune artiste belge, acteur, auteur, compositeur et interprète, son univers musical baigne au cœur d’une pop électro enivrante, sensuelle, douce et abrupte à la fois.

A même pas trente ans, le gamin diplômé de l'IAD possède déjà une sacrée expérience scénique ! Ces derniers mois, il a écumé des dizaines de salles de concerts et des festivals.

Son tour de chant commence lorsque deux comparses flanqués en arrière-plan frappent énergiquement sur deux cymbales gargantuesques. Tout est millimétré. Les sons synthétiques sortent des machines, posées ci et là, et inondent immédiatement les conduits auditifs des aficionados. C’est assez énergique, les premiers pas de danse de sioux sont perceptibles !

La salle est pleine à craquer ! Les quelques piliers de comptoir ont déserté le bar, déposé leur pinte et sont venus tendre l’oreille à moitié ivre.

Mustii interprète, bien sûr les titres de son Ep, « The Darkest Night », paru l’an dernier. De nombreux fans connaissent les textes et les reprennent en chœur.

Les chansons conventionnelles et de jolies ballades ténébreuses alternent. Elles figureront sur un elpee, qui devrait sortir très prochainement.

Etrangement, la puissance de sa voix contraste avec son physique de jeune premier tout droit sorti d’une sitcom française pour ados, diffusée pendant les années 90.

Les détracteurs estimeront le set, sans doute, trop lisse. Donc, sans relief. Si manifestement l’improvisation n’a pas sa place, il est au contraire fort dense.

Sa reprise du tube séculaire « Heroes » s’avère toujours un des moments forts du spectacle. Une compo très intelligemment réappropriée. Le regretté David Bowie aurait été très fier du travail accompli.

Sans relâche, le show est rythmé par une kyrielle de chorégraphies ! Le gaillard ne cesse de courir et d’interagir avec les spectateurs.

A plusieurs reprises, il descend dans la fosse et serre les mains. De quoi laisser de nombreux spectateurs, bouche bée. Le tout, en arborant un large sourire, malgré une chaleur particulièrement écrasante. Il perle de sueur. Mais, on le sent heureux d’être là ! Il communique son énergie. On se croirait en pleine campagne électorale. Un spectateur lui offrira même du ‘Babybel’ pour le remercier. Et ce fromage est aussitôt converti en trophée…

Dents blanchies, sourire ravageur, coiffure soigneusement peignée et yeux hypnotiques, il profite de sa plastique de mannequin pour lécher du regard sans trop de scrupules les plus jolies filles. Et apparemment, elles sont ravies.

Un concert d’une rare intensité ! Décidément, La Belgique regorge de bien plus de talents qu’on ne peut l’imaginer…

(Organisation : Province de Hainaut)

 

 

 

« Your King » est le premier clip de Grace Meer. Ce court métrage musical est dirigé par Clément Legrand (Réalisateur) et Damien Laturaze (Plasticien) tous deux récompensés par Lady Gaga en 2010. Le clip met en scène le mythe de l'androgyne dans sa quête effrénée d'unicité et de comblement de soi.  

Le court-métrage musical "Your king" porte la symbolique de la recherche originelle de l'amour et de sa polarité complémentaire. Gorgé de références artistiques, mythologiques, philosophiques et spirituelles, "Your King" dévoile plusieurs niveaux d'interprétation. Le court-métrage révèle ainsi différents aspects : la dualité en chacun, les parts d'ombre et de lumière, les pulsions de vie et de mort l'Eros et Thanatos, l'union du masculin et féminin sacrée. 

L'artiste, dans la projection de ses fantasmes et dans le foisonnement de son inconscient, nous invite à sonder son monde intérieur dans une introspection mystique et élévatrice. Tout l'univers est contenu et inscrit en elle.

Cette artiste, auteur, compositrice, interprète possède un univers musical graphique abouti, profond et puissant, à découvrir ici .

