Vendredi Minuit l’heure de Sofia Bolt…

Sofia Bolt est le projet de la musicienne, compositrice et productrice d'origine française Amélie Rousseaux. C'est à Los Angeles, où elle vit depuis son départ de Paris en 2017, qu'elle a enregistré son second elpee, « Vendredi Minuit », ce 10 mai 2024. Entre…

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Le Yam 421 ou le 5 000 pour Bright Eyes ?

Bright Eyes sortira son nouvel elpee, « Five Dice, All Threes », ce 20 septembre. Ce sera son 10ème. Lors des sessions, Conor Oberst, Mike Mogis et Nate Walcott ont reçu le concours de plusieurs invités dont Cat Power, Matt Berninger de The National et Alex…

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Sleaford Mods - Lowlands ...
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Stéphane Reignier

Stéphane Reignier

samedi, 15 juin 2024 13:05

L’esprit infini de LUX the band…

Après la sortie de second elpee, "Gravity" (décembre 2022), et de l'Ep "Before Night Falls - The Black Box Sessions" (digital janvier 2024), le quatuor LUX the Band (Angela Randal et Sylvain Laforge accompagnés de Julien Boisseau et Amaury Blanchard) est de retour. Il vient de sortir un nouveau single intitulé "Infinite Mind".

Il s’agit d’un titre rock simple et direct, avec un gimmick mémorable et un solo reconnaissable de Sylvain Laforge. Les paroles cherchent à capturer un instant, à suspendre le temps suffisamment longtemps pour observer de près un état d'esprit où la beauté et l'amour côtoient la frustration et la déception, pendant que nous comptons les heures de la journée, jour après jour. Un sentiment d’exclusion, regardant ce qui se passe à l’extérieur tel un spectateur de sa propre vie. Le titre se conclut sur cette note d'espoir : ‘retreat, toss out the garbage and redefine’ (‘se retirer, se débarrasser des interférences et se redéfinir’) !

"Infinite Mind" est disponible sous forme de clip

Le plan statique et le huis clos traduisent un espace mental et les différents états qui s'y trouvent.

L'action se déroule uniquement en intérieur –répétition, réflexion et multiplication– autant de façons de montrer le fonctionnement d'un esprit, visuellement soutenu par le montage du talentueux William de Caron et les images lumineuses de Jehsong Baak.

Dans cette vidéo, Sylvain symbolise la musique, toujours présente. Il n'est pas tout à fait le fruit de l'imagination d'Angela mais il existe dans son imaginaire (la petite musique dans notre tête).

Angela est à la fois la narratrice et l'autrice, en train de réfléchir, d'écrire et toujours en mouvement, prise dans l'acte de chercher les mots pour écrire la chanson.

A l’instar de l’univers, le monde de My Light, My Destroyer est en constante expansion.

Le troisième elpee de Cassandra Jenkins, qui sort le 12 juillet chez Dead Oceans, promet d'atteindre les limites de la nouveauté, avec une palette sonore plus large que jamais –englobant le rock indé à guitares, la new age, la sophistipop et le jazz. Au centre de tout cela on retrouve la curiosité de Jenkins pour les quarks et les quasars qui composent son espace, alors qu'elle mélange des enregistrements de terrain avec un lyrisme poétique tour à tour allusif, humoristique, dévastateur et confessionnel –un geste alchimique qui approfondit encore la richesse des 13 compos de My Light, My Destroyer.

Après avoir récemment sorti son premier single, « Only One », d'une luxuriance stupéfiante, Cassandra sort aujourd'hui le titre pop new age caverneux « Delphinium Blue », accompagné d'une vidéo qu'elle a également réalisée.

Cassandra Jenkins imprègne « My Light, My Destroyer » d'une grande confiance, qui trahit la simple vérité que le chemin n'a pas été sans difficulté.

En compagnie de ses plus proches collaborateurs musicaux et du producteur, ingénieur et mixeur Andrew Lappin (L'Rain, Slauson Malone 1) en coulisses, Cassandra Jenkins a commencé à construire « My Light, My Destroyer » à partir des cendres d'un faux départ qu'elle avait fait alors qu'elle ‘fonctionnait au ralenti’ après deux ans de tournées avec An Overview.

La vidéo de « Delphinium Blue » est à voir et écouter

 

 

samedi, 15 juin 2024 12:56

Fuji-Joe présage la canicule…

Après avoir accordé des concerts pendant un an à Paris et accompli un passage en Angleterre en début d'année, Fuji-Joe sort son premier Ep, « Soleil brûlant ».

À travers 3 titres, Fuji-Joe revendique être à l'origine du meilleur Ep de ‘post-punk noisy french poetry shit’ jamais enregistré à Pantin, en 2024 ». 

Le trio, composé de Lou (à la batterie), Sarah (à la guitare) et Achille (au chant, basse, synthétiseur), aborde cet Ep comme un premier geste, proposant des textes en français et un son post-punk noise assumé.

Ce disque, conçu à six mains, est la somme de forces opposées. Fuji-Joe cherche ici une forme d'équilibre, la poésie au cœur du bruit, l'ombre dans la lumière d'un soleil brûlant.

