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The Vaccines cueille des œillets roses…

Le nouvel album des Vaccines, « Pick-Up Full of Pink Carnations », sortira ce 12 janvier 2024. Produit par Andrew Wells (Halsey, Phoebe Bridgers), il s’agira du sixième elpee studio du groupe londonien. De la guitare pop classique inspirée des années 60…

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mercredi, 05 juillet 2023 18:25

Nuits sonores & European Lab Brussels 2023

Une sixième édition qui confirme les principes fondateurs du festival : expériences collectives et hybrides, curations inédites et parcours urbains

Nuits sonores & European Lab Brussels est de retour pour sa sixième édition, pensée et réalisée par les équipes d’Arty Farty Brussels et Bozar, qui se déroulera du jeudi 12 au dimanche 15 octobre 2023.

Le festival réaffirme à cette occasion ses principes fondateurs : des lieux emblématiques, une programmation articulant musiques électroniques et contemporaines, scènes locales et internationales, mais aussi une présence assumée de la réflexion et du débat d’idées au cœur du festival, avec le programme European Lab.

Des expériences inédites viennent également enrichir cette programmation, témoignant de la volonté de réinvention du festival. De nouveaux lieux de la Région Bruxelles-Capitale intègrent ainsi pour la première fois son armature, comme Les Ateliers Claus à Saint-Gilles et la Brasserie iLLeGaaL à Forest, tandis qu’un format inédit co-programmé avec deux artistes curators invité·es - Richie Hawtin et HAAi - viendra se déployer au cœur du Palais des Beaux-Arts.

Nuits sonores & European Lab Brussels présente pour la première fois le programme A night with. Le festival confie ainsi les clés de la programmation de deux de ses soirées à Bozar à deux personnalités artistiques majeures : Richie Hawtin, figure emblématique des musiques électroniques et de l’art minimal, et HAAi, considérée comme l'une des djs les plus techniques et surprenant·es de cette dernière décennie. Tou·tes deux sont invité·es à plonger leur public dans leurs univers esthétiques au travers d’une programmation mêlant performances lives et dj sets.

Ce programme, dont les détails seront dévoilés en juillet, marque un retour enthousiaste de la fête et de la déambulation nocturne dans l’intégralité du Palais des Beaux-Arts. Trois de ses espaces sont à cette occasion investis simultanément, rappelant l’esprit du Bozar Takeover des éditions 2018 et 2019 : la Salle M, le Hall Horta et la magnifique salle Henry Le Bœuf qui se transforme pour l’occasion en dancefloor.

Ce croisement des univers artistiques est également à l’honneur à Reset, qui ouvre son auditorium et son club à des invité·es locaux·ales et internationaux·ales. PAN, label multidisciplinaire berlinois et plateforme d’artistes engagé·es sur des terrains artistiques expérimentaux, vient y célébrer ses 15 ans. Le lendemain, ce sont les artistes du label portugais Príncipe et les résident·es du collectif local Brikabrak qui investissent cet espace, pour un événement diurne qui met à l’honneur batida, afrohouse ou encore amapiano, des esthétiques issues de synergies entre musiques électroniques et héritages musicaux africains.

Ces rencontres entre scènes locales et internationales se poursuivent dans le cadre du C12 et de l’intimiste C11, avec une programmation mêlant techno, représentée dans son penchant organique par Emily Jeanne, et esthétiques alternatives, à l’image des sonorités tribales et hypnotiques de Donia et Kamoun, ou du reggaeton de Nick León. Emblématiques de cette approche sont les back-to-back entre Brodinski et Slikback — qui fusionnent trap, expérimental et industriel — et Dj Gigola et MCR-T — représentant·es du collectif Live From Earth — qui emmèneront chacun·e les danseur·euses du C12 jusqu’au petit matin.

Parcours urbains

Nuits sonores & European Lab Brussels est un événement multi-sites qui investit nombre des lieux phares de la vie culturelle et du patrimoine urbain bruxellois, tout en s’attachant à proposer de nouvelles manières d’appréhender la relation entre un événement et son territoire.

Il se construit ainsi comme un parcours urbain qui permet aux publics de déambuler de lieu en lieu : depuis l’institution du Palais des Beaux-Arts jusqu’aux espaces nouvellement révélés de Reset ou les scènes revisitées du C12, en passant par la Région Bruxelles-Capitale. Ce parcours intègre ainsi les Ateliers Claus, cadre d’une release party co-organisée avec le festival et label Meakusma autour de la sortie d’un album de remixes de Hedzoleh Soundz, et des événements à la Brasserie iLLeGaaL et à LaVallée qui seront annoncés en septembre.