 

 

 

 

mardi, 23 mai 2017 14:49

Une cérémonie tout en couleur !

C É R É M O N I E raconte des histoires. Des histoires de déambulations, d’interrogations, d’amour et d’abandon.

Ses histoires, C É R É M O N I E les raconte à deux voix. L’une féminine, l’autre masculine. Deux voix qui chantent des textes écrits en français. Cette langue qui porte les membres du groupe depuis plusieurs années déjà.

Quant à la musique de C É R É M O N I E, elle forge un univers typé qui évoque à la fois New Wave, Synth Pop et Twee Pop. Un son dans lequel s’enchevêtrent et se répondent une guitare ample gorgée d’échos, des basses vibrantes et saturées et une batterie minimale et directe, parfois organique parfois synthétique.

 

Le premier single de  C É R É M O N I E s’intitule La Chute Des Corps. En écoute ici .

 

 

mardi, 23 mai 2017 14:37

Absynthe Minded exécuté !

Depuis l'album 'As it ever was' sorti en 2012 (avec e.a. Space et 24/7) ABSYNTHE MINDED n'avait plus sorti de nouvelle musique.

Mais l'attente est enfin finie car cette semaine le groupe sort 'The Execution', un single qui d'après les passionés de rock chez Sony Music en France et en Benelux est d'une qualité sans précédent pour le groupe de Bert Ostyn.

'The Execution' sera le premier single d'un nouvel album qui arrive après l'été.

 

 

Formé à Bruxelles en 2016 autour de la personnalité sémillante d’Audrey Marot, Annabel Lee est un projet de garage pop qui n’hésite pas à foncer vers le punk ou le grunge lorsque tout le monde commence à dodeliner de la tête avec trop d’indolence.

Ce blaze de brigande de western moderne évoque surtout une féminité farouche qui n’hésite pas à balancer des coups de genou là où il faut avant de tourner un sourire mélancolique vers le soleil, lequel imprègne chacun des morceaux du premier EP Wallflowers (sortie prévue le 2 juin chez Luik Records).

Un mélange de candeur, de lucidité, de crudité et de cynisme post-adolescent qui imprègne la voix mi-cristalline mi-blasée d’Audrey et qu’on retrouve chez l’australienne Courtney Barnett ou le duo californien Best Coast.

Découvrez "Period sex" ici .

mardi, 23 mai 2017 13:59

"Millionaire" a tiré le gros lot !

Après 12 ans d’interruption, Millionaire est ‘on a high’ again.

Le groupe mené par Tim Vanhamel marque son retour avec ’Sciencing’, l’album fraîchement sorti, passé chez Unday, le label d’entre autre Trixie Whitley, Dans Dans et Tamino.

Aujourd’hui Millionaire annonce 2 concerts cette automne: Handelsbeurs à Gand le 7 novembre et Het Depot à Louvain le 14 novembre.

 

Regardez la vidéo de ‘I’m Not Who You Think You Are’ ici .

 

 

Enfant de banlieue Parisienne, Eddy de Pretto en garde l’amour du mot qui cogne.

Scandant avec grâce des textes durs, il rapatrie avec une violence poétique une certaine idée du béton dans la chanson française.

Il en tire également des influences urbaines et New-R&B, donnant à sa chanson française une approche résolument moderne.

Remarqué au Festival des Inrocks Lab en septembre 2017, c’est sur scène que ce jeune auteur-compositeur prend toute son ampleur, et finit d’écrire avec son corps ce que les mots ne peuvent plus.

Après avoir sorti plusieurs titres démos, dont 'Beaulieue' et 'Rue de Moscou',  Il produit actuellement son premier EP qui sortira en septembre prochain.

Vainqueur du Prix du Printemps de Bourges 2017, il défendra ses chansons sur scène dès le mois de mai, avec sa toute nouvelle formation scénique, accompagné d’un batteur et d’un claviériste/bassiste.

 Découvrez cet artiste en cliquant ici .