L’origine et la fin de Monseigneur…

Monseigneur est un quatuor liégeois dont les membres se connaissent puisqu’ils ont foulé les mêmes scènes au sein de projets musicaux différents, depuis de nombreuses années. Il s’agir d’un projet 2.0, né d'abord digitalement, lors du confinement imposé en…

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Stéphane Reignier

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Ozark Henry est de retour avec un tout nouveau single ‘A Dream That Never Stops’!

C’est le premier titre de son nouvel album ‘Us’ qui sortira le 31 mars. Pour ce disque, Ozark Henry a travaillé avec le producteur Tim Bran (London Grammar, Birdy, The Verve).

Ecoutez le single ici .

Le premier clip contient des images tournées à New York pendant la réalisation de l’album (Ozark Henry y a enregistré une grande partie) ainsi que des images du concert qu’il a donné en Hollande en novembre 2016 pour la famille royale hollandaise comme un cadeau de la famille royale belge.

La vidéo lyrique à voir ici .

 

Il n’aura fallu que 12 minutes pour que le concert de Loïc Nottet à l’Ancienne Belgique le 22 avril affiche complet. Vu la forte demande, un concert supplémentaire a été ajouté le dimanche 23 avril à l’AB. Les tickets pour ce concert supplémentaire se sont, quant à eux, vendus en 14 minutes!

Le talentueux belge a présenté fin octobre son nouveau single ‘Million Eyes’. La vidéo a déjà dépassé les 1,7 millions de vues sur Youtube ! Elle est disponible ici .

Le single est extrait de son tout premier album qui sortira au printemps 2017. Cet album concept vous racontera une histoire au fur et à mesure des chansons. Avec ‘Million Eyes’, le premier chapitre est ouvert.

 

dimanche, 15 janvier 2017 15:36

Broken Back présente des "Excuses"

Le titre "Excuses", issu du premier album éponyme de Broken Back, et sur lequel vous pourrez y retrouver le hit qui vous a fait danser tout l’été ‘Happiest Man On Earth’, tourne en boucle sur les ondes FM.

Broken Back sera aux Nuits Botanique le 19 mai 2017 (Chapiteau). L'occasion de (re)découvrir Jérôme Fagnet, jeune et talentueux artiste originaire de Saint-Malo, qui vous fera voyager pendant de longues minutes aux rythmes de sons exotiques (mélange d’électro-folk) et originaux.

 

 

 

dimanche, 15 janvier 2017 15:23

Grandgeorge en session live 360°

Quelques jours après la fin de sa tournée d'automne et à l'aube du travail d'écriture de son second opus, GRANDGEORGE a voulu remercier tous ceux qui l'ont soutenu depuis le début de son incroyable aventure musicale en partageant cette "expérience live & 360", fruit d'une première collaboration avec la Patshiva Cie avec laquelle il interprète ‘Fading Away’, titre extrait de son premier elpee.
 
L'occasion pour ceux qui ont pu assister à l'un des 102 concerts de retrouver l'énergie de GRANDGEORGE, soutenu par son trio, enrobée d'une délicieuse touche de féminité et de talent !


Cliquez ici pour vivre cette expérience hors du commun.

dimanche, 15 janvier 2017 11:23

Palermo Hollywood

Benjamin Biolay a véritablement capté l’attention du grand public dès l’an 2000, en composant, à l’aide de Keren Ann, l'album d'Henri Salvador, « Chambre avec vue », au sein duquel figure la chanson « Jardin d'hiver ».

Celui que beaucoup comparent à Serge Gainsbourg, à cause de ses frasques et de sa grande gueule, s’est vu coller, par la critique, le qualificatif de mauvais garçon de la scène française.

Globalement, la carrière musicale de l’artiste est pourtant faite de jolis exercices de style. Ses compositions originales sont souvent intéressantes, mais parfois inégales, à l’instar de celles qui figurent sur son elpee « La Superbe », sorti il y a maintenant sept longues années.

Il a toujours mis en exergue une forme de mélancolie aux accords lyriques à travers laquelle ses thèmes de prédilections (déceptions amoureuses et vicissitudes de la vie) peinaient à s’exprimer.