L’annonce des lieux du programme Extra!, aussi prévue pour la rentrée, complète ces propositions de parcours urbains, invitations multiformes à la déambulation et à la découverte des collectifs et lieux bruxellois, qui font la force et diversité de la scène locale.

European Lab (c) Marin Driguez

European Lab : l’essentielle indépendance des médias

Attentif à l’évolution de la scène médiatique indépendante européenne depuis ses débuts, le programme réflexif du festival y consacre cette année deux jours, au cœur des espaces de Bozar. Le forum entend rappeler l’importance de solidariser la cause des médias indépendants avec celle des structures culturelles indépendantes, confrontées aux mêmes pressions, entre appétit de grands groupes privés, surpuissance des GAFAM et ingérence politique.

Cette nouvelle édition donne à voir le rôle joué par ces écosystèmes médiatiques indépendants dans la fabrique du débat démocratique et social de l’époque : entre prise en compte des enjeux d’inclusions, importance des collaborations pan-européennes, résistances aux géants du web. Elle affirme la nécessité de décentrer nos regards. Une invitation à se pencher sur les nouveaux modèles qu’inventent ces entreprises de presse émergente ; à explorer les récits portés par des rédactions de l’Est du continent ; à faire une place aux nouvelles générations de journalistes portées par un même désir : façonner collectivement l’avenir d’une sphère publique européenne plus juste, équilibrée - en toute indépendance.

(Communiqué de presse)

https://www.bozar.be/en/nuits-sonores-brussels-2023

 

dimanche, 11 juin 2023 17:46

Les faux-semblants de Flavio Rio…

De son véritable nom Flavio Spampinato, Flavio Rio est un artiste émergent qui a gravé son premier Ep, "False Lights", le 26 mai 2023. La release party se déroulera le 1er juillet au ChezTaMère. Cet auteur-compositeur-interprète italien nous convie à plonger dans son univers musical, où se mêlent des réflexions sincères sur le monde qui l'entoure. Inspiré par la musique afro-américaine et la scène pop indépendante depuis son adolescence, Flavio crée des chansons qui intègrent habilement ses éléments préférés autour de sa voix captivante. Au cours des deux dernières années, il a écrit des paroles en anglais abordant des thèmes profonds tels que les relations humaines, la résilience face aux épreuves de la vie et l'épanouissement personnel (source Court-Circuit)

 

C’est la première fois depuis 1994 que le Pink Floyd se réunit à nouveau pour sortir une nouvelle compo et leur première sortie depuis son dernier album « The Endless River » en 2014.

Dans le titre, on retrouve David Gilmour et Nick Mason, rejoint par le bassiste de longue date Guy Pratt et Nitin Sawhney au piano, et aux vocaux Andriy Khlyvnyuk, membre du groupe ukrainien Boombox.

La chanson, enregistrée le 30 mars dernier reprend le vocal d’Andriy qu’il avait posté sur son compte Instagram dans lequel on le voit chanter sur la place Sofiyskaya à Kyiv. Le son en lui-même de « Oh the Red Viburnum in the Meadow » est une chanson folklorique ukrainienne de protestation écrite durant la première guerre mondiale. Elle a été diffusée dans le monde entier le mois dernier suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le titre du single de Pink Floyd vient de la dernière phrase de cette chanson qui se traduit par ‘Hey, Hey, Rise up and rejoice’.

Gilmour a une belle-fille et des petits enfants d’origine ukrainienne. Il raconte avoir réussi à échanger avec Andriy Khlyvnyuk depuis son lit d’hôpital de Kiev, où il se remettait d’une blessure due à un éclat de mortier.

Le clip a été tourné par le très célèbre directeur Mat Whitecross et tourné le même jour que l’enregistrement de la chanson.

Le clip de « Hey, hey, rise up ! » est disponible

« Hey, Hey, Rise Up ! » (« Hey, Hey, lève-toi ! ») servira à récolter des fonds pour les Ukrainiens touchés par l’invasion russe.

(D’après communiqué de presse)

‘Autrice, psy et mélomane’, ce sont les mots qui conviennent bien à qui elle est mais surtout ils conviennent parfaitement au podcast qu’elle a créé ! « Y’a des pas connus », le podcast des artistes pas tant connu.es mais à qui c’est intéressant de tendre le micro.