« Désert » est en écoute ici

 

samedi, 15 juin 2024 12:55

L’impatience d’Emma Peters…

Tout de suite : plus qu’un mantra ou une profession de foi, trois mots qui résonnent comme l’affirmation d’un désir pur. Un appétit qui guide la vie d'Emma Peters chaque jour. Surtout depuis deux ans et la sortie de son premier album, « Dimanche », clin d’œil à son jour préféré, celui où, depuis sa chambre, elle diffusait sur Youtube des reprises de ses titres préférés.

Une habitude qui lui a valu des millions de streams, en France comme à l’étranger.

« Tout de suite » est né, comme « Dimanche », dans la chambre d’Emma. Une chambre dont elle a écarté les murs. Si la guitare acoustique reste son fil rouge, elle l’habille de nouvelles couleurs, afrobeat ou bossa (sur « Cariño », avec November Ultra et Noorou sur sa reprise en français de « Billie Bossa Nova »). Et s'aventure plus loin dans les univers qui l’inspirent depuis toujours, de la puissance frontale du rap français à la grâce extrême des chansons de Michel Berger ou Véronique Sanson. De nouveaux horizons vers lesquels l’accompagnent de nouveaux collaborateurs : Sage, ‘song doctor’ pour Clara Luciani, Lomepal ou Eddy de Pretto ; Boumidjal, ‘hitmaker’ » chez Niska ou Damso, qui a contacté spontanément Emma sur Instagram après avoir entendu ses chansons. Mais aussi Tristan Salvati (Angèle, Louane), Stan Neff (Barbara Pravi) et Mark ‘Spike’ Stent (Miley Cyrus, Harry Styles, Dua Lipa) au mix.

Multicolore, telle est aussi la palette de « Tout de suite ». Un opus dont l’extrême richesse trouve sa cohérence dans la sincérité d’Emma et dans sa voix. Sans jamais hisser un mot plus haut que l’autre, elle sait donner à chacun tout son sens, et oser le contraste entre les plus doux, les plus cash, les plus intenses. Tendresse et brutalité : dans le second elpee d’Emma Peters, tout, ou presque, est vrai. Chaque texte a la substance des choses vécues, celles qui font souffrir comme celles qui font grandir. Tous nous vont d’ailleurs droit au cœur. Tout de suite.

Extrait de « Tout de suite », « Empreinte » est en écoute

 

 

 

Monseigneur est un quatuor liégeois dont les membres se connaissent puisqu’ils ont foulé les mêmes scènes au sein de projets musicaux différents, depuis de nombreuses années. Il s’agir d’un projet 2.0, né d'abord digitalement, lors du confinement imposé en 2020 et par la volonté de ses membres d’acquérir du matos leur permettant de surmonter les barrières de la production musicale classique, offrant ainsi une liberté totale de création et de production dont a découlé une quinzaine de titres.

Totalement autoproduit, le groupe revendique son autonomie créatrice en proposant une musique, en français dans le texte, dont les influences font le grand écart entre Led Zeppelin et Alain Bashung.

Le collectif numérique s'est dorénavant mué en une véritable entité physique qui s'est produite en concert pour la première fois en novembre 2023 lors d'un showcase de présentation dans leur berceau en bord de Meuse liégeoise. La formation est maintenant prête à prendre la route pour relancer l'aventure des concerts et propose un second extrait intitulé « L'Origine et la Fin ».

Dans l'attente de la parution du futur long playing, d'autres morceaux seront postés sur la toile, au cours des prochains mois pour essayer de se frayer un chemin jusqu'au public réceptif à l'appel de la musique de Monseigneur.

« L'Origine et la Fin » est à découvrir sous forme de clip ici

 

samedi, 15 juin 2024 12:54

La substitution d’Edouard van Praet

Edouard van Praet a publié son nouveau single, « Remplaçable », ce 2 mai 2024, une chanson délicate et rêveuse à la basse hypnotique, aux synthés mignons et aux guitares discrètes. Entre pop et punk doux, les paroles en français à la reverb’ profonde évoquent des souvenirs oubliés et une demande de pardon pathétique du narrateur. Stylistiquement entre 80’s et pop alternative moderne, ce titre commence frontalement et termine par une coda envoûtante qui pousse à la réminiscence. Finalement, cette ballade puise ses influences chez Tom Waits et Frank Sinatra, en servant d’un son gabber/trance dégénéré.

Le clip est à voir et écouter

Le Belgo-canadien Edouard van Praet façonne son univers depuis maintenant trois ans. Trois années d’étrange fusion chimérique de styles : entre tradition et modernité, entre sourire et pleurs. Le dandy trash inhale les vapeurs du rock'n’roll pour les expirer en sons qui lui sont propres, ce que l’on pourrait appeler le jungian indie-pop-punk-electro-rock-paper-scissors alternatif ou pour faire plus simple, l’anti-rock.