A la suite d’un énième spleen, l’écorché vif met le cap sur l’Argentine, dans un quartier de Buenos-Aires pour y concocter un concept album intitulé "Palermo Hollywood".

Entamé à Paris, enregistré au nord et au sud, ce dixième opus rend un bel hommage, mais également sincère et poignant, à ce pays d’Amérique du Sud qu’il connaît et affectionne particulièrement, puisqu’il y est allé à plusieurs reprises, y a tourné un long métrage (‘Mariage à Mendoza’) et rêve même d’y finir ses jours.

Pour enregistrer ce nouveau format, il a reçu le concours de musiciens argentins, uruguayens et même colombiens. Sofia Wilhelmi et Alika viennent également poser leurs voix sur trois morceaux. Enjoué, ensoleillé et rayonnant, cet opus baigne donc au sein d’un climat latino ; on peut donc affirmer que la musique de l’artiste a opéré un virage à 180°.

Dès le titre éponyme, l’immersion est totale ! Les mots chuchotés sont posés sur un lit de cordes lancinantes et s’accompagnent d’un rythme lent.

Les plages suivantes sont amples et sensuelles. Ça sent le sable chaud ! Affichant une nonchalance déconcertante, on a l’impression que le gaillard s’amuse comme jamais. Les mélodies sont soignées et les arrangements mêlent subtilement et intelligemment tempos argentins et cuivres sud-américains.

De sa voix de crooner grave, il y parle de ce qu’il aime, comme le football (« Borges Futbol Club »), les passions amoureuses (« Palermo Queen », « Miss Miss »), les échecs sentimentaux (« La débandade ») ou encore du pays qui lui a ouvert les bras du succès (« Ballade française »).

Bref, teinté d’exotisme, ce savoureux voyage constitue une ode à l’évasion qui reflète, en quelque sorte, la bande originale de sa vie. Peut-être s’était-il dispersé au fil du temps… Comme quoi, on peut s’inventer en se réinventant !

jeudi, 29 décembre 2016 13:13

Dignes, dingues, donc

C’est dans les vieilles casseroles qu’on fait les meilleures soupes. Enfin, selon l’adage ! Arborant fièrement 67 printemps, l’icône de la chanson française pose une nouvelle fois ses vocalises sur un tout nouveau format.

Propulsé par le single "Et je l'appelle encore", vibrant hommage à sa mère disparue dix ans plus tôt, ce nouvel opus était donc espéré par les fans qui ont patiemment dû attendre durant six longues années depuis le dernier exercice de style, « Plusieurs lunes ».

L’artiste a bien bourlingué depuis ses débuts ! Elle a traversé les âges et les modes, affrontant ci et là les tumultes de la vie.

« Dignes, dingues, donc … » synthétise, quelque part, la carrière de l’artiste. Plutôt éclectique, il recèle toute une palette de titres épurés et émouvants où piano et cordes se mêlent à la syntaxe vocale et le phrasé si particulier.

Eloignée des années sombres, la grande dame y parle, sans équivoque, de ses thèmes de prédilection sous une double angulaire, à mi-chemin entre légèreté et gravité.

Pop/rock, le titre maître avait été écrit juste avant les attentats ; et il traite de la religion, non sans un certain degré d’humour décomplexé. « Des X et des I grecs » tire un trait sur un passé alcoolique. Plus sombre, « L’écume des jours » relate une histoire d’amour qui s’est envolée, une plage qu’elle partage en duo avec Thomas Dutronc. Et le fils à Jacques participe également au plus léger, mais chargé de swing, « Zéro de conduite ». Enfin, « S’il était une fois » baigne au sein d’un climat latino. Une fin de parcours qui dénote cependant dans l’ensemble, flirtant même inopportunément avec une certaine variété…

Véronique Sanson est certainement un monument de la chanson française. Et vu son parcours, on peut même affirmer que sa carrière est solide comme le roc(k). Mais si ce quinzième album studio devrait ravir les inconditionnels de l’artiste, les mélomanes risquent fort de rester sur leur faim, espérant toujours aussi impatiemment une œuvre du calibre de celles publiées au début des années 70 (« Amoureuse », « De l’autre côté de mon rêve », …)

jeudi, 29 décembre 2016 13:12

Mystère

Quand on évoque l’étrange patronyme La Femme, on pense à une icône plantureuse aux formes généreuses. Et pourtant, à l’origine, le projet était réduit à deux hommes, Sacha Got et Marlon Magnée.