Elle peut passer des heures à écouter les podcasts où les musicien.es parlent de leur boulot, de leur processus de création, de leur réflexion, de leur inspirations et aspirations. Ça la fait rêver et sans doute que ça résonne avec son moi artistique aussi… et elle s’est dit que si elle fermait les yeux en les écoutant (en interview notamment) alors elle n’était plus capable de faire la distinction entre une star et son voisin guitariste. Tous les deux se font couler un café, écrivent, composent, montent sur scène, ressentent cette adrénaline avant et puis se sentent dans leur élément pendant, tous deux ont besoin de leur famille pour garder les pieds sur terre, de leurs amis pour faire taire leurs doutes, et tous deux ont une joie enfantine sur le visage de pouvoir faire de leur passion leur activité principale. Alors pourquoi le micro est-il toujours tendu aux artistes connu.es ?

Elle croit aimer celles et ceux qui sont à côté, les décalés ceux qui ‘shinent’ pas trop ou pas encore. Parce qu’on entend bien fort celles et ceux sur le devant de la scène et elle apprécie les entendre, mais elle avoue avoir un faible pour les autres qui sont un peu à côté. Elle marche dans Bruxelles, en Belgique, et elle se dit que derrière chacune de ces portes il y a des milliers de gens qui créent. Et elle est touchée quand iels lui ouvrent une petite fenêtre sur leur intérieur, qu’iels l'invitent dans leur maison le temps d’une conversation et qu’iels lui racontent qui iels sont.

Ça nourrit la créativité aussi et peut-être celle des gens qui l’écoutent ensuite… et ça c’est trop bon !

Alors voilà, y’avait plus le choix que de le créer et finalement il est là ! « Y’a des pas connus », ce sont des conversations simples mais riches, sans prétention. Juste de la douceur, un peu de rire, de poésie, peut-être des soupirs grognons mais pour elle tout est bon ! On vient comme on veut et c’est très bien. Écoutez la bande annonce pour vous mettre dans le bain et puis quand l’envie vous prendra enchainez sans retenue avec le premier épisode.

Retrouvez-la sur Instagram pour l’actualité ici

Le podcast est disponible sur Spotify, Apple Podcast, Google Podcast et Anchor est à découvrir

 


 

Depuis plus d’un an maintenant, le gouvernement a débranché la prise du secteur culturel et évènementiel. Plus d’un an d’obscurité sans la moindre lueur.

Le secteur n’a pourtant pas ménagé ses efforts pour se réinventer, pour apporter aux responsables toutes les informations sur un secteur souvent trop méconnu, pour comprendre des décisions sanitaires pas toujours cohérentes, et surtout pour pouvoir garder la tête hors de l’eau… mais toujours avec ce sentiment de n’avoir même jamais aperçu la moindre main tendue des dirigeants.

Il est vrai que la tolérance et le sens de la responsabilité caractérisent le secteur. Ce qui le ramène très souvent à une image gentille, sans doute trop gentille même. Mais aujourd’hui il n’en peut plus d’être gentil !

Il n’en peut plus d’avoir cette impression de ne pas exister.

Il n’en peut plus de voir ses équipes, ses fournisseurs, ses amis, ses artistes, ses techniciens ramer financièrement, changer de métier, sombrer dans la dépression, et parfois, hélas partir tout court.

Il n’en peut plus de ne pas avoir de réponses à ses questions.

Alors, mesdames et messieurs « les décideurs » politiques, prenez vos responsabilités !

Le secteur ne demande pas de le laisser travailler comme il le souhaite ; il se rend compte que ce sera très difficile. Il demande simplement de répondre aux questions suivantes :

Pourquoi est-ce si difficile de donner une réponse claire sur la possibilité d’organiser des événements de plus de 5.000 personnes cet été ? Un oui ou un suffirait…

Pourquoi est-ce si difficile de proposer un protocole clair et progressif pour une réouverture du secteur culturel et événementiel ? Cela permettrait au secteur de préparer un été qui ne serait pas vide de culture…

Pourquoi est-ce si difficile de proposer des événements test ? Les résultats de ces tests seraient de fameux outils pour une relance progressive et en toute sécurité du secteur…

Pourquoi est-ce si difficile de rassurer ce secteur, comme la Flandre l’a fait, en proposant des fonds de garantie et des soutiens financiers clairs, adaptés et proportionnels ? Ceci permettrait de lui offrir des perspectives encourageantes pour l’avenir…

Pourquoi est-ce si difficile de donner quelques perspectives à notre jeunesse en manque d’événements et de contacts sociaux ? Ceci éviterait sans doute de devoir envoyer la cavalerie dans les parcs…

Les festivals francophones de musique en ont assez d’être gentils. En l’absence de réponse et d’un minimum de considération politique, devrait-il, comme le fait le secteur HORECA, proposer une réouverture de la culture le 1er mai et donner rendez-vous à tous nos festivaliers dans les parcs de Wallonie et de Bruxelles ?