Après avoir publié deux Eps bien accueillis en Belgique, Edouard nous prépare son premier album, la suite logique mais audacieuse de ses précédentes expérimentations (« Doors » en 2021, « Cycles » en 2022). Sur son nouvel opus, son chant en français est plus présent. Il voit sa musique comme un immense terrain de jeu au cours duquel des guitares sont grattées, des synthétiseurs sont manipulés et des micros sont malmenés.

Sur scène, Edouard se déchaîne. C’est une constance parmi ses contrastes. Accompagné de son band d’anti-rockeurs, il vous invite à boire la tasse et à vous abandonner à la transe.

 

 

 

samedi, 15 juin 2024 12:53

La Flemme tente de nous endormir…

La Flemme émerge comme un tourbillon coloré dans le paysage musical français, entraînant son public dans un univers où convergent des sonorités pop garage, des textures psychédéliques et une indéniable énergie nerveuse.

Originaire de Marseille, ce groupe de jeunes musiciens s'est déjà fait une place sur les scènes hexaqgonales, chacun d'entre eux s'étant déjà frotté au monde de la musique dans le cadre de divers projets. Jules, Stella, Charles et Ronie, respectivement associés à Technopolice, Flathead, Tense of Fools et Avenoir, ont mis leurs talents en commun après une nuit où la paresse était bien présente, décidant de créer ensemble une nouvelle entité musicale.

L'objectif initial était simple : monter sur les planches pour un concert dans les deux mois à venir. Et le résultat est à la hauteur de leurs aspirations : des titres accrocheurs, imprégnés de l'énergie frénétique du rock garage et d'une volonté d'exploration sonore psychédélique, gravés dans la mémoire auditive de leur public.

La Flemme dévoile également un clip captivant pour accompagner la sortie de son titre phare, "Somnifères". Il est à découvrir ici

Les membres de la formation sont figés dans des scènes évocatrices de quatre lieux emblématiques : un cinéma, un jardin, une chambre et la mer. Leur présence statique contraste avec l'effervescence sonore de la chanson, tandis qu'ils prononcent des paroles simples mais percutantes. "Somnifères" explore subtilement les thèmes de l'ennui et de la perte de l'innocence, plongeant dans la nostalgie de l'enfance où chaque instant semblait empreint de magie.

Sofia Bolt est le projet de la musicienne, compositrice et productrice d'origine française Amélie Rousseaux.

C'est à Los Angeles, où elle vit depuis son départ de Paris en 2017, qu'elle a enregistré son second elpee, « Vendredi Minuit », ce 10 mai 2024.

Entre morceaux de pop française, psyché 60’s et trip hop 90’s, ce nouvel opus, co-produit en compagnie d’Oliver Hill (Dirty Projectors, Kevin Morby, Vagabon) est une méditation sur le présent. On y retrouve des duos avec Stella Donnelly et Rodrigo Amarante.

La ‘lyric vidéo’ de « Vendredi Minuit » est à découvrir ici

Ce quatuor londonien –composé de Henry Camamile (chant, guitare), Rory Young (guitare), Andrew Dawson (basse) et Oli Khan (batterie)– s'impose par sa franchise rafraîchissante, ses mélodies accrocheuses et des paroles candides et positives. En outre, Sea Girls aspire à garder la tête haute, un message puissant qui résonne dans notre époque marquée par l'instabilité mondiale.

En les voyant jouer leurs chansons bien ficelées devant des foules en délire qui reprennent chaque mot, on saisit l'attraction magnétique du groupe, expliquant ainsi leur fanbase dévouée à travers le monde. Que ce soit lors de tournées à guichets fermés ou sur scène durant les festivals, l'ascension des Sea Girls semble irrésistible.

La capacité du combo à créer une magie pop parfaite aux influences rock se fait à nouveau entendre lors d’un titre palpitant et entraînant, intitulé « Come Back To Me » qui est déjà devenu un véritable coup de cœur.

Ayant déjà conquis les classements au Royaume-Uni et en Allemagne grâce aux titres « I Want You To Know Me » et « Midnight Butterflies », il est prêt à poursuivre sur sa lancée en nous livrant ce single, sous forme de clip ici

 

 

François Staal retourne aux sources de son enfance à travers son nouveau clip consacré à « Bréhat (Enez Vriad) », extrait de son dernier album « L'Humaine Beauté ». Il part en tournée de 17 concerts en Bretagne, dont 15 seront accordés sur l’Ile de Bréhat, du 8 au 26 juin 2024.

Bréhat, l'Île de la beauté. L'île ou l'esprit s'éveille aux pensées essentielles, à la question existentialiste, aux aspirations au sublime, aux embruns, aux tempêtes, à la mer, au soleil, aux étoiles, aux chemins perdus et perdants les voyageurs, à l’insularité, aux parfums merveilleux des fleurs et des arbres, aux eucalyptus et pins, à l'odeur de la mer...

Mais également aux vagues, aux marées et au silence, aux vents puissants ou doux. La beauté omniprésente de la nature, le calme et l'effort des éléments contre le granit.

Le poète rock François Staal revient donc sur le lieu qui lui est particulièrement cher, ancrage entre ciel et mer, souvenir de bonheur.

Le clip de « Bréhat (Enez Vriad) est à voir et écouter ici

 

 

 

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