Après avoir goûté à différents styles, la jeune fille est passée de l’adolescence à l’âge adulte. On pourrait même ajouter, en deux temps trois mouvements ! Elle a non seulement grandi (le line up recèle cinq gars et une fille, aujourd’hui), mais elle a surtout gagné en maturité. Surtout depuis la publication de son premier essai, « Psycho Tropical Berlin ». Ce qui lui a valu une récompense aux Victoires de la musique, dans la catégorie ‘album révélation de l’année’.

Depuis, on peut dire que le combo est sur le velours. Il nous propose un nouveau format. Qui s’intitule « Mystère ».

Verdict ? Un condensé de compos décomplexées, insouciantes, délurées et fêtardes qui bouleversent les codes figés de la chanson française. Anti-thèses d’un Dominique A ou d’un Miossec, elles lorgnent plutôt vers Philippe Katerine !

Des chansons qui baignent au sein d’une forme de cold wave synthétique. Un brin rétro, elles sont saupoudrées, ci et là, d’un zeste de punk spasmodique…

Le mélomane lambda aurait tendance à se laisser bercer par une absurdité rafraîchissante où se mêle vrai/faux second degré. Le plus averti devrait y déceler en filigrane un message plus profond, davantage psychanalytique.

La syncopée est tonitruante et envoie valser au placard cette sinistrose ambiante qui nous dévore au fil d’une actualité guerrière bien trop présente. Cette gonzesse à six têtes est certes désinvolte, mais possède le don de plonger les aficionados dans une dimension schizophrène.

Les thématiques parlent du quotidien avec une légèreté frémissante, mais sans langue de bois. On y parle de tout et de rien à la fois. Sans jamais être grossier, ni graveleux. « Septembre » évoque la fin de l’été, « Elle ne t’aime pas » brosse une histoire d’amour compliquée – comme souvent–, « Sphynx » aborde le sujet de la drogue, sans pourtant en faire l’apologie. Si tout le monde prenait de l’acide, un jour dans sa vie, le monde serait peut-être davantage en paix. Mouais…

Ce long format risque fort d’éprouver d’énormes difficultés à séduire les pontifes de la pop. Et vu les diktats et les formatages imposés par les radios, il ne devrait pas y trouver davantage de place dans ses programmations.

Dommage ! Parce que derrière, s’y cache une vraie musicalité et des thématiques qui naviguent à mille lieues de l’univers ‘prout prout’ d’un Patrick Sébastien. Comme quoi, la culture musicale a encore des chaumières à visiter !

La soirée du 90ème anniversaire de Tony Bennet a eu lieu devant une audience en direct au Radio City Music Hall à NYC le 15 septembre 2016 et présente des performances d'Andrea Bocelli, Billy Joel, Elton John, Michael Bublé, Rufus Wainwright, Kevin Spacey et Diana Krall. K.d.lang, Lady Gaga et Stevie Wonder.

Ecoutez « Who Cares » ici ! L’album sort le 16 décembre 2016

LA révélation de cette année, Jain, présente la réédition de son album « Zanaka », agrémenté de 5 titres bonus dont 3 inédits. Inclus les hits « Come » et « Makeba » !

Jain sera en concert à l’Ancienne Belgique 25 février 2017.

 

lundi, 26 décembre 2016 14:43

"Les Choses Défendues" selon Cali !

« Les choses défendues »,  le nouvel album de Cali, produit par Edith Fambuena (Bashung / Higelin / Zazie …), présente l'artiste dans un style pop revigoré, moderne, mettant parfaitement en valeur tout son talent d’écriture au profit d’une production ambitieuse! Inclus les singles « I want you » et « Je ne peux pas pleurer plus que ça ».

A cette occasion, Cali vous a laissé un petit message. Ecoutez-le en cliquant ici .

Retrouvez Cali en concert :

05/02 – Festival Parole d’Hommes (Malmedy)

17/03 – Théâtre Royal de Namur

18/03 – Maison de la culture d’Arlon

19/03 – Théâtre Royal de Mons

20/04 – Centre Culturel d’Ath