Il serait sans doute plus simple et plus efficace de répondre à ces questions qui paraissent à la fois urgentes et légitimes.

(D’après communiqué de presse de la Fédération des Festivals de Musique Wallonie-Bruxelles).

Alors que la situation sanitaire de la Belgique semble stabilisée et s’améliore lentement, et que la campagne de vaccination de ses concitoyens les plus exposés bat son plein, le secteur culturel reste plus que jamais à l’arrêt, sans vision claire de son futur proche. Ce manque cruel de projection affecte imparablement les artistes et tous les acteurs des musiques actuelles (promoteurs, salles de concerts et festivals) mais aussi tous leurs partenaires, fournisseurs et prestataires de services, qui n’ont aucune idée de ce dont leurs lendemains seront faits.

Cette semaine encore, la SABAM a démontré que les revenus issus d'événements culturels ont reculé de 87% en 2020, précisant que les festivals et les représentations théâtrales ont subi l'impact économique le plus sévère. Les festivals ont même perdu 99% de leurs recettes l’an dernier.

Les récentes mesures de soutien financier au secteur de l’évènementiel en Flandre, et la promesse par le ministre Jan Jambon d’une décision quant à la tenue des festivals estivaux d’ici la mi-mars, annoncées cette semaine, marquent la volonté des instances gouvernementales néerlandophones de soutenir un écosystème à l’arrêt quasi-total depuis près d’un an. C’est ainsi une enveloppe de 60 millions d’euros qui a été débloquée pour permettre aux festivals flamands de lancer les préparatifs de leurs éditions 2021, dont 50 millions d’euros d’avance remboursables en cas de tenue de l’événement et 10 millions d’euros spécialement dédiés aux dépenses structurelles à caractère sanitaire.

Ailleurs en Europe, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Autriche, en Norvège ou en France, les gouvernements mettent en place ou envisagent des fonds de garantie permettant au secteur des festivals de lancer sereinement le travail de préparation de l’été 2021. Concrètement, les sommes injectées dans les préparatifs nécessaires à la bonne tenue de ces évènements seraient ainsi couvertes par l’Etat en cas d’annulation pour raisons sanitaires.

A l’heure actuelle, aucune des instances gouvernementales en Wallonie ou à Bruxelles ne s’est positionnée sur ce sujet vital. C’est pourquoi un nouvel appel est lancé en faveur de :

    La mise sur pied d’un fonds de garantie destiné au secteur événementiel, sur une base proportionnelle et similaire à celle adoptée en Flandre. Ce fonds permettra le démarrage de la préparation des évènements de l’été par le paiement d’acomptes garantis aux fournisseurs et prestataires du secteur, ainsi que la sécurisation de la filière des fournisseurs de festivals, qui constitue une condition essentielle à l’existence de toute forme d’événement durant la saison estivale.

    Il est à noter que cette garantie ne bénéficie pas directement au secteur des festivals - même si elle est essentielle à leur présence cet été - mais percolera à travers toute la filière pour soutenir un grand nombre d’entreprises en grande difficulté depuis un an (prestataires techniques, régisseurs, son et lumières, etc).

    Une telle garantie n’aura pas d’impact financier direct pour les finances publiques dans l’hypothèse où les festivals d’été pourraient se tenir en configuration normale.

    La situation actuelle crée de facto une distorsion de concurrence entre festivals francophones et flamands, encore renforcée par l’absence en Wallonie et à Bruxelles d’une mesure similaire à la ‘globalisatiepremie’ mise en place en Flandre.

    Le renforcement de l’enveloppe allouée au secteur des musiques actuelles par la Fédération Wallonie-Bruxelles, afin qu’un budget aussi élevé que possible soit mis à disposition de tous les acteur.rice.s du secteur. Ces sommes viseraient à couvrir sur base réelle les pertes effectivement encourues par les organisateurs en cas d’annulation.

    L’aboutissement rapide des discussions en cours à propos de la réouverture et du redéploiement de la culture en Belgique francophone sur base de protocoles sanitaires rédigés en collaboration avec le secteur culturel.

    La FFMWB est consciente des nombreux défis que pose la crise sanitaire actuelle. Mais, alors que l’impact psychologique de la pandémie se fait sans cesse plus grand et que l’appétit de la population pour des évènements culturels ne cesse d’augmenter, il lui semble essentiel de mettre en place toutes les mesures possibles pour que la possibilité d’organiser des festivals cet été soit une réalité concrète.

A propos de la FFMWB – Fédération des Festivals de Musique Wallonie – Bruxelles

La FFMWB a été fondée par 12 festivals belges francophones en septembre 2020, dans un contexte de crise sanitaire affectant lourdement et durablement le milieu de la musique. Cette fédération est l’expression de la volonté de ses membres de s’unir au sein d’une structure commune visant à professionnaliser encore le secteur et l’aider à se développer.

La FFMWB compte aujourd’hui plus d’une trentaine de membres, représentant la diversité du secteur en Fédération Wallonie-Bruxelles : BSF, Couleur Café, Dour Festival, Durbuy Rock Festival, Esperanzah!, Francofolies de Spa,  Inc’Rock, LaSemo, Les Ardentes, Les Nuits Botanique, Les Solidarités, Ronquières Festival, Austral Boréal Festival, Balkan Trafik, Baudet’stival, Bear Rock, Beauraing Is Not Dead, FCKNYE Festival, Feel Good Festival, Festival d’Art de Huy, Festival Les Gens d’Eire, Fêtes de la Musique, Folestival, Franco’Faune, Gaume Jazz Festival, Lamberm’on Stage Rock Tribute, Les Aralunaires, Microfestival, Park Rock Festival, Roots & Roses, Scène sur Sambre, So W’Happy Festival et Vintage Music Festival.

(D’après communiqué de presse)

http://www.ffmwb.be/

https://www.facebook.com/FFMWB

Suite à son appel à projets lancé en octobre et novembre dernier, le Fund Belgian Music a reçu de nombreuses demandes de soutien pour la relance de projets musicaux. Après un processus de sélection et l’avis d’un jury de professionnels, 49 projets recevront un soutien financier afin de permettre leur relance et donner ainsi un coup de pouce, bien nécessaire, à de nombreux musicien.ne.s. belges : le nombre très important de demandes est un indicateur clair du besoin énorme de financement de ce secteur en crise. Parmi les projets soutenus pour ce premier appel, on retrouve notamment : Noémie Wolfs, David Numwami, Dario Mars, Front 242, Julien Tassin, Gaëtan Streel, Under the Reefs Orchestra, …

Pour plus d’infos, voir ici

 

dimanche, 02 septembre 2018 19:56

W-Festival 2018

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mercredi, 14 février 2018 20:11

Bon anniversaire Nightwish !

Après avoir accompli d'innombrables tournées, accordé plus de 2 000 shows donnés et vendu 8 millions d'albums, Nightwish fête cette année ses vingt années d'existence.

Pour l'occasion, le groupe de métal symphonique (si si, ça existe)) a compilé un double CD, " Decades", qui sortira le 9 mars et sera disponible sur le site de Nuclear Blast (voir ici).   

Suivra dans la foulée une tournée mondiale qui débutera aux Etats-Unis. Puis, retour en Europe le 2 juin à Nijmegen et surtout, le 7 novembre, à Anvers au Lotto Arena.

Enfin, cerise on the cake, le band emmené par la merveilleuse chanteuse lyrique néerlandaise Floor Jansen, se produira au Hellfest de Clisson, l'occasion de découvrir chez nos voisins ce  festival très ‘hard’ qui se déroulera du 22 au 24 juin en Loire-Atlantique.

Nightwish n'y sera pas seul. Les Hollywood Vampires (le groupe de Joe Perry et Johnny Depp ), Marylin Manson, Judas Priest, Limp Bizkit et bien d'autres seront également à l'affiche.

 

samedi, 17 septembre 2016 17:26

Le nouveau truc de Sébastien Fayard

Dans le nouveau clip du trio bruxellois Joy As A Toy, un homme parfaitement ordinaire dans son costume ordinaire attend dans sa voiture. Il entend Ghost Train à la radio. Progressivement, au rythme envoûtant de la musique, l'univers intérieur du personnage prend le dessus sur son quotidien, jusqu'à prendre des proportions inattendues. Suite logique des petits films de la série ‘Sébastien Fayard fait des trucs’ (au cours desquels Sébastien Fayard met en scène des phrases jeux de mots, savant détricotage des diktats de l’art ou de l’autoréférence triomphante), ce clip apparaît comme une nouvelle étape du réalisateur avant de se tourner vers le cinéma. (D’après communiqué de presse)

Pour voir le clip, c’est ici

http://www.sebastienfayardfaitdestrucs.com/

En concert:

23 septembre : Release Party – Les Ateliers Claus – Bruxelles

24 septembre : L’Atelier Rock – Huy

07 octobre: TerrorSamba – Basel

08 octobre: Le Terminus – Sarreguemines

10 décembre : Le Belvédère – Namur

18 Mars : Discover Box – Braine-le-Comte

www.joyasatoy.com

 

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